La première affaire découverte par la Centif, date de l’année 2007. L’Artp décide d’octroyer des faveurs aux membres des organes de l’Agence et au personnel. Ainsi, il est retenu de souscrire un contrat d’Assurance retraite complémentaire avec Amsa Assurance. Mais le problème : le contrat ficelé moyennant 6 milliards FCFA pour une valeur acquise à l’échéance du contrat de 6,9 milliards est non seulement versé en une traite mais ne comporte aucun assuré physique. Or, dans ce type de contrat, seules les personnes constituent le risque qui est couvert. C’est entre autres irrégularités…
L’autre affaire qui met en cause l’Artp est selon l’Observateur parcouru par Setal.net le contrat passé avec la société Nsia (Nouvelle société interafricaine d’assurance) le 10 février 2007. Le montant de la transaction est de 307,9 millions FCFA. Argent qui est viré au compte de la Nsia logé à International commercial bank (ICB) Sénégal. Curiosité, six mois plus tard, la banque rembourse à l’Artp le même montant à partir du même compte, au titre de « prime automobile avancé ». Or cette prime n’est pas conforme avec la situation du marché d’assurance au Sénégal. Car cela voudrait dire que l’Artp a fait assurer 150 véhicules à raison de 20 millions par voiture.
Autant d’irrégularités qui font jaser à la Centif qui ne comprend pas que les autorités judiciaires mettent du temps à s’occuper de ces deux cas.
L’autre affaire qui met en cause l’Artp est selon l’Observateur parcouru par Setal.net le contrat passé avec la société Nsia (Nouvelle société interafricaine d’assurance) le 10 février 2007. Le montant de la transaction est de 307,9 millions FCFA. Argent qui est viré au compte de la Nsia logé à International commercial bank (ICB) Sénégal. Curiosité, six mois plus tard, la banque rembourse à l’Artp le même montant à partir du même compte, au titre de « prime automobile avancé ». Or cette prime n’est pas conforme avec la situation du marché d’assurance au Sénégal. Car cela voudrait dire que l’Artp a fait assurer 150 véhicules à raison de 20 millions par voiture.
Autant d’irrégularités qui font jaser à la Centif qui ne comprend pas que les autorités judiciaires mettent du temps à s’occuper de ces deux cas.