Le mariage homosexuel, un droit fondamental pour Sidiki kaba et ses compères.
Sidiki Kaba a qualifié un projet de loi ougandais contre l’homosexualité et le mariage gay comme une entrave aux droits civils. Si Me Kaba considère, comme il a eu à l’affirmer, que le vote d’une loi contre le mariage homosexuel compromet gravement les libertés fondamentales, c’est parce qu’il pense que le mariage des homosexuels est un droit fondamental. Il s’inscrit ainsi dans la droite ligne de la LDH en France qui soutient ouvertement, et avec hargne, le mariage et l’adoption gays. Ensemble, ils tirent leurs arguments d’une compréhension partisane des conventions internationales et de la négation du tissu familial originel. Dans leur élan, toute démonstration contraire est taxée d’homophobie. En France, ils ont mobilisé leurs réseaux et lobbies, et ont fait des appels à participer aux manifestations et rassemblements pour encourager le gouvernement à voter la loi légalisant le mariage et l’adoption par des homos, finalement adoptée le 23 avril 2013. Ils combattent les opposants au mariage des homosexuels et en traitent certains d’intégristes religieux, de menteurs aux discours apocalyptiques. Sidiki Kaba a lui-même affirmé que ce sont des islamistes, avec une partie de l’opinion, qui s’opposent à l’homosexualité au Sénégal. Veux-t-il dire que tous ces Imams et guides religieux qui prêchent contre l’homosexualité au Sénégal sont des islamistes ?
Son mouvement nie au culte le droit de guider les consciences des croyants, et s’attribue en même temps le droit d’intimer aux Etats, surtouts les plus faibles comme les nôtres, l’obligation de bénir les homosexuels. S’appuyant sur la notion d’Etat de droit, ils font de la légalisation de l’homosexualité une condition de la démocratie. Une nouvelle manière d’imposer les mœurs occidentales dépravées aux Etats qui acceptent l’asservissement politique.
Un défenseur idéologique des homosexuels ne peut pas protéger les valeurs de notre pays.
Comment accepter qu’un militant qui culpabilise la justice de son pays, du fait que celle-ci n’est pas favorable aux homosexuels, puisse être ministre de la justice ?
Comment escompter qu’un militant qui fait l’amalgame entre les « goor djiguène », ces hommes efféminés connus dans notre société ; et les homosexuels : des femmes qui se masturbent mutuellement ou des hommes qui se sodomisent à tour de rôle, puisse défendre nos us et coutumes ? En faisant cette assimilation erronée devant des media étrangers, Sidiki Kaba a vilipendé à tort notre société.
Comment accepter qu’un individu qui se voit, en tant que militant des droits de l’homme, comme fer de lance de la reconnaissance des droits des homosexuels, puisse faire respecter nos valeurs religieuses musulmanes et chrétiennes ? Il a soutenu l’idéologie d’un mouvement qui nie la paternité et la maternité, bannies au profit de la parentalité, notion taillée sur mesure pour les homosexuels afin de leur permettre d’adopter des enfants. L’égoïsme de l’orientation sexuelle l’emporte sur la survie de la famille, institution de base toute société, dont l’effondrement provoque inéluctablement le déclin de notre identité culturelle. Un homme honnête ne peut pas changer d’idéologie en fonction des circonstances ou des opportunités (Poste de ministre). Nous préférons croire que Me Sidiki Kaba est un homme honnête. Le cas échéant, il continue de croire aux combats qu’il menait à la FIDH en faveur des homosexuels. Par conséquent, il ne peut pas représenter le droit et la justice de notre pays, sans le risque de se confronter à elles ou de servir de maillon fort à la chaîne lobbyiste homosexuelle. Ainsi, l’international homosexuel et ses ONG relais pourraient compter sur lui pour faire valider au Sénégal, en douceur, des mesures et pratiques en faveur des lesbiennes, des gays, des bisexuels et des transsexuels. Un seul exemple : Me Kaba, en tant que ministre de la Justice, pourrait décourager la poursuite d’actes contre-nature par les procureurs qu’il commande. On l’a entendu dire qu’il ne juge pas, qu’il n’y ait donc pas de risque. Mais cette déclaration ne peut bluffer que ceux qui ne savent pas que les juges jugent aussi les affaires poursuivies par les procureurs. Or c’est lui-même le chef des procureurs. Donc il peut éviter qu’on juge certaines affaires ou personnes, en s’opposant à leur poursuite par les procureurs. Qui plus est, il a dorénavant les moyens d’instigation et de pression pour satisfaire la cause homosexuelle. De ce fait, sa posture est dangereuse pour nos mœurs et nos croyances religieuses.
Il est nécessaire de « tropicaliser » les droits de l’homme « made in Europe »
Me Kaba avait appelé les députés sénégalais à s’activer pour consacrer une liberté sexuelle pour les homosexuels. La liberté sexuelle est effective dans notre pays, mais doit être exercée dans le respect de nos valeurs morales et dans la décence. Ni Me Kaba, ni son organisation la FIDH, n’ont le droit de nous imposer les valeurs (ou les non-valeurs) des sociétés occidentales, subtilement greffées dans les conventions internationales qu’ils prescrivent à nos pays, en contre partie de l’aide internationale. Une liberté sexuelle sans limite mène irrémédiablement à la débauche et à la perversion. Dans une telle acception de la liberté sexuelle, la pédophilie et la zoophile seraient parfaitement légales. Ainsi, un papi de 80 ans pourrait bien flirter avec une gamine consentante de 13 ans. De même qu’un maître pourrait légalement s’adonner à des pénétrations sexuelles avec sa chienne. Ce serait le début de la fin de l’humanité.
Ces ONG, boites à pandore pour nos valeurs et notre identité culturelle, doivent faire l’objet d’une vigilance permanente. Après l’homosexualité, ils pourront s’attaquer aux pratiques islamiques : contre la polygamie, au nom des droits de la femme ; contre le port du voile, les minarets des mosquées et l’appel du muezzin, au nom de la laïcité ; contre la viande Halal en interdisant l’égorgement sans étourdissement, au nom du droit fondamental des animaux à une mort paisible (sauf quand eux s’amusent avec la chasse de plaisance).
Si le Sénégal a signé des conventions internationales dont la logique et le contenu sont contraires à nos mœurs et intérêts, il appartient au ministre de la justice, non pas d’obliger la nation à se pervertir, mais de susciter des réserves sur les stipulations de ces accords, ou d’en retirer notre pays.
L’universalité des droits de l’homme est relative. Hormis l’irréductible humain, chaque nation tient compte de son histoire, de son identité et de ses croyances pour fixer le champ de la liberté individuelle. Est-ce que Sidiki Kaba et son organisation iraient dire au roi d’Arabie Saoudite de permettre aux homosexuels de s’embrasser aux alentours de la Mecque ? Cette question est presque hérétique, tellement il est impensable d’imposer à l’Arabie Saoudite d’accepter la vision des droits de l’homme conçue par les occidentaux, et vulgarisée par des officines et leurs succédanés disséminés dans les pays influençables.
S’il est constant dans ses convictions, Me Kaba devrait démissionner de lui-même
Il ne suffit pas à Me Kaba de déclarer qu’il se range derrière la position du chef de l’Etat pour être blanchi de tout soupçon sur l’homosexualité au Sénégal. A l’instar de Abdoul Mbaye, Premier ministre sortant, qui a eu la noblesse et le courage de dire publiquement son attachement à nos valeurs religieuses et sociales, Me Kaba, au lieu de botter en touche, doit avoir l’honnêteté de dire clairement s’il croit que les pratiques homosexuelles publiques et le mariage homosexuel sont contraires à l’ordre public sénégalais, ou au contraire, s’il est convaincu que les homos sénégalais ont le droit à un statut juridique et le droit de se marier.
Quand on n’est pas convaincu par la politique d’un gouvernement, on ne doit pas y siéger. Or Sidiki Kaba combat la position du peuple sénégalais sur l’homosexualité, réitérée courageusement par le président de la République devant Barack Obama. Le peuple sénégalais doit refuser sa nomination.
Sidiki Kaba a qualifié un projet de loi ougandais contre l’homosexualité et le mariage gay comme une entrave aux droits civils. Si Me Kaba considère, comme il a eu à l’affirmer, que le vote d’une loi contre le mariage homosexuel compromet gravement les libertés fondamentales, c’est parce qu’il pense que le mariage des homosexuels est un droit fondamental. Il s’inscrit ainsi dans la droite ligne de la LDH en France qui soutient ouvertement, et avec hargne, le mariage et l’adoption gays. Ensemble, ils tirent leurs arguments d’une compréhension partisane des conventions internationales et de la négation du tissu familial originel. Dans leur élan, toute démonstration contraire est taxée d’homophobie. En France, ils ont mobilisé leurs réseaux et lobbies, et ont fait des appels à participer aux manifestations et rassemblements pour encourager le gouvernement à voter la loi légalisant le mariage et l’adoption par des homos, finalement adoptée le 23 avril 2013. Ils combattent les opposants au mariage des homosexuels et en traitent certains d’intégristes religieux, de menteurs aux discours apocalyptiques. Sidiki Kaba a lui-même affirmé que ce sont des islamistes, avec une partie de l’opinion, qui s’opposent à l’homosexualité au Sénégal. Veux-t-il dire que tous ces Imams et guides religieux qui prêchent contre l’homosexualité au Sénégal sont des islamistes ?
Son mouvement nie au culte le droit de guider les consciences des croyants, et s’attribue en même temps le droit d’intimer aux Etats, surtouts les plus faibles comme les nôtres, l’obligation de bénir les homosexuels. S’appuyant sur la notion d’Etat de droit, ils font de la légalisation de l’homosexualité une condition de la démocratie. Une nouvelle manière d’imposer les mœurs occidentales dépravées aux Etats qui acceptent l’asservissement politique.
Un défenseur idéologique des homosexuels ne peut pas protéger les valeurs de notre pays.
Comment accepter qu’un militant qui culpabilise la justice de son pays, du fait que celle-ci n’est pas favorable aux homosexuels, puisse être ministre de la justice ?
Comment escompter qu’un militant qui fait l’amalgame entre les « goor djiguène », ces hommes efféminés connus dans notre société ; et les homosexuels : des femmes qui se masturbent mutuellement ou des hommes qui se sodomisent à tour de rôle, puisse défendre nos us et coutumes ? En faisant cette assimilation erronée devant des media étrangers, Sidiki Kaba a vilipendé à tort notre société.
Comment accepter qu’un individu qui se voit, en tant que militant des droits de l’homme, comme fer de lance de la reconnaissance des droits des homosexuels, puisse faire respecter nos valeurs religieuses musulmanes et chrétiennes ? Il a soutenu l’idéologie d’un mouvement qui nie la paternité et la maternité, bannies au profit de la parentalité, notion taillée sur mesure pour les homosexuels afin de leur permettre d’adopter des enfants. L’égoïsme de l’orientation sexuelle l’emporte sur la survie de la famille, institution de base toute société, dont l’effondrement provoque inéluctablement le déclin de notre identité culturelle. Un homme honnête ne peut pas changer d’idéologie en fonction des circonstances ou des opportunités (Poste de ministre). Nous préférons croire que Me Sidiki Kaba est un homme honnête. Le cas échéant, il continue de croire aux combats qu’il menait à la FIDH en faveur des homosexuels. Par conséquent, il ne peut pas représenter le droit et la justice de notre pays, sans le risque de se confronter à elles ou de servir de maillon fort à la chaîne lobbyiste homosexuelle. Ainsi, l’international homosexuel et ses ONG relais pourraient compter sur lui pour faire valider au Sénégal, en douceur, des mesures et pratiques en faveur des lesbiennes, des gays, des bisexuels et des transsexuels. Un seul exemple : Me Kaba, en tant que ministre de la Justice, pourrait décourager la poursuite d’actes contre-nature par les procureurs qu’il commande. On l’a entendu dire qu’il ne juge pas, qu’il n’y ait donc pas de risque. Mais cette déclaration ne peut bluffer que ceux qui ne savent pas que les juges jugent aussi les affaires poursuivies par les procureurs. Or c’est lui-même le chef des procureurs. Donc il peut éviter qu’on juge certaines affaires ou personnes, en s’opposant à leur poursuite par les procureurs. Qui plus est, il a dorénavant les moyens d’instigation et de pression pour satisfaire la cause homosexuelle. De ce fait, sa posture est dangereuse pour nos mœurs et nos croyances religieuses.
Il est nécessaire de « tropicaliser » les droits de l’homme « made in Europe »
Me Kaba avait appelé les députés sénégalais à s’activer pour consacrer une liberté sexuelle pour les homosexuels. La liberté sexuelle est effective dans notre pays, mais doit être exercée dans le respect de nos valeurs morales et dans la décence. Ni Me Kaba, ni son organisation la FIDH, n’ont le droit de nous imposer les valeurs (ou les non-valeurs) des sociétés occidentales, subtilement greffées dans les conventions internationales qu’ils prescrivent à nos pays, en contre partie de l’aide internationale. Une liberté sexuelle sans limite mène irrémédiablement à la débauche et à la perversion. Dans une telle acception de la liberté sexuelle, la pédophilie et la zoophile seraient parfaitement légales. Ainsi, un papi de 80 ans pourrait bien flirter avec une gamine consentante de 13 ans. De même qu’un maître pourrait légalement s’adonner à des pénétrations sexuelles avec sa chienne. Ce serait le début de la fin de l’humanité.
Ces ONG, boites à pandore pour nos valeurs et notre identité culturelle, doivent faire l’objet d’une vigilance permanente. Après l’homosexualité, ils pourront s’attaquer aux pratiques islamiques : contre la polygamie, au nom des droits de la femme ; contre le port du voile, les minarets des mosquées et l’appel du muezzin, au nom de la laïcité ; contre la viande Halal en interdisant l’égorgement sans étourdissement, au nom du droit fondamental des animaux à une mort paisible (sauf quand eux s’amusent avec la chasse de plaisance).
Si le Sénégal a signé des conventions internationales dont la logique et le contenu sont contraires à nos mœurs et intérêts, il appartient au ministre de la justice, non pas d’obliger la nation à se pervertir, mais de susciter des réserves sur les stipulations de ces accords, ou d’en retirer notre pays.
L’universalité des droits de l’homme est relative. Hormis l’irréductible humain, chaque nation tient compte de son histoire, de son identité et de ses croyances pour fixer le champ de la liberté individuelle. Est-ce que Sidiki Kaba et son organisation iraient dire au roi d’Arabie Saoudite de permettre aux homosexuels de s’embrasser aux alentours de la Mecque ? Cette question est presque hérétique, tellement il est impensable d’imposer à l’Arabie Saoudite d’accepter la vision des droits de l’homme conçue par les occidentaux, et vulgarisée par des officines et leurs succédanés disséminés dans les pays influençables.
S’il est constant dans ses convictions, Me Kaba devrait démissionner de lui-même
Il ne suffit pas à Me Kaba de déclarer qu’il se range derrière la position du chef de l’Etat pour être blanchi de tout soupçon sur l’homosexualité au Sénégal. A l’instar de Abdoul Mbaye, Premier ministre sortant, qui a eu la noblesse et le courage de dire publiquement son attachement à nos valeurs religieuses et sociales, Me Kaba, au lieu de botter en touche, doit avoir l’honnêteté de dire clairement s’il croit que les pratiques homosexuelles publiques et le mariage homosexuel sont contraires à l’ordre public sénégalais, ou au contraire, s’il est convaincu que les homos sénégalais ont le droit à un statut juridique et le droit de se marier.
Quand on n’est pas convaincu par la politique d’un gouvernement, on ne doit pas y siéger. Or Sidiki Kaba combat la position du peuple sénégalais sur l’homosexualité, réitérée courageusement par le président de la République devant Barack Obama. Le peuple sénégalais doit refuser sa nomination.