La table ronde organisée le week end dernier à Saly Portudal par l'Agence nationale de la Maison de l'Outil (ANAMO) a réuni, autour du Ministre de la Formation Professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Artisanat, Mamadou Talla, outre les responsables de son département, les représentants des principales structures impliquées dans le processus de développement de notre pays
Elle a surtout relevée par la présence, à côté Malick Mbaye, DG de l'ANAMO, ce celle de Ibrahima Wade, DG du Bureau opérationnel de Suivi du PSE et de Monsieur Thierno Seydou Sy, DG de la BNDE.
La rencontre a été l'occasion pour le Ministre Mamadou Talla de présenter un tableau d'ensemble des nombreuses initiatives du Gouvernement en matière de formation professionnelle et technique et de la nécessité, pour les jeunes en quête d'emplois, de disposer de compétences techniques, ceci par le biais de la formation.
Il a appelé à une bonne coopération entre les différents structures de l'Etat, afin de permettre à son ministère de jouer le soin qui est le sien dans la mise en oeuvre réussie du PSE.
Pour sa part, le DG de l'ANAMO s'est félicité de la tenue de cette importante rencontre qui est à la fois un moment de rencontre et de partage des missions de l'Agence, mais aussi du Plan stratégique à l'horizon 2020, dans le contexte de la mise en oeuvre du PSE. Il s'est fortement réjoui de la présence des partenaires que sont le BOS PSE, la BNDE, le MEFP, etc, ce qui est un gage d'accompagnement certain pour l'ANAMO dans sa mission.
Cette agence est partie de 2 maisons de l’outil, elle en est aujourd’hui à 7 sur un besoin de 36. Cela suppose une accélération de la dynamique de réalisation des maisons de l’outil.
Le plan stratégique, une fois adopté, devra constituer la base de la contribution de l'Agence à la mise en oeuvre du PSE, parce qu'il permettra de donner aux jeunes dans les différentes localités du pays, des qualifications dans différents domaines pour satisfaire le besoins de ressources humaines du secteur privé et des investisseurs.
Selon Ibrahima Wade, DG du BOS, « cet atelier est un moment important de la mise en œuvre du PSE, parce qu’il constitue un instance de partage de tout ce qui est en train d’être fait au niveau du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, principalement au niveau de l’Anamo, qui est un bras technique de ce ministère, pour développer tout ce qui est apprentissage, renforcement de compétences dans les métiers de base, incubation d’entreprises. Cette dimension est enjeu extrêmement important dans la mise en œuvre du Pse.
Le Pse, c’est des projets phares, des réformes phares, mais c'est aussi et surtout des ressources humaines de qualité et en quantité suffisante, dans les différents secteurs productifs.
Nous avons fait des études au niveau du Pse qui nous ont montré les besoins en compétences et en ressources humaines au niveau des principaux secteurs productifs sur lesquels nous misons pour être les six nouveaux moteurs de la croissance. Ces besoins s’estiment à environ 450.000 personnes parmi lesquelles entre 35 et 40% se situent au niveau des métiers de base, c'est à dire avec des qualifications obtenues à partir de la formation professionnelle et technique. Sous ce regard, il est nécessaire, pour réussir la mise en œuvre du Pse, qu'il y ait une disponibilité de ces ressources humaines et de ces compétences.
C’est pourquoi le rôle d’une structure comme l’Anamo est capital parce qu’elle peut contribuer à la préparation de ces compétences à travers les maisons de l’outil.
Une bonne partie de ces besoins en compétences du Pse pourront être pris en compte dans le plan stratégique à l’horizon 2020 qui une fois validé, nécessite des moyens et des ressources. Nous allons donc contractualiser avec l’Anamo en lui confiant un certain nombre d’objectifs. Nous allons discuter, convenir d’un chiffre précis en matière de formation en apprentissage dans les métiers de l’agriculture, de l’agrobusiness, du développement industriel, de l’aquaculture, de l’énergie, du tourisme, et des divers métiers de services connexes. Sur cette base, nous verront comment l’Anamo pourra rendre ces compétences disponibles sur la base d'un échéancier précis, et qui sera complété par ce qui se fait au niveau des lycées d’enseignement professionnel et technique, et des Instituts supérieur d'Enseignement professionnel (ISEP). Ce partenariat suppose bien entendu le renforcement des moyens de l’Anamo, mais aussi des contenus pédagogiques qu’il faudra aligner sur les besoins du Pse."
Elle a surtout relevée par la présence, à côté Malick Mbaye, DG de l'ANAMO, ce celle de Ibrahima Wade, DG du Bureau opérationnel de Suivi du PSE et de Monsieur Thierno Seydou Sy, DG de la BNDE.
La rencontre a été l'occasion pour le Ministre Mamadou Talla de présenter un tableau d'ensemble des nombreuses initiatives du Gouvernement en matière de formation professionnelle et technique et de la nécessité, pour les jeunes en quête d'emplois, de disposer de compétences techniques, ceci par le biais de la formation.
Il a appelé à une bonne coopération entre les différents structures de l'Etat, afin de permettre à son ministère de jouer le soin qui est le sien dans la mise en oeuvre réussie du PSE.
Pour sa part, le DG de l'ANAMO s'est félicité de la tenue de cette importante rencontre qui est à la fois un moment de rencontre et de partage des missions de l'Agence, mais aussi du Plan stratégique à l'horizon 2020, dans le contexte de la mise en oeuvre du PSE. Il s'est fortement réjoui de la présence des partenaires que sont le BOS PSE, la BNDE, le MEFP, etc, ce qui est un gage d'accompagnement certain pour l'ANAMO dans sa mission.
Cette agence est partie de 2 maisons de l’outil, elle en est aujourd’hui à 7 sur un besoin de 36. Cela suppose une accélération de la dynamique de réalisation des maisons de l’outil.
Le plan stratégique, une fois adopté, devra constituer la base de la contribution de l'Agence à la mise en oeuvre du PSE, parce qu'il permettra de donner aux jeunes dans les différentes localités du pays, des qualifications dans différents domaines pour satisfaire le besoins de ressources humaines du secteur privé et des investisseurs.
Selon Ibrahima Wade, DG du BOS, « cet atelier est un moment important de la mise en œuvre du PSE, parce qu’il constitue un instance de partage de tout ce qui est en train d’être fait au niveau du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, principalement au niveau de l’Anamo, qui est un bras technique de ce ministère, pour développer tout ce qui est apprentissage, renforcement de compétences dans les métiers de base, incubation d’entreprises. Cette dimension est enjeu extrêmement important dans la mise en œuvre du Pse.
Le Pse, c’est des projets phares, des réformes phares, mais c'est aussi et surtout des ressources humaines de qualité et en quantité suffisante, dans les différents secteurs productifs.
Nous avons fait des études au niveau du Pse qui nous ont montré les besoins en compétences et en ressources humaines au niveau des principaux secteurs productifs sur lesquels nous misons pour être les six nouveaux moteurs de la croissance. Ces besoins s’estiment à environ 450.000 personnes parmi lesquelles entre 35 et 40% se situent au niveau des métiers de base, c'est à dire avec des qualifications obtenues à partir de la formation professionnelle et technique. Sous ce regard, il est nécessaire, pour réussir la mise en œuvre du Pse, qu'il y ait une disponibilité de ces ressources humaines et de ces compétences.
C’est pourquoi le rôle d’une structure comme l’Anamo est capital parce qu’elle peut contribuer à la préparation de ces compétences à travers les maisons de l’outil.
Une bonne partie de ces besoins en compétences du Pse pourront être pris en compte dans le plan stratégique à l’horizon 2020 qui une fois validé, nécessite des moyens et des ressources. Nous allons donc contractualiser avec l’Anamo en lui confiant un certain nombre d’objectifs. Nous allons discuter, convenir d’un chiffre précis en matière de formation en apprentissage dans les métiers de l’agriculture, de l’agrobusiness, du développement industriel, de l’aquaculture, de l’énergie, du tourisme, et des divers métiers de services connexes. Sur cette base, nous verront comment l’Anamo pourra rendre ces compétences disponibles sur la base d'un échéancier précis, et qui sera complété par ce qui se fait au niveau des lycées d’enseignement professionnel et technique, et des Instituts supérieur d'Enseignement professionnel (ISEP). Ce partenariat suppose bien entendu le renforcement des moyens de l’Anamo, mais aussi des contenus pédagogiques qu’il faudra aligner sur les besoins du Pse."