L’ancienne première dame de Côte d’Ivoire a été transférée, jeudi 2 mai, de son lieu de détention à Odienné, dans le nord-ouest du pays, à une clinique d’Abidjan pour des soins médicaux.
La correspondante FRANCE 24 – RFI à Abidjan, Maureen Grisot, a noté un renforcement de la sécurité autour de la polyclinique internationale Sainte Anne-Marie avec des membres de la sécurité présidentielle, des CRS, et des policiers.
"Les avocats de l’ex-première dame refusent de rompre le secret médical mais on sait que Simone Gbagbo demandait depuis plusieurs mois à rencontrer des médecins à Abidjan et à subir des examens médicaux", rapporte ainsi Maureen Grisot.
Un des avocats de l’ex-première dame, Me Rodrigue Dadjé, a confirmé le transfert à l’AFP, évoquant la nécessité de "soins médicaux" après des "problèmes de santé".
"Les autorités ont donné suite à notre demande", a-t-il indiqué.
Simone Gbagbo est détenue depuis la fin de la crise postélectorale de 2010-2011, qui avait fait quelque 3 000 morts. La justice ivoirienne a inculpé l’ex-première dame pour "génocide" et refuse de la livrer à la Cour pénale internationale à La Haye, où est détenu l’ancien président Laurent Gbagbo.
La correspondante FRANCE 24 – RFI à Abidjan, Maureen Grisot, a noté un renforcement de la sécurité autour de la polyclinique internationale Sainte Anne-Marie avec des membres de la sécurité présidentielle, des CRS, et des policiers.
"Les avocats de l’ex-première dame refusent de rompre le secret médical mais on sait que Simone Gbagbo demandait depuis plusieurs mois à rencontrer des médecins à Abidjan et à subir des examens médicaux", rapporte ainsi Maureen Grisot.
Un des avocats de l’ex-première dame, Me Rodrigue Dadjé, a confirmé le transfert à l’AFP, évoquant la nécessité de "soins médicaux" après des "problèmes de santé".
"Les autorités ont donné suite à notre demande", a-t-il indiqué.
Simone Gbagbo est détenue depuis la fin de la crise postélectorale de 2010-2011, qui avait fait quelque 3 000 morts. La justice ivoirienne a inculpé l’ex-première dame pour "génocide" et refuse de la livrer à la Cour pénale internationale à La Haye, où est détenu l’ancien président Laurent Gbagbo.