Les élections sénatoriales qui étaient prévues pour le 16 septembre n’auront finalement pas lieu. Telle est la volonté du Président Macky Sall qui tient ainsi à se donner tous les moyens pour résoudre l’épineuse question des inondations qui ont plongé nombre de sénégalais dans le désarroi. Mais en prenant cette décision, qui, il faut le dire, est plus que courageuse, le chef de l’Etat a pris le risque de se mettre à dos certains de ses alliés qui n’avaient d’yeux que pour le Sénat. Ce, après avoir été oubliés lors du montage du premier gouvernement de l’ère Macky.
Mais, le premier des sénégalais qui met au chômage technique ces politiciens qui n’ont de métier que la politique semble avoir pris cet aspect très au sérieux. Car dans son discours en Wolof, il a bien précisé que cette mesure n’est que temporaire. Macky Sall qui a été porté à la tête du pays le 25 mars dernier, a bien indiqué que les fonds qui devaient aller à l’organisation des élections et à l’entretien des sénateurs doivent être redirigés dans la lutte contre les inondations. Il faut sous-entendre qu’après avoir terrassé les inondations, ce qui semble laborieuse comme entreprise, le président reviendra à l’ « orthodoxie »- selon certains- républicaine en déterrant le Sénat.
En tout état de cause, dans les couloirs des permanences des partis alliés, on rue dans les brancards. Mais le plus important a été fait par le Président Sall qui marque un grand coup médiatique en rayant le Sénat de l’architecture institutionnelle du Sénégal. N’en déplaise aux politiciens professionnels.
Mais, le premier des sénégalais qui met au chômage technique ces politiciens qui n’ont de métier que la politique semble avoir pris cet aspect très au sérieux. Car dans son discours en Wolof, il a bien précisé que cette mesure n’est que temporaire. Macky Sall qui a été porté à la tête du pays le 25 mars dernier, a bien indiqué que les fonds qui devaient aller à l’organisation des élections et à l’entretien des sénateurs doivent être redirigés dans la lutte contre les inondations. Il faut sous-entendre qu’après avoir terrassé les inondations, ce qui semble laborieuse comme entreprise, le président reviendra à l’ « orthodoxie »- selon certains- républicaine en déterrant le Sénat.
En tout état de cause, dans les couloirs des permanences des partis alliés, on rue dans les brancards. Mais le plus important a été fait par le Président Sall qui marque un grand coup médiatique en rayant le Sénat de l’architecture institutionnelle du Sénégal. N’en déplaise aux politiciens professionnels.