et documentalistes (Ebad) dit avoir appris avec étonnement le 3 février, que leur établissement a été fermée pour une semaine, à la suite d'une série de malaises chez les étudiantes pour des raisons surnaturelles (crises attribuées à « Djiné Maïmouna », Ndlr). La direction de l'école a démenti cette information avant d'apporter des précisions dans une note. « Nous avons appris avec étonnement ce matin que l’EBAD a été fermée pour une semaine suite à une série de malaises chez les étudiantes pour des raisons surnaturelles. Ces informations relayées et reprises par d’autres médias ne sont pas fondées », lit-on sur le communiqué de presse parvenu à PressAfrik. Toutefois, la direction a confirmé que les cours ont été suspendu momentanément suite à une décision du Comité pédagogique de l’école. « Il s’agit d’une mesure préventive faisant suite à une déclaration de cas de Covid suspects dans un établissement de l’UCAD où logent certaines étudiantes de l’EBAD », a rectifié le document. La même source renseigne que " toutes les mesures sont prises pour assurer la continuité pédagogique".