Située entre l’Avenue Lamine Guèye et l’Avenue Léopold Sédar Senghor, à hauteur de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Thiès, la permanence départementale de l’Alliance pour la République (APR) a ouvert ses portes, ce 23 novembre. Cette manifestation placée sous le signe de l’unité des responsables de la Capitale du rail a tenue toutes ses promesses : mobilisation monstre, actes de vandalisme venant de grands responsables, manque de respect pour les militants pour certains, ignorance de leurs rôles pour d’autres.
De mémoire de thiessois, on a rarement vu une inauguration de permanence de parti drainer autant de foule. C’est fou ! Mais, Thiès est une ville tellement politisée que rien sur ce plan ne peut s’y faire sans excès. Rien n’a pu contenir ce balancement de militants que des cars Ndiaga-Ndiaye vomissaient par centaines dans cette rue que les municipalités successives ont oublié de baptiser. Déjà, à 14h, un premier car de militants venus soutenir leur mentor Dr Pape Amadou Ndiaye était arrivé sur les lieux. Au même moment des bagarres sporadiques opposaient des partisans à diverses postures. Les uns voulaient faire respecter la consigne de ne jamais faire apparaître d’autres effigies que celles de Macky Sall, et les autres tenaient à mettre en avant les slogans ou les banderoles de leurs leaders. Sur les duex principales tribunes, on ne voyait que les banderoles bien en exergue du Ministre Thierno A. Sall. La tension est restée vive toute la journée. A entendre les différents camps qui se sont distingués, il y avait deux protagonistes. Ceux qui gardaient jalousement les banderoles de T.A.S et ceux qui se réclamaient du camp du MFA Augustin Tine. Des entrevues et moult conciliabules entre des responsables emportés par la montée de l’adrénaline, n’ont pas eu raison des velléités de sabotage manifeste qui habitaient certains militants-nervis à la solde de mentors en mal de reconnaissance. D’autres responsables ont aussi été accusés de rompre le consensus en habillant leurs militants de tee-shirts à leur effigie et en amenant des banderoles. Des cars de transport urbain ont débarqué des jeunes et des femmes portant des tee-shirts avec en macaron Lamine Ndiaye (responsable à Thiès-nord) et Macky Sall. Ainsi, la montagne dirait-on, a accouché d’une montagne de souris, car les plus de vingt orateurs prévus pour la circonstance ne prendront jamais la parole. Cependant, l’histoire retiendra qu’un après-midi d’un 23 novembre, l’APR a mobilisé fortement à Thiès à un prix assez élevé : des attaques violentes à la bombe lacrymogène, une fille transférée à l’hôpital et un jeune électrocuté.
Prenant à témoin, le Ministre-Conseiller Politique du Chef de l’Etat, Makhmout Saleh, le Manager Général adjoint de l’APR, les responsables par la voix du 3ème Vice-Président de l’Assemblée Nationale, ont tenu à rendre hommage aux militants qui ont répondu massivement à l’appel de l’unité. Aussi, Dr Augustin Tine, Dr Pape Amadou Ndiaye, Demba Diouf, Lamine Ndiaye, Seynabou Ndièguène (PCA Transrail) et d’autres responsables du département de Thiès ont-ils décidé de siffler la fin de la récréation et de travailler ensemble à l’extension des bases de l’APR et à sa massification sans frontière. En attendant, tout ce beau monde s’en remet à la décision du premier responsable de leur parti quant aux actes d’indiscipline posés par certains militants lors de cette inauguration.
De mémoire de thiessois, on a rarement vu une inauguration de permanence de parti drainer autant de foule. C’est fou ! Mais, Thiès est une ville tellement politisée que rien sur ce plan ne peut s’y faire sans excès. Rien n’a pu contenir ce balancement de militants que des cars Ndiaga-Ndiaye vomissaient par centaines dans cette rue que les municipalités successives ont oublié de baptiser. Déjà, à 14h, un premier car de militants venus soutenir leur mentor Dr Pape Amadou Ndiaye était arrivé sur les lieux. Au même moment des bagarres sporadiques opposaient des partisans à diverses postures. Les uns voulaient faire respecter la consigne de ne jamais faire apparaître d’autres effigies que celles de Macky Sall, et les autres tenaient à mettre en avant les slogans ou les banderoles de leurs leaders. Sur les duex principales tribunes, on ne voyait que les banderoles bien en exergue du Ministre Thierno A. Sall. La tension est restée vive toute la journée. A entendre les différents camps qui se sont distingués, il y avait deux protagonistes. Ceux qui gardaient jalousement les banderoles de T.A.S et ceux qui se réclamaient du camp du MFA Augustin Tine. Des entrevues et moult conciliabules entre des responsables emportés par la montée de l’adrénaline, n’ont pas eu raison des velléités de sabotage manifeste qui habitaient certains militants-nervis à la solde de mentors en mal de reconnaissance. D’autres responsables ont aussi été accusés de rompre le consensus en habillant leurs militants de tee-shirts à leur effigie et en amenant des banderoles. Des cars de transport urbain ont débarqué des jeunes et des femmes portant des tee-shirts avec en macaron Lamine Ndiaye (responsable à Thiès-nord) et Macky Sall. Ainsi, la montagne dirait-on, a accouché d’une montagne de souris, car les plus de vingt orateurs prévus pour la circonstance ne prendront jamais la parole. Cependant, l’histoire retiendra qu’un après-midi d’un 23 novembre, l’APR a mobilisé fortement à Thiès à un prix assez élevé : des attaques violentes à la bombe lacrymogène, une fille transférée à l’hôpital et un jeune électrocuté.
Prenant à témoin, le Ministre-Conseiller Politique du Chef de l’Etat, Makhmout Saleh, le Manager Général adjoint de l’APR, les responsables par la voix du 3ème Vice-Président de l’Assemblée Nationale, ont tenu à rendre hommage aux militants qui ont répondu massivement à l’appel de l’unité. Aussi, Dr Augustin Tine, Dr Pape Amadou Ndiaye, Demba Diouf, Lamine Ndiaye, Seynabou Ndièguène (PCA Transrail) et d’autres responsables du département de Thiès ont-ils décidé de siffler la fin de la récréation et de travailler ensemble à l’extension des bases de l’APR et à sa massification sans frontière. En attendant, tout ce beau monde s’en remet à la décision du premier responsable de leur parti quant aux actes d’indiscipline posés par certains militants lors de cette inauguration.