Le 29 mars 2017, la Police de l’air et des frontières (PAF) interceptait à l’aéroport Léopold Sédar Senghor, B.M et B.C, deux ressortissants marocains supposés liés à l’Etat islamique.
Les deux mis en cause présumés venaient de la Turquie, plus précisément d’un camp recueillant des Syriens. Ils ont déclaré, lors d’un bref interrogatoire, qu’ils se sont identifiés en Turquie comme étant des ressortissants syriens mais ont réfuté toute appartenance à un groupe terroriste, toute fréquentation de zone de combats, notamment la Syrie et l’Irak, tout entraînement physique ou au maniement des armes.
L’enquête confiée à la Division des investigations criminelles (DIC) avait néanmoins révélé des indices graves et concordants qui plus est, Rabat avait émis un mandat d’arrêt international et sollicité l’extradition des deux ressortissants marocains sur la base d’une information judiciaire ouverte, pour association de malfaiteurs, participation à la commission d’actes terroristes, financement du terrorisme, apologie du terrorisme.
Depuis lors, les deux ressortissants marocains étaient écroués à Rebeuss dans l’attente que la Chambre d’accusation se prononce sur la demande d’extradition de leur pays.
Selon Libération, les choses sont passées à la vitesse supérieure puisque la Chambre d’accusation a autorisé l’extradition des deux présumés avant que le président de la République ne signe un décret de cet effet.
Les autorités marocaines qui en ont été informés préparent, avec le Sénégal, l’extradition des deux mis en cause présumés.
Les deux mis en cause présumés venaient de la Turquie, plus précisément d’un camp recueillant des Syriens. Ils ont déclaré, lors d’un bref interrogatoire, qu’ils se sont identifiés en Turquie comme étant des ressortissants syriens mais ont réfuté toute appartenance à un groupe terroriste, toute fréquentation de zone de combats, notamment la Syrie et l’Irak, tout entraînement physique ou au maniement des armes.
L’enquête confiée à la Division des investigations criminelles (DIC) avait néanmoins révélé des indices graves et concordants qui plus est, Rabat avait émis un mandat d’arrêt international et sollicité l’extradition des deux ressortissants marocains sur la base d’une information judiciaire ouverte, pour association de malfaiteurs, participation à la commission d’actes terroristes, financement du terrorisme, apologie du terrorisme.
Depuis lors, les deux ressortissants marocains étaient écroués à Rebeuss dans l’attente que la Chambre d’accusation se prononce sur la demande d’extradition de leur pays.
Selon Libération, les choses sont passées à la vitesse supérieure puisque la Chambre d’accusation a autorisé l’extradition des deux présumés avant que le président de la République ne signe un décret de cet effet.
Les autorités marocaines qui en ont été informés préparent, avec le Sénégal, l’extradition des deux mis en cause présumés.