Sommet panafricain des jeunes leaders : Plus de 300 jeunes de différents pays attendus à Dakar le 15 Décembre prochain.

APPEL PANAFRICAIN ET PROGRESSISTE DU 11 MAI 2013-OBD DAY’S
LETTRE DES FEDERALISTES DU TERROIR AUX CITOYENS ET AMIS DU CONTINENT
 A TOUS LES FILS ET TOUTES LES FILLES DU CONTINENT AFRICAIN ! FRERES ET SŒURS EN DIEU LE SEIGNEUR CREATEUR !
 AUX MASSES LABORIEUSES FORCES DE TRAVAIL EN PEINE ET EN SURSIS SUR LE MARCHE DE L’EMPLOI DILUE ET SANS SECURITE SOCIALE VIABLE !
 AUX FORCES CITOYENNES DES JEUNESSES URBAINES ET RURALES DE TOUS LES PAYS MEMBRES DE L’UNION AFRICAINE !
 AUX AMIS INTERNAUTES AFRICAINS ET NON AFRICAINS DE LA DIASPORA ET DES CINQ CONTINENTS EN PLUS DE L’AFRIQUE DU NORD (MAGHREB ET MACHREK) !
 AUX COMMERCANTS GROSSISTES INDUSTRIELS ET OPERATEURS ECONOMIQUES, BANQUIERS, HOMMES ET FEMMES D’AFFAIRES, INVESTISSEURS NATIONAUX ET ETRANGERS, SOCIETES COMMERCIALES ET MULTINATIONALES MERES BASEES AILLEURS !
 A NOS ENFANTS, LES JEUNES POUSSES, JEUNES ACTIFS ET PRO ACTIFS, HUMANISTES DE CE 21ème SIECLE ! GENERATIONS DE L’ESPOIR SAUF D’UN DEMAIN NOUVEAU !
 AUX ETUDIANTS, CHERCHEURS, PROFESSEURS, SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES DES ZONES ET AIRES CULTURELLES FRANCOPHONE, LUSUPHONE ET ANGLOPHONE ! RESPONSABLES MORAUX D’ASSOCIATIONS ET ACTEURS SOCIAUX COMPTABLES DEVANT L’HISTOIRE ET LE PROCHE AVENIR !
 A TOUS LES RESSORTISSANTS NATIONAUX, CITOYENS PATRIOTES, ELECTEURS ET ELECTRICES, CONSOMMATEURS ET CONTRIBUABLES, PRODUCTEURS ET TRAVAILLEURS DES CLASSES SOCIALES, CLASSES OUVRIERES ET DES CATEGORIES SOCIALES DES PAYS DE LA CEMAC, DE LA SADEC ET DE LA COMESA, D’UNE PART, ET DE LA CEDEAO D’AUTRE PART !
 AUX ETATS ET GOUVERNEMENTS, INSTITUTIONS DIVERSES ET CHAMBRES PARLEMENTAIRES AYANT RATIFIE L’ACTE CONSTITUTIF DE DURBAN DU 10 JUILLET 2002 !
Voici pour vous, via un succinct rappel du contexte évènementiel, de cet Appel Panafricain du cœur des «fédéralistes locaux» que nous sommes, depuis Dakar, ancienne capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF), en ce Mardi 27 août 2013, 38 ans après l’assassinat du NEGUS, le 27 août 1975, à Addis Abeba, après avoir doté l’Ethiopie d’une Constitution fédérale et le reste du continent de la Charte d’Addis Abeba du 25 mai 1963 fondant l’Organisation de l’Unité africaine (ex OUA), ancêtre de l’Union Africaine
1. Genèse et Rappel du contexte historique (plaidoyer pour une nouvelle histoire africaine au 21ème siècle)
Il y a déjà 21 ans, le 24 février 2013, dans le creuset universitaire de la ville d’Aix-en-Provence, dans le midi de la France, département des Bouches du Rhône et Région Provence Alpes Côte d’Azur (PACA), que sur initiative de votre serviteur, en pleine guerre du Golf, que cet appel avait été lancé APPEL A TOUS LES FILS ET A TOUTES LES FILLES DU CONTINENT AFRICAIN. C’était en 1992, pendant que nous étudions avec ou sans bourse, étudiants salariés ou fils à papa, supporté, pris en charge.
Les étudiants d’alors que nous étions, avions tôt fait de prendre conscience d’entrer dans l’histoire, avec la nouvelle configuration qui se dessinait sous nos yeux hagards d’Africains tout penauds et naïfs à souhait, devant le vrai-faux départ des entreprises françaises et occidentales d’Afrique, continent subitement considéré comme marché non porteur et, parallèlement, coïncidant au retour en force de la politique du bâton et de la carotte préconisée conditionnalité aux Etats africains, pour se plier au joug nouveau de la démocratisation tout azimuts, à outrance (sans les garanties supplémentaires nécessaires à la consolidation du régime d’Etat de droit dit démocratique, laïc et républicain, d’inspiration libérale et d’économie capitalistique). Les contours étaient donc bien dessinés. Nous avons donc lancé cet appel dans le temps et dans l’espace comme un satellite mis en orbite qui travaille pour nous à travers le projet subséquent et consubstantiel de constitution de «cercles de réflexion des africains démocrates et intellectuels sur le fédéralisme». En sigle, CRADIF. Et ce, tant qu’on se trouverait encore en France pour des raisons universitaires justifiées. Nous appelâmes ainsi à la rescousse toutes les ressources humaines étudiantes, militantes, travaillantes et productrices de s’engager. 21 ans après, nous y voilà, ici au Sénégal, ces 10 et 11 mai 2013, pour faire le bilan et le point sur la situation d’alors, et d’avant et d’après mai 68.
2. L’entame de la mission en étude de cas sur le terrain au Mali (le possible démocratique est-il plausible ?)
L’érection de la Section Africaine de ce CRADIF au Mali et l’institutionnalisation de son bureau de gestion organisation et méthode (bureau informel dit BGOM), va favoriser sur les réseaux sociaux et les ondes des stations libres locales, la transformation sociale de la mission politique de rédemption (ou renaissance culturelle africaine) et coïncidait avec notre retour au bercail, pour la plupart ayant terminé leurs études et leurs stages de préprofessionnalisation à Paris et ailleurs en France ou partout en Europe et dans le monde. On n’était censé ne plus réfléchir sur le sens et la portée du concept «Fédéralisme», mais de bien actionner les leviers de commandes du destin fédéral africain, une fois sur place. Avec un projet en tête.
Ce changement de ton était de bon ton, au moment où l’Afrique était appelée à s’auto-assumer financièrement, politiquement, culturellement et scientifiquement. Les ressorts de notre développement nous étaient ainsi confiés sans nous le dire pour autant. La preuve, la tromperie qui a accompagné la spéculation sur la dévaluation du franc Cfa en janvier 1994 à Dakar, en même temps que naissait l’Union Economique et Monétaire de l’Ouest Africain (UEMOA). Afin de sauver le franc français qui battait de l’aile dans l’UE.
De la sorte, les différents acteurs disséminés, un peu partout, devenus l’élite locale dans le monde moderne et sur les territoires les plus reculés aux confins de la planète jusqu’aux villes modernes les plus connectées, connexes et voisines, que nous sommes restés malgré tout, après nos études peu prou bien conduites jusqu’à leur terme ou non, sont aujourd’hui tous conscients appartenir à une tendance politique. A un courant culturel mondial. A une mouvance révolutionnaire avant-gardiste. D’où nos fonctions de gardiens de la cité, vigiles des institutions et censeurs de la démocratie ou REPUBLIQUE FEDERALE DES ETATS NOIRS D’AFRIQUE.
Par les Citoyens du 21ème siècle, devant adopter en conclave «La Charte Universelle des Citoyens du 21ème siècle», pour toute lumière pouvant nous éclairer dans un monde de plus en plus confus et ténébreux ! Pax Africana ! SOIS !
3. Poursuite de la mission et lignes d’attaque sur fond de points de résistance stratégique développée
A cet effet, pourvus que nous sommes en esprit critique, armés de science et animés de principes éthiques et sociaux, suivant en cela les conseils et admonestations de nos preux et illustres prédécesseurs, devanciers, pionniers fédérateurs et créateurs d’Etat, leaders nationalistes, indépendantistes de la lutte d’émancipation des peuples noirs d’Afrique, nous sommes donc plus que jamais, en mesure de lancer l’offensive globale généralisée des Peuples en marche vers leur histoire. Pour contrer (non les chasser) l’attaque en règle globale généralisée du faux départ des investisseurs et opérateurs économiques, industriels et multinationales de France - pour ne citer que ce pays - du continent africain. Ceux là qui klaxonnent leur départ précipité d’une terre où il n’y a pas de marchés réglementés ni de cadre réglementaire, et qui veulent paradoxalement y revenir en force, à l’aide des nouveaux conflits à résorber sur le plan international et la logique de maintien de la paix par des casques bleus de l’ONU ou des forces étrangères intérimaires, n’ont qu’à se taire donc.
4. Méthode et démarches vers une mobilisation massive à mener front de soutien et du salut
Aussi, est réédité et sauvegardé cet appel d’Aix-en-Provence du 24 février 1992, sous sa forme nouvelle D’APPEL DE DAKAR DU 11 MAI 2013. Pour qu’ensemble, à compter de ce mardi 27 août 2013, tous acteurs confondus et catégories d’âge et de classes sociales intégrées, nous nous dirigions par le self-express government vers le welfare state réel de l’Etat Léviathan : l’Empyrée, la «Nouvelle Héloïse», la «Jérusalem nouvelle», la «Cité de Dieu», le Royaume du Paradis sur terre ou Félicité, lieu du séjour de toutes les demandes satisfaites. Fiction ou réalité ? Toujours est-il que les peuples forts font et défont les verrous de l’histoire sans défoncer des portes. Et pourtant, Histoire qui est une porte fermée, à défoncer à tout moment porte close ou passage interdit. Ce fut le cas en Irak, en Libye et en Afrique subsaharienne actuellement, dans certaines zones (soudano-sahélienne). Sans forcer sur la marche martiale vers les théâtres d’opérations ni insister sur les démarches diplomatiques, préalables nécessaires des procédures onusiennes indispensables comme garantie (Résolutions du Conseil de Sécurité). Sans ployer les peuples sous le poids de leur destin économique (lutte contre la pauvreté et la corruption) ni les contraindre à partager un sort commun (mode de scrutin et type de légitimité électorale). Notre mobilisation doit être à la hauteur des défis lancés, qui sont à relever entièrement, au nom de notre émergence étatique et fédérale : la société multiraciale ouverte, pluraliste et volontariste de la Nation Arc en ciel de fin d’Apartheid. D’où toutes nos contradictions, à l’interne et à l’internationale. Lacune que veut résorber cet élan de passion pour le fédéralisme en Afrique noire.
Par le projet Cradif et du festival panafricain international et sous régional d’Afrique de l’Ouest : la New Black Africa Mali 2014 for peace.

5. Actions d’échelle et économie d’échelle à engager luttes sempiternelles dans la guerre économique et commerciale mondiale
• Il nous sera donc, encore une fois, demandé, de poursuivre dans notre lancée pour le sursaut collectif initié projet ;
• De militer en faveur de la renaissance et d’inaugurer à nouveau, une néo-ère d’émergence culturelle réelle en soi ;
• Il nous sera dit de ne pas laisser passer l’absolution des péchés d’enrichissement illicite ni les impunités vécues par ci, par là ;
• Il nous faudra aussi avoir du courage, pour garder présent à l’esprit, le sens de l’ouverture aux autres peuples du monde libre et contemporain ;
• Il nous faudra veiller à ne point trop se mouiller à la culture locale endogène d’aires civilisationnelles propres ou impropres ;
• Il est urgent de cultiver sa différence, de se soumettre à nos lois nouvelles, et d’obéir à la logique de notre conscience, notre bon sens, «la chose du monde la mieux partagée», selon le philosophe et mathématicien français René Descartes. Chose commune à tous et toutes, fils et filles d’Afrique ou d’ailleurs : un esprit saint dans un corps sain et sauf. Pour tout dire !
Ainsi soit-il ! Amen !
Priorité collective du sursaut communautaire pour la survie de la race noire tout court.
Seigneur Créateur ! Nous t’avons prié ! Entends Nous et Dirige nous : car nous en avons besoin (de lumière).
Le Bureau de Gestion Organisation et Méthode du Cercle de Réflexion des Africains Démocrates et Intellectuels pour le Fédéralisme – Section Africaine et Section Nationale Sénégalaise de l’Appel d’Aix-en-Provence du 24 février 1992.
CRADIF BGOM – Journal «La Plume Libérée», BP 16045 Dakar Fann
Bureau Internet- Courriel-messagerie : cradif.bgom@hotmail.com/707970358/703009172,
Dakar, ce Mardi 27 Août 2013, cité Bourguiba, Villa n°1, Dakar (Sénégal)
Programmeur, promoteur, initiateur, diffuseur :
LEYE KM dit Ras Staff (Tapha pour les amis)
Réagissez ! Manifestez-vous ! Sortez de l’ombre ! Exprimez-vous ! Dites ce que vous en pensez ! Libérez-vous vous-mêmes de l’esclavage mental ! Répondez à notre appel ! Rejoignez-nous ! Participez ! Inscrivez-vous et agissons ensemble pour le programme d’organisation rationnelle et de sauvetage des sociétés africaines en péril (ORSSA-P). Raison d’être du cercle de réflexion des africains(e) démocrates et intellectuel(le)s pour le fédéralisme (CRADIF). Section africaine et internationale des maisons d’éditions panafricaines et de la culture auprès de la diaspora et des communautés nationales d’immigrés en pays étrangers, compatriotes locaux et ressortissants nationaux. Quand nous serons unis ça va faire mal ! Mais on n’y peut rien ! C’est la volonté de….