es destinations mondiales ont accueilli 369 millions de touristes internationaux (exprimé en nuitées) sur la période allant de janvier à avril 2017, soit 21 millions de plus qu'en 2016 sur la même période (soit +6 %). Source OMT.
Ces données statistiques appellent en nous Africains et sénégalais en particulier, la nécessité d’une meilleure appréciation de l’importance économique du tourisme dans nos régions. L’activité touristique étant liée à de nombreuses contraintes juridiques, aux enjeux économiques complexes, elle met en relation nombre d’acteurs aux compétences diverses et variées, qui sont appelés à une synergie en observant des règles et en utilisant des outils de gestions appropriés.
Selon l’OMT. Les très bons chiffres de 2016 se maintiennent et les destinations qui connaissaient des difficultés, les années passées continuent de se redresser en ce début d'année. Moyen-Orient (+10 %), Afrique (+8 %) et l’Europe (+6 %). La zone Asie-Pacifique (+6 %) et le continent américain (+4 %).
Et l’Afrique justement ! Mais quelle partie de l’Afrique bénéficie de ce bond ? Il existe une vraie difficulté et un réel besoin d’un cadre institutionnel harmonisé, d’une révision de l’ensemble des textes et l’essentiel de la législation en matière de tourisme actualisé. Ces textes ont vocation d’aide à la décision, à accompagner les acteurs dans leurs différents domaines d’activités. Ces textes et règlements aident à la définition et à la construction de projets touristiques, en mettant en avant l’exercice et le plein emploi de la chaine de valeur des activités et des infrastructures. Mais également, à comprendre le rôle de l’état et des collectivités locales dans l’encadrement des activités touristiques, de la politique de promotion de la destination, de la valorisation du patrimoine et de la protection des ressources touristiques par l’aménagement du territoire.
Cette compréhension de la transversalité du tourisme, est un système impliquant dans un partenariat harmonieux, secteur privé et public, institutions internationales du tourisme, (OMT, CNUCED, ONU, OIT, OCDE, UEMOA, UA, CEDEAO), les organismes patronales et les syndicats professionnels, ce qui m’a souvent poussé à écrire des articles pour une contribution publique, et de soumettre aux autorités des réflexions portant sur une maitrise indispensable d’outils, de concepts basées sur une vision et portées par une volonté politique de développer le tourisme.
Ainsi il serait nécessaire de créer la haute autorité du tourisme, ou le conseil national du tourisme, organisme qui devra veiller aux dysfonctionnements, à la planification des taches et à la production de données fiables pour établir le baromètre de notre tourisme à travers l’observatoire du tourisme.
Je reprends ma plume sur interpellation de plusieurs de mes collègues inquiets de la situation, pour informer et alerter nos autorités, car l’enjeu de la transformation digitale est de taille, et il détermine l’avenir de l’activité du tourisme en Afrique et dans le monde. L’analyse de données est incontournable, on se situe dans le Big Data et dans une certaine mesure la redéfinition de la relation client et du produit. Mais aussi des outils marketing et de promotion.
C’est parce que nous sommes dans le secteur des services, que nous devons adapter notre évolution au concept de la mondialisation, et à la compréhension de la transformation digitale du secteur des services, comme ceux du tourisme. Être un acteur du secteur du tourisme sénégalais, c'est subir la transformation digitale puisque bon nombre de prestations sont étroitement liées aux traitements des données et particulièrement aux informations clients, qui sont devenues une source variée d'appréciation, de planification, de gestion et de stratégies commerciales pour bien vendre et créer de nouvelles offres afin d'exister plus longtemps.
Au Sénégal nous avons besoin de concevoir un business model tourism, pensé selon nos réalités économiques, en prenant en compte dans les schémas, les profils et les attentes des consom'acteurs, une réalité incontournable de la satisfaction client, qui aujourd'hui est au cœur de nos préoccupations. La relation client à évolué, au point de transformer la vision et la politique de l'entreprise touristique. C'est un concept novateur dans son approche social et qui engage la responsabilité des DRH et des DMM. Le gouvernement du sénégal doit clairement afficher son ambition et son projet de transformation digitale, afin de guider et d’orienter les entreprises touristique à s’adapter à l’environnement digital des affaires. Voilà une des préoccupations majeures du secteur du tourisme sénégalais et Africains, qu'il faut gérer avec des outils pédagogiques, des séminaires et des conférences, à l'endroit des pouvoirs publics et du secteur privé, afin qu'ils soient tous sensibilisés sur le bien fondé d'un changement de paradigme, pour avoir une meilleure visibilité des enjeux du développent de nos territoires et des offres touristiques à concevoir et à proposer en ligne.
Cela nécessite une alliance, un partenariat avec les spécialistes et teams manager des professionnels du digital, pour mettre sur le marché une plateforme bien réfléchie conçue et fabriquer par nous mêmes, pour les besoins de nos marchés intérieurs et puis extérieur. La plate-forme va remorquer tous les acteurs et fera la promotion de nos produits touristiques dans toute sa dimension sociale avec les réalités culturelles de notre civilisation, à travers nos valeurs. A chaque acteur connecté, de produire ses propres services qui transformeront son environnement de travail et la manière de production de l'entreprise, qui conduiront incontestablement à la transformation digitale, a même d’offrir des services de qualités, à prix competitifs, avec des compétences locales, supérieures ou égales à celle de l'Europe.
En prenant l'exemple des services de nos experts locaux, à l'image de Wari, Tigo et Sonatel, ou les prestations de services seront totalement maîtrisées et sécurisées pour l'hôtellerie, la restauration, le transfert, le transport aérien, les excursions, l'événementiel, les réservations, les paiements électroniques etc.. C'est bien clair qu'en ce moment là, nos entreprises seront plus compétitives, plus performantes, plus visibles et plus riches, puisqu'elles seront au rendez-vous du donner et du recevoir, de l'apprentissage et du partage. Il faut certes reconnaitre au secteur du tourisme son rôle pionnier dans la transformation digitale, dans le webmarketing et le web design, à travers l'e-tourisme qui est le tronc de la transformation digitale du secteur. Cette appellation e-tourisme ouvre toutes les thématiques de l'économie numérique liées au tourisme, mais enfin nous sommes toujours le dernier de la classe au Sénégal. Car pour moi, le tourisme est d'abord national puis mondial. Et je pense que l'on choisit le tourisme par vocation et par amour, si on veut faire de bons résultats, y réussir et perdurer. Pour y arriver, il faut y croire, faire du développement du tourisme une passion, un challenge, un grand défi, ou on réfléchit, on analyse, on crée, on partage, on s'interroge en même temps, que l'on s'intéresse aux nouvelles méthodes du digitale qui sont entrain de redéfinir et de redistribuer les rôles et les fonctions pour chacun d'entre nous.
Merci et congratulation au staff de HighChloeCloud qui m’a honoré, élevé au rang de VIP Speaker
Mouhamed Faouzou DEME
VIP Speaker HighChloeCloud GLASS
(Global Linkedin Ambassodors Social Selling)
Dakar Sénégal
Ces données statistiques appellent en nous Africains et sénégalais en particulier, la nécessité d’une meilleure appréciation de l’importance économique du tourisme dans nos régions. L’activité touristique étant liée à de nombreuses contraintes juridiques, aux enjeux économiques complexes, elle met en relation nombre d’acteurs aux compétences diverses et variées, qui sont appelés à une synergie en observant des règles et en utilisant des outils de gestions appropriés.
Selon l’OMT. Les très bons chiffres de 2016 se maintiennent et les destinations qui connaissaient des difficultés, les années passées continuent de se redresser en ce début d'année. Moyen-Orient (+10 %), Afrique (+8 %) et l’Europe (+6 %). La zone Asie-Pacifique (+6 %) et le continent américain (+4 %).
Et l’Afrique justement ! Mais quelle partie de l’Afrique bénéficie de ce bond ? Il existe une vraie difficulté et un réel besoin d’un cadre institutionnel harmonisé, d’une révision de l’ensemble des textes et l’essentiel de la législation en matière de tourisme actualisé. Ces textes ont vocation d’aide à la décision, à accompagner les acteurs dans leurs différents domaines d’activités. Ces textes et règlements aident à la définition et à la construction de projets touristiques, en mettant en avant l’exercice et le plein emploi de la chaine de valeur des activités et des infrastructures. Mais également, à comprendre le rôle de l’état et des collectivités locales dans l’encadrement des activités touristiques, de la politique de promotion de la destination, de la valorisation du patrimoine et de la protection des ressources touristiques par l’aménagement du territoire.
Cette compréhension de la transversalité du tourisme, est un système impliquant dans un partenariat harmonieux, secteur privé et public, institutions internationales du tourisme, (OMT, CNUCED, ONU, OIT, OCDE, UEMOA, UA, CEDEAO), les organismes patronales et les syndicats professionnels, ce qui m’a souvent poussé à écrire des articles pour une contribution publique, et de soumettre aux autorités des réflexions portant sur une maitrise indispensable d’outils, de concepts basées sur une vision et portées par une volonté politique de développer le tourisme.
Ainsi il serait nécessaire de créer la haute autorité du tourisme, ou le conseil national du tourisme, organisme qui devra veiller aux dysfonctionnements, à la planification des taches et à la production de données fiables pour établir le baromètre de notre tourisme à travers l’observatoire du tourisme.
Je reprends ma plume sur interpellation de plusieurs de mes collègues inquiets de la situation, pour informer et alerter nos autorités, car l’enjeu de la transformation digitale est de taille, et il détermine l’avenir de l’activité du tourisme en Afrique et dans le monde. L’analyse de données est incontournable, on se situe dans le Big Data et dans une certaine mesure la redéfinition de la relation client et du produit. Mais aussi des outils marketing et de promotion.
C’est parce que nous sommes dans le secteur des services, que nous devons adapter notre évolution au concept de la mondialisation, et à la compréhension de la transformation digitale du secteur des services, comme ceux du tourisme. Être un acteur du secteur du tourisme sénégalais, c'est subir la transformation digitale puisque bon nombre de prestations sont étroitement liées aux traitements des données et particulièrement aux informations clients, qui sont devenues une source variée d'appréciation, de planification, de gestion et de stratégies commerciales pour bien vendre et créer de nouvelles offres afin d'exister plus longtemps.
Au Sénégal nous avons besoin de concevoir un business model tourism, pensé selon nos réalités économiques, en prenant en compte dans les schémas, les profils et les attentes des consom'acteurs, une réalité incontournable de la satisfaction client, qui aujourd'hui est au cœur de nos préoccupations. La relation client à évolué, au point de transformer la vision et la politique de l'entreprise touristique. C'est un concept novateur dans son approche social et qui engage la responsabilité des DRH et des DMM. Le gouvernement du sénégal doit clairement afficher son ambition et son projet de transformation digitale, afin de guider et d’orienter les entreprises touristique à s’adapter à l’environnement digital des affaires. Voilà une des préoccupations majeures du secteur du tourisme sénégalais et Africains, qu'il faut gérer avec des outils pédagogiques, des séminaires et des conférences, à l'endroit des pouvoirs publics et du secteur privé, afin qu'ils soient tous sensibilisés sur le bien fondé d'un changement de paradigme, pour avoir une meilleure visibilité des enjeux du développent de nos territoires et des offres touristiques à concevoir et à proposer en ligne.
Cela nécessite une alliance, un partenariat avec les spécialistes et teams manager des professionnels du digital, pour mettre sur le marché une plateforme bien réfléchie conçue et fabriquer par nous mêmes, pour les besoins de nos marchés intérieurs et puis extérieur. La plate-forme va remorquer tous les acteurs et fera la promotion de nos produits touristiques dans toute sa dimension sociale avec les réalités culturelles de notre civilisation, à travers nos valeurs. A chaque acteur connecté, de produire ses propres services qui transformeront son environnement de travail et la manière de production de l'entreprise, qui conduiront incontestablement à la transformation digitale, a même d’offrir des services de qualités, à prix competitifs, avec des compétences locales, supérieures ou égales à celle de l'Europe.
En prenant l'exemple des services de nos experts locaux, à l'image de Wari, Tigo et Sonatel, ou les prestations de services seront totalement maîtrisées et sécurisées pour l'hôtellerie, la restauration, le transfert, le transport aérien, les excursions, l'événementiel, les réservations, les paiements électroniques etc.. C'est bien clair qu'en ce moment là, nos entreprises seront plus compétitives, plus performantes, plus visibles et plus riches, puisqu'elles seront au rendez-vous du donner et du recevoir, de l'apprentissage et du partage. Il faut certes reconnaitre au secteur du tourisme son rôle pionnier dans la transformation digitale, dans le webmarketing et le web design, à travers l'e-tourisme qui est le tronc de la transformation digitale du secteur. Cette appellation e-tourisme ouvre toutes les thématiques de l'économie numérique liées au tourisme, mais enfin nous sommes toujours le dernier de la classe au Sénégal. Car pour moi, le tourisme est d'abord national puis mondial. Et je pense que l'on choisit le tourisme par vocation et par amour, si on veut faire de bons résultats, y réussir et perdurer. Pour y arriver, il faut y croire, faire du développement du tourisme une passion, un challenge, un grand défi, ou on réfléchit, on analyse, on crée, on partage, on s'interroge en même temps, que l'on s'intéresse aux nouvelles méthodes du digitale qui sont entrain de redéfinir et de redistribuer les rôles et les fonctions pour chacun d'entre nous.
Merci et congratulation au staff de HighChloeCloud qui m’a honoré, élevé au rang de VIP Speaker
Mouhamed Faouzou DEME
VIP Speaker HighChloeCloud GLASS
(Global Linkedin Ambassodors Social Selling)
Dakar Sénégal