Hier, nos confrères de Libération repris par Setal.net avaient ouvert une brèche sur le fait que Tahibou Ndiaye, arrêté samedi dernier dans le cadre de la traque des biens présumés mal acquis, n’excluait plus de négocier pour recouvrer la liberté. Sachez que c’est ce qui s’est exactement passé.
En effet, l’ancien directeur du Cadastre dont le patrimoine est estimé à prés de 8 milliards a cédé presque tous ses biens pour humer l’air de la liberté. De son patrimoine colossal, il ne réussira à garder que deux terrains nus et une villa, tous acquis avant 2000. tout le reste, c'est-à-dire son appartement de Fès, au Maroc, son palace des Almadies d’une valeur de 1,1 milliard en passant par l’immeuble de la cité Keur Gorgui estimé à 938,2 millions pour ne citer que ces biens immobiliers, seront saisis.
Mais selon Libération, Tahibou Ndiaye n’est en fait que l’arbre qui cache la foret de ces proches de Wade qui négocient pour s’éviter des ennuis judiciaires. Dans le lot figurent quatre anciens ministres qui, contrairement à leur discours virulent contre le régime de Macky Sall, négocient en coulisses avec les autorités pour ne pas atterrir à Rebeuss. Cependant les discussions avec deux parmi les quatre anciens ministres épinglés n’ont pas abouti, fait remarquer Libération dans son édition de ce mercredi.
En effet, l’ancien directeur du Cadastre dont le patrimoine est estimé à prés de 8 milliards a cédé presque tous ses biens pour humer l’air de la liberté. De son patrimoine colossal, il ne réussira à garder que deux terrains nus et une villa, tous acquis avant 2000. tout le reste, c'est-à-dire son appartement de Fès, au Maroc, son palace des Almadies d’une valeur de 1,1 milliard en passant par l’immeuble de la cité Keur Gorgui estimé à 938,2 millions pour ne citer que ces biens immobiliers, seront saisis.
Mais selon Libération, Tahibou Ndiaye n’est en fait que l’arbre qui cache la foret de ces proches de Wade qui négocient pour s’éviter des ennuis judiciaires. Dans le lot figurent quatre anciens ministres qui, contrairement à leur discours virulent contre le régime de Macky Sall, négocient en coulisses avec les autorités pour ne pas atterrir à Rebeuss. Cependant les discussions avec deux parmi les quatre anciens ministres épinglés n’ont pas abouti, fait remarquer Libération dans son édition de ce mercredi.