L’homme éblouissait sa génération par la clarté de ses idées et la pertinence de ses discours. Venu au monde une nuit de vendredi à Darou Alimoul Khabir à l’an 1333 de l’hégire soit au mois de novembre 1914, Serigne Abdou Khadre est perçu comme un cadeau divin par son paternel.
Ce dernier, Cheikh Ahmadou Bamba, en l’occurrence, n’avait pas manqué de dire à son frère Mame Thierno Ibra Faty tout le bonheur qu’il avait en apprenant la naissance de celui qui devait être l’un de ses Khalifes. L’envoya lui rendre visite, Bamba dira à son émissaire : « au nom et à la baraka de ce nouveau-né que tu vas voir, sache qu’au cours de ton voyage tous ceux qui te verront ou que tu verras seront préservés des flammes de l’enfer ».
Ainsi, le monde découvrait Serigne Abdou Khadre dit Djily. Il devint le 4ème patriarche de Touba durant 11 courts mois seulement avant d’être arraché à l’affection des musulmans en 1990. Grand soufi, islamologue émérite, l’Imam des Imams semble être parti comme il est venu. Il appartient, de par sa mère Sokhna Aminata Bousso, à la grande famille des Mboussobé.
Ce dernier, Cheikh Ahmadou Bamba, en l’occurrence, n’avait pas manqué de dire à son frère Mame Thierno Ibra Faty tout le bonheur qu’il avait en apprenant la naissance de celui qui devait être l’un de ses Khalifes. L’envoya lui rendre visite, Bamba dira à son émissaire : « au nom et à la baraka de ce nouveau-né que tu vas voir, sache qu’au cours de ton voyage tous ceux qui te verront ou que tu verras seront préservés des flammes de l’enfer ».
Ainsi, le monde découvrait Serigne Abdou Khadre dit Djily. Il devint le 4ème patriarche de Touba durant 11 courts mois seulement avant d’être arraché à l’affection des musulmans en 1990. Grand soufi, islamologue émérite, l’Imam des Imams semble être parti comme il est venu. Il appartient, de par sa mère Sokhna Aminata Bousso, à la grande famille des Mboussobé.