S’il y a des gens qui sont vraiment en phase avec le président de la République et qui le soutiennent dans toutes ses actions, ce sont les cadres de l’Alliance pour la République (APR). En bon soldats, les éléments de cette structure pilotée par l’ancien directeur général de l’Agence de régulation des postes et des télécommunications (ARTP), devenu ministre à la faveur de ce réaménagement gouvernemental, au garde-à vous et les bras le long de la couture du pantalon, ont salué cette mesure du Président de la République. Ce, en dépit du fait que des ministères de souveraineté tels que les Affaires étrangères, l’Intérieur et l’Energie, qui naguère étaient dirigés par des militants de leur parti, aient échu à des hommes qui n’ont aucune coloration politique, du moins officiellement. Explication, c’est parce que «la patrie avant le parti, n’est pas un vain slogan», clament-ils.
Bien au contraire, selon les camarades de Thierno Alassane Sall, il s’agit pour le président de la République d’une volonté «d’accélérer les réponses pour une meilleurs prise en charge des besoins des Sénégalais». Poursuivant dans leur stratégie d’apologie de cette décision, ils font noter que le président Macky Sall est «à la recherche de plus d’efficacité dans la conduite des actions du gouvernement avec des hommes qui peuvent faire face aux défis de l’heure». Du coup, ils demandent aux Sénégalais «plus de patience pour permettre au gouvernement d’apporter les solutions idoines pour la résolution de leurs problèmes». Car, notent-ils, les urgences sont certes là, «mais six mois, c’est tout de même court».
Aussi, les cadres de l’APR se refusent de lier ce réaménagement intervenu au lendemain de la célébration de la Tabaski à une quelconque onction donnée par l’imam ratib de la grande mosquée de Dakar. Celui-ci avait en effet demandé au président Macky Sall «d’aller chercher les compétences partout où elles se trouvent, au-delà des clivages politiques, pour la conduite des affaires». Mais pour les cadres de l’APR, «le réaménagement obéi à une seule logique, celle de l’efficacité et cela, au-delà de toutes autres préoccupations».
Revenant sur une éventuelle frustration des militants de l’APR avec le retrait des ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de l’Energie, les cadres du parti de Macky Sall dégagent en touche et parlent d’un redéploiement des forces et des compétences.
Bien au contraire, selon les camarades de Thierno Alassane Sall, il s’agit pour le président de la République d’une volonté «d’accélérer les réponses pour une meilleurs prise en charge des besoins des Sénégalais». Poursuivant dans leur stratégie d’apologie de cette décision, ils font noter que le président Macky Sall est «à la recherche de plus d’efficacité dans la conduite des actions du gouvernement avec des hommes qui peuvent faire face aux défis de l’heure». Du coup, ils demandent aux Sénégalais «plus de patience pour permettre au gouvernement d’apporter les solutions idoines pour la résolution de leurs problèmes». Car, notent-ils, les urgences sont certes là, «mais six mois, c’est tout de même court».
Aussi, les cadres de l’APR se refusent de lier ce réaménagement intervenu au lendemain de la célébration de la Tabaski à une quelconque onction donnée par l’imam ratib de la grande mosquée de Dakar. Celui-ci avait en effet demandé au président Macky Sall «d’aller chercher les compétences partout où elles se trouvent, au-delà des clivages politiques, pour la conduite des affaires». Mais pour les cadres de l’APR, «le réaménagement obéi à une seule logique, celle de l’efficacité et cela, au-delà de toutes autres préoccupations».
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