Les ressortissants du village de Diattang (Département de Bignona) ont initié des journées culturelles à Dakar le week-end dernier. En effet, selon le président de l’association Sofora, ces journées sont des moments d’échanges, d’ouverture et de partage. Ainsi, il est offert à toutes les ethnies sœurs l’occasion de découvrir la richesse de la culture Diola. «L’association SOFORA existe depuis plus de quarante ans. Elle a été mise en place pour regrouper l’ensemble des ressortissant de Diattang en vu de travailler dans le sens de la promotion du développement de notre village. Donc, depuis 6 ans nous organisons des journées culturelles pour réunir nos membres durant 72h pour le développement de notre culture Diola», a souligné le président de l’association, Soulèye Emile Diédhiou.
A l’en croire, l’organisation de ce genre d’événement n’a pas de retombées financières, mais il reste important du moment où il mobiliser presque tous leurs ressortissants du village pour promouvoir la culture Diolas. «Tout ce qui est culturel n’est pas de retombées financières. Donc, nous nous appuyons sur les cotisations des membres pour la réussite de la fête. Nous organisons des activités lucratives afin de supporter une partie des charges de l’organisation. Nous avons eu satisfaction jusque là parce que l’objectif premier est de rassembler nos ressortissants. Nous avons quand même réussi le pari de la promotion de la culture Diola», se réjouit M. Diédhiou.
Par ailleurs, les 72 h de Diattang sont des moments de communion et de raffermissement des liens de parenté. «Nos enfants qui sont nés à Dakar ne se connaissent pas comme nous autres qui sommes nés au village Donc, c’est une occasion de les regrouper», martèle Yankhoba Gomez Coly chargé des affaires extérieures de l’association SOFORA. Et d’ajouter : «nous sommes à la sixième édition. Nous organisons des séances de lutte, de danse du «Coumpo» et des séances de compétions de l’usage de la langue Diola dont les meilleurs son primés».
A l’en croire, l’organisation de ce genre d’événement n’a pas de retombées financières, mais il reste important du moment où il mobiliser presque tous leurs ressortissants du village pour promouvoir la culture Diolas. «Tout ce qui est culturel n’est pas de retombées financières. Donc, nous nous appuyons sur les cotisations des membres pour la réussite de la fête. Nous organisons des activités lucratives afin de supporter une partie des charges de l’organisation. Nous avons eu satisfaction jusque là parce que l’objectif premier est de rassembler nos ressortissants. Nous avons quand même réussi le pari de la promotion de la culture Diola», se réjouit M. Diédhiou.
Par ailleurs, les 72 h de Diattang sont des moments de communion et de raffermissement des liens de parenté. «Nos enfants qui sont nés à Dakar ne se connaissent pas comme nous autres qui sommes nés au village Donc, c’est une occasion de les regrouper», martèle Yankhoba Gomez Coly chargé des affaires extérieures de l’association SOFORA. Et d’ajouter : «nous sommes à la sixième édition. Nous organisons des séances de lutte, de danse du «Coumpo» et des séances de compétions de l’usage de la langue Diola dont les meilleurs son primés».