Comme le rapporte « Le Parisien » journal français, on a retrouvé un couple pendu à leur domicile dans la journée de lundi dernier. L’homme avait la soixantaine et la femme était âgée d’une dizaine d’année de moins que lui.
Le couple de Coréens a vraisemblablement mis fin à ses jours en raison de trois mois de loyers impayés – une somme qui équivaudrait, au total, à 2.500€, selon un agent immobilier cité par le quotidien. C’est le propriétaire de l’appartement, venu sur place discuter avec eux de leur situation financière, qui aurait découvert les corps.
Dans la lettre que le couple en détresse a pris soin de laisser au monde des vivants, ils décrivent leurs nombreuses difficultés financières. C’est ce qui les aurait certainement poussés à se donner la mort.
Le couple écrivait dans cette lettre ceci dans un français pas très parfait : « chers. On n’a pas une famille, des amis à contacter. La caution (1 350 euros) est laissée à M. Z pour le loyer et les immeubles se laissent pour les autres. On voudrait enterrer partout en France. SVP. Désolée ».
Les journalistes du « Parisien » venus sur le terrain ont interrogé le propriétaire qui affirme dans le regret que « Se suicider pour trois mois d’impayés, c’est incroyable. D’autant plus qu’à la fin de l’année ils n’oubliaient jamais les étrennes ». l’un de leurs proches voisin témoigne qu’ « Ils étaient très polis mais ils ne parlaient jamais. On ignorait même s’ils travaillaient ».
L’enquête ne permet pour l’instant pas de déterminer avec précision la date du suicide mais un téléphone retrouvé sur les lieux fournit des renseignements sur leur dernier appel, qui remonterait au 13 septembre.
Albert Camus affirmait même que le suicide est la question philosophique la plus importante. Car il n’y a pas de question plus ontologique que de se demander si la vie vaut ou pas la peine d’être vécue. Le sociologue français Durkheim en avait même consacré tout un livre resté anthologique en la matière.
Le couple de Coréens a vraisemblablement mis fin à ses jours en raison de trois mois de loyers impayés – une somme qui équivaudrait, au total, à 2.500€, selon un agent immobilier cité par le quotidien. C’est le propriétaire de l’appartement, venu sur place discuter avec eux de leur situation financière, qui aurait découvert les corps.
Dans la lettre que le couple en détresse a pris soin de laisser au monde des vivants, ils décrivent leurs nombreuses difficultés financières. C’est ce qui les aurait certainement poussés à se donner la mort.
Le couple écrivait dans cette lettre ceci dans un français pas très parfait : « chers. On n’a pas une famille, des amis à contacter. La caution (1 350 euros) est laissée à M. Z pour le loyer et les immeubles se laissent pour les autres. On voudrait enterrer partout en France. SVP. Désolée ».
Les journalistes du « Parisien » venus sur le terrain ont interrogé le propriétaire qui affirme dans le regret que « Se suicider pour trois mois d’impayés, c’est incroyable. D’autant plus qu’à la fin de l’année ils n’oubliaient jamais les étrennes ». l’un de leurs proches voisin témoigne qu’ « Ils étaient très polis mais ils ne parlaient jamais. On ignorait même s’ils travaillaient ».
L’enquête ne permet pour l’instant pas de déterminer avec précision la date du suicide mais un téléphone retrouvé sur les lieux fournit des renseignements sur leur dernier appel, qui remonterait au 13 septembre.
Albert Camus affirmait même que le suicide est la question philosophique la plus importante. Car il n’y a pas de question plus ontologique que de se demander si la vie vaut ou pas la peine d’être vécue. Le sociologue français Durkheim en avait même consacré tout un livre resté anthologique en la matière.