Le Directeur Général Adjoint du Fonds Monétaire International (FMI), M. Min Zhu a déclaré à Washington, je cite : " le Sénégal a fait des PROGRÈS SIGNIFICATIFS au cours des DERNIÈRES ANNÉES. (on pourrait s'imaginer un bravo Abdoulaye Wade, un bravo Abdoulaye Diop, un bravo Hadjibou Soumare !!!!), C'est pourquoi je me réjouis d'effectuer ma première visite au Sénégal en ma qualité de Directeur Général Adjoint du FMI."(cf communiqué du FMI)
Cette déclaration efface d'un trait rouge (pour qui se veut intellectuel honnête), le tissu de mensonges raconté par Abdoul Mbaye et son ministre des finances.
Comment peut on vouloir résoudre les préoccupations des Sénégalais " dans un contexte international incertain " quand on a pas l'honnêteté intellectuelle de faire le bon diagnostic de la situation économique et sociale (état des lieux ref FMI et héritage du Wadisme économique avec des fondamentaux solides et parmi les meilleurs de L'UMEOA).
En quoi la crise mondiale est-elle aujourd'hui plus incertaine qu'elle ne l'était quand il fanfaronnait en se faisant passer pour un digne fils du Sénégal qui nous offrirait un sort meilleur que celui qu'ils ont décrié et diabolisé sous le magistère du Président Abdoulaye Wade.
On peut pantoufler dans une banque surtout si on a lettre paternelle à la Kipling pour ouvrir la voie.
Un État ne se gère pas par le pantouflage et aucune missive au monde ne vous permettra de nous faire prendre votre immobilisme pour une stratégie ou une sagesse efficace.
Le don de soi et la proximité qui sont attendus d'un gouvernement me semblent bien éloignés, des préoccupations d'un individu qui débarque en mocassins dans une banlieue inondée.
La table rase est une mécanique peu efficace surtout qu'elle peut être dangereuse entre les mains manucurées d'un Premier Ministre qui se croit Directeur Général du Gouvernement et qui prend les doléances des sénégalais pour des demandes de prêt.
On peut mieux comprendre pourquoi il tourne en rond après sept mois à la Primature , sans savoir ou il va et sans poser des actes concrets, afin de relever le défi pour réaliser une croissance forte, durable, et partagée, trajectoire sur laquelle Abdoulaye Wade avait inscrit et engagé le Sénégal dans un contexte international et politique défavorable.
Sans vraiment comprendre (surprenant pour des banquiers qui ont trompé le Président !!!) les effets néfastes, d'un recul de la croissance (du fait de la sécheresse, du contexte pré électoral, etc…) et ses conséquences sur la masse monétaire (M1), en lieu et place, ils nous servent un ramassis de contre vérités indexant la disparition subite " d'un soit disant argent sale ", si tel est le cas n’en sont-ils pas comptables en leur qualité d'ex banquiers.
Oui, bien sur.
C'est vrai qu'au supermarché de la bonne gouvernance, les rayons sont biens garnis et il n'est pas interdit aux clients de choisir leurs articles selon leur humeur ou posture du jour, mais comme dit l'autre, demain il fera jour.....
Mal tourné, échoué
Cette déclaration efface d'un trait rouge (pour qui se veut intellectuel honnête), le tissu de mensonges raconté par Abdoul Mbaye et son ministre des finances.
Comment peut on vouloir résoudre les préoccupations des Sénégalais " dans un contexte international incertain " quand on a pas l'honnêteté intellectuelle de faire le bon diagnostic de la situation économique et sociale (état des lieux ref FMI et héritage du Wadisme économique avec des fondamentaux solides et parmi les meilleurs de L'UMEOA).
En quoi la crise mondiale est-elle aujourd'hui plus incertaine qu'elle ne l'était quand il fanfaronnait en se faisant passer pour un digne fils du Sénégal qui nous offrirait un sort meilleur que celui qu'ils ont décrié et diabolisé sous le magistère du Président Abdoulaye Wade.
On peut pantoufler dans une banque surtout si on a lettre paternelle à la Kipling pour ouvrir la voie.
Un État ne se gère pas par le pantouflage et aucune missive au monde ne vous permettra de nous faire prendre votre immobilisme pour une stratégie ou une sagesse efficace.
Le don de soi et la proximité qui sont attendus d'un gouvernement me semblent bien éloignés, des préoccupations d'un individu qui débarque en mocassins dans une banlieue inondée.
La table rase est une mécanique peu efficace surtout qu'elle peut être dangereuse entre les mains manucurées d'un Premier Ministre qui se croit Directeur Général du Gouvernement et qui prend les doléances des sénégalais pour des demandes de prêt.
On peut mieux comprendre pourquoi il tourne en rond après sept mois à la Primature , sans savoir ou il va et sans poser des actes concrets, afin de relever le défi pour réaliser une croissance forte, durable, et partagée, trajectoire sur laquelle Abdoulaye Wade avait inscrit et engagé le Sénégal dans un contexte international et politique défavorable.
Sans vraiment comprendre (surprenant pour des banquiers qui ont trompé le Président !!!) les effets néfastes, d'un recul de la croissance (du fait de la sécheresse, du contexte pré électoral, etc…) et ses conséquences sur la masse monétaire (M1), en lieu et place, ils nous servent un ramassis de contre vérités indexant la disparition subite " d'un soit disant argent sale ", si tel est le cas n’en sont-ils pas comptables en leur qualité d'ex banquiers.
Oui, bien sur.
C'est vrai qu'au supermarché de la bonne gouvernance, les rayons sont biens garnis et il n'est pas interdit aux clients de choisir leurs articles selon leur humeur ou posture du jour, mais comme dit l'autre, demain il fera jour.....
Mal tourné, échoué