La guerre va-t-elle reprendre de plus belle à l’hôpital Matlaboul Fawzaini de Touba ? Tout porte à le croire. En effet depuis que le Khalif Général des Mourides avait décidé de maintenir Seydina Ababacar Diouf à la tête de la structure médicale malgré la réticence des médecins qui l’ont affronté la veille becs et ongles et demandé son départ, les relations sont restées délétères entre protagonistes. Ainsi chacun essayait-il de faire son travail dans les règles de l’art sans gêner son prochain et indisposer ainsi le Khalif qui attachait du prix au retour de la paix.
L’accalmie n’aura pas duré longtemps. En effet, le syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale (SUTSAS) a trouvé dans la manière de faire du directeur « une volonté manifeste de nuire » à certains travailleurs. Selon le secrétaire général local « l’établissement est dans une situation d’inertie notoire qui empêche son bon fonctionnement du fait des actes de sabotage de Seydina Ababacar Diouf ». En effet, martèle Doudou Ndiaye, dans un communiqué, « malgré l’appel du Khalife Général des Mourides allant dans le sens d’instaurer un climat serein de la structure avec la mise en place d’un comité de règlement et de prévention des conflits, il pose des actes répressifs sur le personnel et prend des décisions irrationnelles ».
Les médecins ont ainsi tenu à manifester leur courroux déclarant du coup leur ferme décision à ne pas laisser faire. Cette sortie du SUTSAS annonce une toute nouvelle guéguerre entre médecins et directeur après celle qui avait coûté la tête du président du conseil d’administration d’alors Abdou Mbacké Ndao.
L’accalmie n’aura pas duré longtemps. En effet, le syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale (SUTSAS) a trouvé dans la manière de faire du directeur « une volonté manifeste de nuire » à certains travailleurs. Selon le secrétaire général local « l’établissement est dans une situation d’inertie notoire qui empêche son bon fonctionnement du fait des actes de sabotage de Seydina Ababacar Diouf ». En effet, martèle Doudou Ndiaye, dans un communiqué, « malgré l’appel du Khalife Général des Mourides allant dans le sens d’instaurer un climat serein de la structure avec la mise en place d’un comité de règlement et de prévention des conflits, il pose des actes répressifs sur le personnel et prend des décisions irrationnelles ».
Les médecins ont ainsi tenu à manifester leur courroux déclarant du coup leur ferme décision à ne pas laisser faire. Cette sortie du SUTSAS annonce une toute nouvelle guéguerre entre médecins et directeur après celle qui avait coûté la tête du président du conseil d’administration d’alors Abdou Mbacké Ndao.