Corpulent avec son regard certain, Baye Kara se souvient fraichement de ses premiers pas dans le mouvement hip hop. C’est parce que Karamokho Keita, de son vrai nom, est l’un des précurseurs du rap dans la région de Tambacounda. Il était d’ailleurs du mythique groupe de rap Diwan-J. Ce groupe de rap qui a ébloui les salles de spectacle du pays et qui a fait la fierté de tout le Sénégal oriental.
Aujourd’hui, Baye Kara évolue en solo et participe à des festivals en Espagne, en France et aux Etats-Unis sans oublier les featurings qu’il a pu enregistrer avec des artistes comme Fafady, Fata, Amel Bent, Sefyu et quelques rappeurs américains. Des choses qui ont failli ne pas se réaliser. Pour cause, Baye Kara émettait des doutes sur sa capacité d’entamer une carrière musicale avec son état de handicap. Mais après une prise de conscience, il s’est donné l’occasion de prendre le micro pour dénoncer les maux de la société comme il aime à le préciser.
C’est avec une persévérance et une créativité qu’il a pu réussir à exister socialement et artistiquement malgré le fait qu’il est handicapé d’une jambe. Pour lui « être un handicapé ce n’est pas une fatalité ».
« L’essentiel c’est de réussir sa vie. Etre dans de très bonnes conditions pour pouvoir se prendre en charge et aider ta famille, tes proches. C’est ce qui importe. Le fait de marcher avec des béquilles ou à l’aide d’un appareil ce n’est pas important » poursuit-il.
A l’heure actuelle, l’artiste-rappeur tambacoundois prépare la célébration de ses 24 ans de musique prévue au mois de décembre 2016. Une commémoration qu’il voudrait bien partager avec tous ses fan’s. Un moment pour lui aussi de faire le point à ce stade de sa carrière pour ensuite se projeter dans l’avenir. Décidément, Baye Kara n’a pas encore l’envie de ranger le micro.
Aujourd’hui, Baye Kara évolue en solo et participe à des festivals en Espagne, en France et aux Etats-Unis sans oublier les featurings qu’il a pu enregistrer avec des artistes comme Fafady, Fata, Amel Bent, Sefyu et quelques rappeurs américains. Des choses qui ont failli ne pas se réaliser. Pour cause, Baye Kara émettait des doutes sur sa capacité d’entamer une carrière musicale avec son état de handicap. Mais après une prise de conscience, il s’est donné l’occasion de prendre le micro pour dénoncer les maux de la société comme il aime à le préciser.
C’est avec une persévérance et une créativité qu’il a pu réussir à exister socialement et artistiquement malgré le fait qu’il est handicapé d’une jambe. Pour lui « être un handicapé ce n’est pas une fatalité ».
« L’essentiel c’est de réussir sa vie. Etre dans de très bonnes conditions pour pouvoir se prendre en charge et aider ta famille, tes proches. C’est ce qui importe. Le fait de marcher avec des béquilles ou à l’aide d’un appareil ce n’est pas important » poursuit-il.
A l’heure actuelle, l’artiste-rappeur tambacoundois prépare la célébration de ses 24 ans de musique prévue au mois de décembre 2016. Une commémoration qu’il voudrait bien partager avec tous ses fan’s. Un moment pour lui aussi de faire le point à ce stade de sa carrière pour ensuite se projeter dans l’avenir. Décidément, Baye Kara n’a pas encore l’envie de ranger le micro.
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