SETAL.NET - Parmi les sociétés présumées appartenir à Karim Wade qui ont été placées sous administration provisoire, figure Abs, chargé de transporter les passagers embarquant et débarquant à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor.
Mais d’après l’As lu par Setal.net, l’administrateur provisoire désigné par la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite revêt des habits d’enquêteur puisque dans ses prérogatives, il lui est demandé d’établir un lien juridique et économique entre cette société et d’autres supposées appartenir au fils de Wade.
Ce qui, d’après des juristes interpellés par nos confrères, n’est rien d’autre qu’une anomalie. Selon ces derniers, l’administrateur provisoire doit se limiter à la gestion courante.
Autre chose qui intrigue ces hommes de l’art, c’est le fait de vouloir mettre sur le dos d’Abs, les frais liés à cette mission. « (…) les frais d’administration devaient être supportés par l’Etat puisque c’est au nom du peuple que la justice subit et la société (Abs) n’a pas demandé à être administrée », tranche un juriste qui demande aux conseils de Abdou Diassé (en détention préventive pour complicité d’enrichissement illicite), propriétaire sur le papier d’Abs de porter l’affaire devant les juridictions compétentes.
Mais d’après l’As lu par Setal.net, l’administrateur provisoire désigné par la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite revêt des habits d’enquêteur puisque dans ses prérogatives, il lui est demandé d’établir un lien juridique et économique entre cette société et d’autres supposées appartenir au fils de Wade.
Ce qui, d’après des juristes interpellés par nos confrères, n’est rien d’autre qu’une anomalie. Selon ces derniers, l’administrateur provisoire doit se limiter à la gestion courante.
Autre chose qui intrigue ces hommes de l’art, c’est le fait de vouloir mettre sur le dos d’Abs, les frais liés à cette mission. « (…) les frais d’administration devaient être supportés par l’Etat puisque c’est au nom du peuple que la justice subit et la société (Abs) n’a pas demandé à être administrée », tranche un juriste qui demande aux conseils de Abdou Diassé (en détention préventive pour complicité d’enrichissement illicite), propriétaire sur le papier d’Abs de porter l’affaire devant les juridictions compétentes.