Les faits pour lesquels l'Epagnol comparassait remontent au 28 mai 2009. Ce jour-là, les policiers de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), ont procédé à un contrôle par ciblage des passagers d’un vol de la compagnie Turkish Airlines, en provenance d’Amérique du Sud. Ils ont ainsi interpelé Manuel Franconetti Porras.
Une fouille du corps de celui-ci leur permet de découvrir, sous ses vêtements, un paquet en forme de gaine bien scotché à sa ceinture, contenant une substance blanche d’un poids de 2.400 grammes. Après analyse, le produit se révélait être de la cocaïne.
C’est ainsi que 10 juin 2009, Porras a été mis sous mandat de dépôt pour trafic international de cocaïne.
A la barre, Manuel Franconetti Porras a reconnu les faits dans les moindres détails. ‘’Un certain José, un compatriote, m’a mis en rapport avec un Nigérian du nom de Tony à Sao Paul qui m’a remis la dogue et 300 euros comme argent de poche’’, a souligné l’accusé.
‘’La première fois qu’il m’a dit que le travail qu’il me proposait c’était de transporter de la drogue, j’ai refusé’’, a expliqué l’accusé né le 5 juillet 1970 en Espagne et père de deux enfants.
‘’C’est à la troisième fois que j’ai cédé. Je devais faire une semaine à Sao Paulo avant d’amener la cocaïne sur Dakar, moyennant une paie de 6.000 euros (3,9 millions de francs) à la fin’’ a-t-il poursuivi. ‘’Je regrette, je n’aurais jamais agi de la sorte si c’était à refaire’’, a-t-il finalement lâché.
Source Aps.sn
Une fouille du corps de celui-ci leur permet de découvrir, sous ses vêtements, un paquet en forme de gaine bien scotché à sa ceinture, contenant une substance blanche d’un poids de 2.400 grammes. Après analyse, le produit se révélait être de la cocaïne.
C’est ainsi que 10 juin 2009, Porras a été mis sous mandat de dépôt pour trafic international de cocaïne.
A la barre, Manuel Franconetti Porras a reconnu les faits dans les moindres détails. ‘’Un certain José, un compatriote, m’a mis en rapport avec un Nigérian du nom de Tony à Sao Paul qui m’a remis la dogue et 300 euros comme argent de poche’’, a souligné l’accusé.
‘’La première fois qu’il m’a dit que le travail qu’il me proposait c’était de transporter de la drogue, j’ai refusé’’, a expliqué l’accusé né le 5 juillet 1970 en Espagne et père de deux enfants.
‘’C’est à la troisième fois que j’ai cédé. Je devais faire une semaine à Sao Paulo avant d’amener la cocaïne sur Dakar, moyennant une paie de 6.000 euros (3,9 millions de francs) à la fin’’ a-t-il poursuivi. ‘’Je regrette, je n’aurais jamais agi de la sorte si c’était à refaire’’, a-t-il finalement lâché.
Source Aps.sn