L’artiste-musicien belge, originaire du Rwanda, Stromae, a déclaré qu’à Dakar, la capitale sénégalaise, où il donne mercredi soir (20h) le premier concert de sa première tournée africaine, comme pour les sept autres étapes, il devra faire ses preuves face au public pour le convaincre avec sa musique.
‘’Ici, il y a des attentes. Ce qu’on me raconte, c’est qu’il y a des gens qui connaissent +Papaoutai+ (son premier grand succès), mais pas forcément Stromae. Il y en a qui connaissent Stromae. Il y a tout ça. Je vais essayer de rencontrer ce public, de le saluer, de m’entendre avec lui et de le convaincre. Je n’ai jamais fait de concert ici, je dois faire mes preuves en fait", a-t-il affirmé, mardi, lors d’une conférence de presse.
Il a dit qu’il appréhendait cette première rencontre avec un public du continent africain, relevant qu’il a "peur de l’inconnu". "J’appréhende un peu, pour être honnête, comme chaque continent sur lequel on a été et qu’on connaissait moins bien que celui où j’ai grandi (l’Europe)", a-t-il souligné.
Stroame a ajouté : "J’ai peur de l’inconnu, étant donné que je suis assez rigide et calculateur, forcément, dès que je suis face à l’inconnu. Je perds un peu mes moyens. C’est cet inconnu qui me fait un peu peur. Mais c’est l’excitation, évidemment. Comme chaque excitation lorsqu’on monte sur scène. C’est l’imprévu, c’est positif, c’est super."
Cette "peur", a expliqué Stromae, est surtout liée à son caractère personnel. "J’aime bien savoir ce qui va se passer. Et forcément, quand je ne sais pas ce qui se passe, j’appréhende un petit peu, a-t-il insisté (…) Comme tous les publics que je découvre, j’appréhende, parce que je ne sais pas comment il va réagir."
"Je ne sais pas s’il (le public dakarois) va réagir à mes blagues. En général, s’ils ne rigolent pas je suis plutôt content. J’appréhende, même s’il y a un vrai enthousiasme. Il y a quand même pas mal de gens qui promettent le déplacement. On ne sait jamais comment ça va se passer. Donc j’appréhende, comme quand on a été aux Etats-Unis. Mais c’est encore différent, parce qu’aux Etats-Unis, c’était un projet en développement", a-t-il indiqué.
Dakar, la capitale sénégalaise, est la première étape d’une tournée africaine qui va ensuite conduire le musicien belge à Praia, au Cap-Vert (16 mai), Douala, au Cameroun (19 mai), Abidjan, en Côte d’Ivoire (23 mai), Libreville, au Gabon (6 juin), Brazzaville, au Congo (10 juin), Kinshasa, en République démocratique du Congo (13 juin) et Kigali, au Rwanda (20 juin).
A propos de Dakar, il a dit son envie de "revivre les bons moments" qu’il y a passés en 2013 pour l’enregistrement d’un morceau de son album "Racine carrée". "C’étaient des moments en soirée. On a fait un saut assez rapide sur Abidjan. Je vous passe tous les détails de sortie, mais c’étaient de super moments. Evidemment, on a envie de revivre ça", a-t-il dit dans un sourire.
Sur le choix des pays, "c’est plus des rencontres entre les promoteurs locaux et Karim (son manager), et puis des choix et des réalités de planning aussi, qui font qu’on ne peut pas passer partout", a expliqué Stromae.
"Si on pouvait passer partout, on l’aurait fait. On a essayé de passer plus ou moins partout. Evidemment, la priorité pour nous, c’étaient des pays francophones. C’était une façon de résumer le passage ici de la meilleure manière, en essayant de ne déplaire à personne. Avec le temps qui était imparti, évidemment", a-t-il ajouté.
‘’Ici, il y a des attentes. Ce qu’on me raconte, c’est qu’il y a des gens qui connaissent +Papaoutai+ (son premier grand succès), mais pas forcément Stromae. Il y en a qui connaissent Stromae. Il y a tout ça. Je vais essayer de rencontrer ce public, de le saluer, de m’entendre avec lui et de le convaincre. Je n’ai jamais fait de concert ici, je dois faire mes preuves en fait", a-t-il affirmé, mardi, lors d’une conférence de presse.
Il a dit qu’il appréhendait cette première rencontre avec un public du continent africain, relevant qu’il a "peur de l’inconnu". "J’appréhende un peu, pour être honnête, comme chaque continent sur lequel on a été et qu’on connaissait moins bien que celui où j’ai grandi (l’Europe)", a-t-il souligné.
Stroame a ajouté : "J’ai peur de l’inconnu, étant donné que je suis assez rigide et calculateur, forcément, dès que je suis face à l’inconnu. Je perds un peu mes moyens. C’est cet inconnu qui me fait un peu peur. Mais c’est l’excitation, évidemment. Comme chaque excitation lorsqu’on monte sur scène. C’est l’imprévu, c’est positif, c’est super."
Cette "peur", a expliqué Stromae, est surtout liée à son caractère personnel. "J’aime bien savoir ce qui va se passer. Et forcément, quand je ne sais pas ce qui se passe, j’appréhende un petit peu, a-t-il insisté (…) Comme tous les publics que je découvre, j’appréhende, parce que je ne sais pas comment il va réagir."
"Je ne sais pas s’il (le public dakarois) va réagir à mes blagues. En général, s’ils ne rigolent pas je suis plutôt content. J’appréhende, même s’il y a un vrai enthousiasme. Il y a quand même pas mal de gens qui promettent le déplacement. On ne sait jamais comment ça va se passer. Donc j’appréhende, comme quand on a été aux Etats-Unis. Mais c’est encore différent, parce qu’aux Etats-Unis, c’était un projet en développement", a-t-il indiqué.
Dakar, la capitale sénégalaise, est la première étape d’une tournée africaine qui va ensuite conduire le musicien belge à Praia, au Cap-Vert (16 mai), Douala, au Cameroun (19 mai), Abidjan, en Côte d’Ivoire (23 mai), Libreville, au Gabon (6 juin), Brazzaville, au Congo (10 juin), Kinshasa, en République démocratique du Congo (13 juin) et Kigali, au Rwanda (20 juin).
A propos de Dakar, il a dit son envie de "revivre les bons moments" qu’il y a passés en 2013 pour l’enregistrement d’un morceau de son album "Racine carrée". "C’étaient des moments en soirée. On a fait un saut assez rapide sur Abidjan. Je vous passe tous les détails de sortie, mais c’étaient de super moments. Evidemment, on a envie de revivre ça", a-t-il dit dans un sourire.
Sur le choix des pays, "c’est plus des rencontres entre les promoteurs locaux et Karim (son manager), et puis des choix et des réalités de planning aussi, qui font qu’on ne peut pas passer partout", a expliqué Stromae.
"Si on pouvait passer partout, on l’aurait fait. On a essayé de passer plus ou moins partout. Evidemment, la priorité pour nous, c’étaient des pays francophones. C’était une façon de résumer le passage ici de la meilleure manière, en essayant de ne déplaire à personne. Avec le temps qui était imparti, évidemment", a-t-il ajouté.