L’histoire retient que le chef religieux de Darou Khoudoss avait compris que l’africain avait besoin d’une ouverture pour ne pas rater la marche vers le développement et l’évolution systématique du monde vers d’autres connaissances. Ainsi faisait-il de son institut un moyen « de construction d’un homme complet, ouvert imbu d’une citoyenneté caractérisée ». Dans le souci de battre le fer pendant qu’il est encore chaud, la fédération de Darou Khoudoss a décidé d’apporter sa pierre à l’édifice de la revigoration de cet institut de Serigne Cheikh en collaboration avec les anciens pensionnaires. C’est le cas de Serigne Cheikh Abdou Mbacké Bali, président de la commission culturelle et éducative, par ailleurs, chargé de la commission communication au niveau du Grand Magal de Touba.
Cheikh Mbacké Dieng, inspecteur de l’enseignement, dans une communication orale faite mardi à Touba, n’y est pas allé par le dos de la cuillère. Pour lui, « la situation est critique parce que l’institut, à cause des difficultés qu’il rencontre a été obligé de voir fermer ces démembrements de Thiès, Dakar et de tous ceux qui se trouvaient dans le zones rurales ». « Ceci, explique-t-il, est la résultante de problèmes liés aux hics de nature financière faute de subventions de l’Etat, à la surcharge surtout au niveau de Touba avec un effectif pléthorique de 13 750 élèves, au manque d’infrastructures criard, bref, aux impossibles conditions de travail ».
En effet, nous renseigne-t-ton, seule la section de Touba bénéficie de l’apport financier de l’Etat. La structure reconnait, toutefois, que le Gouvernement leur envoie des enseignants même si le nombre disponible est encore trop dérisoire par rapport aux besoins. « Ce soutien est comme une goutte dans la mer » martèlera l’inspecteur Dieng. Aujourd’hui, l’institut compte 5 sections installées à Touba, Ngaaye, Taif, Louga et Diourbel. L’ensemble de ses sections dites « écoles privées Serigne Cheikh » laissent désormais apparaitre des stigmates d’une vieillesse sur tous les plans.
De solutions urgentes
Après les rencontres au sommet organisées par la fédération de Darou Khoudoss les 26 et 27 mai derniers à Taif, d’autres journées de réflexions sont programmées pour les 28 et 29 Septembre prochains. En effet, il sera question, selon le directeur général de l’institut de lister de manière exhaustive les difficultés, de les étudier et de leur trouver des solutions avec la collaboration de l’Etat et des bonnes volontés du pays. De ces écoles sont sorties d’éminentes personnalités comme les sieurs Abdourahmane Diop de l’OCI, Imam Mbaye Niang parlementaire, Moustapha Sourang, ancien ministre de la République, Ibrahima Thiam, un des trois topographes dont dispose le Sénégal.
Cheikh Mbacké Dieng, inspecteur de l’enseignement, dans une communication orale faite mardi à Touba, n’y est pas allé par le dos de la cuillère. Pour lui, « la situation est critique parce que l’institut, à cause des difficultés qu’il rencontre a été obligé de voir fermer ces démembrements de Thiès, Dakar et de tous ceux qui se trouvaient dans le zones rurales ». « Ceci, explique-t-il, est la résultante de problèmes liés aux hics de nature financière faute de subventions de l’Etat, à la surcharge surtout au niveau de Touba avec un effectif pléthorique de 13 750 élèves, au manque d’infrastructures criard, bref, aux impossibles conditions de travail ».
En effet, nous renseigne-t-ton, seule la section de Touba bénéficie de l’apport financier de l’Etat. La structure reconnait, toutefois, que le Gouvernement leur envoie des enseignants même si le nombre disponible est encore trop dérisoire par rapport aux besoins. « Ce soutien est comme une goutte dans la mer » martèlera l’inspecteur Dieng. Aujourd’hui, l’institut compte 5 sections installées à Touba, Ngaaye, Taif, Louga et Diourbel. L’ensemble de ses sections dites « écoles privées Serigne Cheikh » laissent désormais apparaitre des stigmates d’une vieillesse sur tous les plans.
De solutions urgentes
Après les rencontres au sommet organisées par la fédération de Darou Khoudoss les 26 et 27 mai derniers à Taif, d’autres journées de réflexions sont programmées pour les 28 et 29 Septembre prochains. En effet, il sera question, selon le directeur général de l’institut de lister de manière exhaustive les difficultés, de les étudier et de leur trouver des solutions avec la collaboration de l’Etat et des bonnes volontés du pays. De ces écoles sont sorties d’éminentes personnalités comme les sieurs Abdourahmane Diop de l’OCI, Imam Mbaye Niang parlementaire, Moustapha Sourang, ancien ministre de la République, Ibrahima Thiam, un des trois topographes dont dispose le Sénégal.