Qui était Adam Lanza, l’auteur de la tuerie dans une école primaire du Connecticut, fatale à 20 enfants et 6 adultes? Les policiers semblent avoir des difficultés à cerner la personnalité du jeune de 20 ans: solitaire, sans ami ni présence sur les réseaux sociaux.
Les informations sur sa mère se font, elles, de plus en plus nombreuses dans la presse anglo-saxonne. Cette femme de 52 ans est la première victime du massacre. Adam l’a tuée dans son lit, probablement pendant son sommeil, avant de quitter son domicile pour l’école.
Une survivaliste qui se péparait au pire
Ce week-end, le Daily Mail la présentait comme une survivaliste, qui stockait chez elle de l’eau et de la nourriture. Selon sa sœur, Nancy pensait que la crise économique actuelle signerait la fin de la civilisation. C’est dans cette perspective qu’elle a appris, et enseigné à ses fils, à tirer.
Plus qu’une survivaliste, Nancy Lanza était une «prepper », ces Américains de plus en plus nombreux qui se préparent aux catastrophes, que ce soit le chaos économique, le changement climatique, le terrorisme ou les catastrophes naturelles comme récemment l'ouragan Sandy.
Au total, elle possédait cinq armes à son domicile. Deux ont servi lors du massacre, une troisième a été retrouvée dans le coffre de sa voiture, devant l’école après la tuerie.
Contrairement à ce qui avait été annoncé dans un premier temps, Nancy Lanza n’était pas institutrice dans l’école attaquée. Elle ne travaillait plus depuis plusieurs années pour s’occuper de son fils.
Un déménagement à 4600 km de Newtown
«Sa vie, c’était lui», raconte ce lundi dans le Washington Post Mark Tambascio, un ami de Nancy Lanza. Ce propriétaire de restaurant explique qu’elle avait prévu ces derniers mois de déménager avec Adam, pour lui trouver une école appropriée. Elle aurait eu l’intention de l’emmener dans l’Etat de Washington, à plus de 4600 km du Connecticut.
«Elle essayait de lui faire intégrer la vie réelle. C’était difficile pour elle, et ça le devenait de plus en plus à mesure qu’il grandissait.»
Selon ce restaurateur, Nancy Lanza n’a jamais décrit son fils comme «suicidaire ou violent». «Tout ceux qui on passé un peu de temps avec lui savent qu’il était un peu différent, mais vous n’auriez jamais vu un problème grave», assure-t-il.
Source: 20minutes.fr
Les informations sur sa mère se font, elles, de plus en plus nombreuses dans la presse anglo-saxonne. Cette femme de 52 ans est la première victime du massacre. Adam l’a tuée dans son lit, probablement pendant son sommeil, avant de quitter son domicile pour l’école.
Une survivaliste qui se péparait au pire
Ce week-end, le Daily Mail la présentait comme une survivaliste, qui stockait chez elle de l’eau et de la nourriture. Selon sa sœur, Nancy pensait que la crise économique actuelle signerait la fin de la civilisation. C’est dans cette perspective qu’elle a appris, et enseigné à ses fils, à tirer.
Plus qu’une survivaliste, Nancy Lanza était une «prepper », ces Américains de plus en plus nombreux qui se préparent aux catastrophes, que ce soit le chaos économique, le changement climatique, le terrorisme ou les catastrophes naturelles comme récemment l'ouragan Sandy.
Au total, elle possédait cinq armes à son domicile. Deux ont servi lors du massacre, une troisième a été retrouvée dans le coffre de sa voiture, devant l’école après la tuerie.
Contrairement à ce qui avait été annoncé dans un premier temps, Nancy Lanza n’était pas institutrice dans l’école attaquée. Elle ne travaillait plus depuis plusieurs années pour s’occuper de son fils.
Un déménagement à 4600 km de Newtown
«Sa vie, c’était lui», raconte ce lundi dans le Washington Post Mark Tambascio, un ami de Nancy Lanza. Ce propriétaire de restaurant explique qu’elle avait prévu ces derniers mois de déménager avec Adam, pour lui trouver une école appropriée. Elle aurait eu l’intention de l’emmener dans l’Etat de Washington, à plus de 4600 km du Connecticut.
«Elle essayait de lui faire intégrer la vie réelle. C’était difficile pour elle, et ça le devenait de plus en plus à mesure qu’il grandissait.»
Selon ce restaurateur, Nancy Lanza n’a jamais décrit son fils comme «suicidaire ou violent». «Tout ceux qui on passé un peu de temps avec lui savent qu’il était un peu différent, mais vous n’auriez jamais vu un problème grave», assure-t-il.
Source: 20minutes.fr