Vendredi dernier, jour de la Korité, alors que les autres télévisions ont invité des chanteurs, la 2STV s’est démarqué et a proposé à ses téléspectateurs un programme religieux qui a eu pour cadre le somptueux Grand Théâtre national. Occasion saisie par Tafsir Abdourahmane Gaye, l’un des animateurs de ce « Gamou Spécial », pour déclencher une hystérie collective dans la salle. Comment a-t-il vécu ces moments ?
Le prêcheur thiessois raconte dans les colonnes de l’Obs qu’il a perdu ses moyens dès que les gens se sont mis à pleurer. « Lorsque j’ai commencé à parler du thème et que les gens ont commencé à pleurer, je ne pouvais plus me retenir. J’étais absent (…) je ne sentais plus mes jambes. Je ne comprenais plus rien. Lorsqu’on a ôté le micro de ma main, je ne savais plus où j’étais. Lorsque je me suis levé, je demandais ce qui se passait. Où est ce que j’étais. Celui qui a pris le micro est mo demi-frère. Il est arrivé derrière moi et m’a dit : « Lève-toi ! » je tremblais. Je ne savais si je devais m’asseoir ou si je devais sortir de la salle. Ce thème est assez sensible. Il parle des derniers instants du Prophète », raconte-t-il dans les colonnes de l’Observateur lu par Setal.net.
Le prêcheur thiessois raconte dans les colonnes de l’Obs qu’il a perdu ses moyens dès que les gens se sont mis à pleurer. « Lorsque j’ai commencé à parler du thème et que les gens ont commencé à pleurer, je ne pouvais plus me retenir. J’étais absent (…) je ne sentais plus mes jambes. Je ne comprenais plus rien. Lorsqu’on a ôté le micro de ma main, je ne savais plus où j’étais. Lorsque je me suis levé, je demandais ce qui se passait. Où est ce que j’étais. Celui qui a pris le micro est mo demi-frère. Il est arrivé derrière moi et m’a dit : « Lève-toi ! » je tremblais. Je ne savais si je devais m’asseoir ou si je devais sortir de la salle. Ce thème est assez sensible. Il parle des derniers instants du Prophète », raconte-t-il dans les colonnes de l’Observateur lu par Setal.net.