Sept prisonniers politiques ont été libérés au Soudan ce mardi, au lendemain de l'annonce par le président Omar Hassan al Bachir de la libération de tous les détenus de cette catégorie.
L'amnistie fait suite à la signature d'un accord de paix le mois dernier entre le Soudan et le Soudan du Sud et la reprise des flux pétroliers transfrontaliers.
Accusés d'avoir participé à une réunion de rebelles
Sept membres d'un groupe d'opposition ont été libérés de la prison de Kober, à Khartoum, selon des témoins. Ils étaient détenus depuis janvier et accusés d'avoir participé à une réunion de rebelles soudanais en Ouganda qui prévoyaient de renverser le président Bachir.
Farouk Abou Issa, chef des Forces du consensus national, coalition des principaux partis d'opposition, a confirmé à Reuters la libération des sept hommes et demandé «la libération de tous les autres prisonniers politiques».
Les groupes de défense des droits de l'homme accusent le gouvernement de détenir un nombre indéterminé de dissidents arrêtés lors de manifestations contre les mesures d'austérité annoncées l'année dernière par le président Bachir. Dans un discours devant le Parlement lundi, le chef de l'Etat, au pouvoir depuis 1989, n'a pas précisé le nombre de détenus qui seraient couverts par l'amnistie, ni la date de leur libération.
L'amnistie fait suite à la signature d'un accord de paix le mois dernier entre le Soudan et le Soudan du Sud et la reprise des flux pétroliers transfrontaliers.
Accusés d'avoir participé à une réunion de rebelles
Sept membres d'un groupe d'opposition ont été libérés de la prison de Kober, à Khartoum, selon des témoins. Ils étaient détenus depuis janvier et accusés d'avoir participé à une réunion de rebelles soudanais en Ouganda qui prévoyaient de renverser le président Bachir.
Farouk Abou Issa, chef des Forces du consensus national, coalition des principaux partis d'opposition, a confirmé à Reuters la libération des sept hommes et demandé «la libération de tous les autres prisonniers politiques».
Les groupes de défense des droits de l'homme accusent le gouvernement de détenir un nombre indéterminé de dissidents arrêtés lors de manifestations contre les mesures d'austérité annoncées l'année dernière par le président Bachir. Dans un discours devant le Parlement lundi, le chef de l'Etat, au pouvoir depuis 1989, n'a pas précisé le nombre de détenus qui seraient couverts par l'amnistie, ni la date de leur libération.