Bien qu’ayant été victime du manque de scrupules de certains producteurs locaux, Abdou Diop a cet amour pour son pays intact. C’est d’ailleurs la raison qui explique sa présence à Dakar, lui qui avait toute envie d’évoluer dans le show-biz sénégalais « infesté d’escrocs ».
En 2000, après avoir fait les beaux jours du Metissacana avec son groupe le « Aynoobé » (Les Eleveurs) ce chanteur de tradi-moderne sort son premier album, qui a été financé par le programme Psic de l’Union Européenne. Mais la vente de l’album se révèle une vraie catastrophe.
Douze ans plus tard, il met sur le marché…londonien son second album. Intitulé « Nootee », qui selon son auteur signifie « répondez à l’appel de celui qui vit la galère », cet album qui a vu le jour grâce à Stern Music comporte 12 titres, les uns plus succulents que les autres. Les thèmes qui y sont développés sont « la solidarité, le travail et l’amour ». Sa sortie sur le marché national est prévue en février 2013.
D’ores et déjà, le chanteur Abdou Diop balise la voie à son deuxième bébé et lui veut un avenir radieux. « J’ai concocté un plan minutieux pour l’écouler facilement à Dakar », sourit-il avant de lever un pan de sa stratégie de vente. « Je compte organiser une soirée dédicace et le ticket d’entrée sera mon Cd », nous révèle-t-il au cours d’un court entretien.
Mais c’est comme si l’expérience de 2000 continue à hanter ce fils du Fouladou qui s’exerce dans la chanson depuis1993. « Je ne compte pas rester au Sénégal, je suis juste venu pour écouler mon produit et faire comprendre aux mélomanes que le tradi-moderne voire l’acoustique dont l’avenir de la musique. Pour en avoir le cœur net, allez en Europe, les maisons de productions ne sont pas emballées par les mbalax-men. Ma maison de production n’a produit que trois chanteurs sénégalais, Youssou Ndour, Ismaël Lô et moi-même », philosophe Abdou Diop.
En 2000, après avoir fait les beaux jours du Metissacana avec son groupe le « Aynoobé » (Les Eleveurs) ce chanteur de tradi-moderne sort son premier album, qui a été financé par le programme Psic de l’Union Européenne. Mais la vente de l’album se révèle une vraie catastrophe.
Douze ans plus tard, il met sur le marché…londonien son second album. Intitulé « Nootee », qui selon son auteur signifie « répondez à l’appel de celui qui vit la galère », cet album qui a vu le jour grâce à Stern Music comporte 12 titres, les uns plus succulents que les autres. Les thèmes qui y sont développés sont « la solidarité, le travail et l’amour ». Sa sortie sur le marché national est prévue en février 2013.
D’ores et déjà, le chanteur Abdou Diop balise la voie à son deuxième bébé et lui veut un avenir radieux. « J’ai concocté un plan minutieux pour l’écouler facilement à Dakar », sourit-il avant de lever un pan de sa stratégie de vente. « Je compte organiser une soirée dédicace et le ticket d’entrée sera mon Cd », nous révèle-t-il au cours d’un court entretien.
Mais c’est comme si l’expérience de 2000 continue à hanter ce fils du Fouladou qui s’exerce dans la chanson depuis1993. « Je ne compte pas rester au Sénégal, je suis juste venu pour écouler mon produit et faire comprendre aux mélomanes que le tradi-moderne voire l’acoustique dont l’avenir de la musique. Pour en avoir le cœur net, allez en Europe, les maisons de productions ne sont pas emballées par les mbalax-men. Ma maison de production n’a produit que trois chanteurs sénégalais, Youssou Ndour, Ismaël Lô et moi-même », philosophe Abdou Diop.