A la suite d’un premier ouvrage édité en août 2011, intitulé "typologie des infractions relevant de la compétence de la douane et la problématique des pouvoirs exorbitants des agents des douanes », l’Inspecteur des Douanes de classe exceptionnelle (à la retraite) Abdoulaye Oumar DIENG a écrit un second ouvrage paru en décembre 2012, dont le titre est « La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme : présentation et analyse du dispositif sénégalais ».
Cette fois-ci, l’auteur s’est attaqué à un sujet très actuel et qui sort du cadre plus étroit de la règlementation douanière.
L’objectif visé dans cet ouvrage est double :
vulgariser un type de criminalité financière insuffisamment connu, en mettant à la disposition des assujettis et des non spécialistes un document simple qui leur permet d’appréhender le fléau LCB/FT dans toute sa dimension et dans toute sa complexité.
Pour ce faire, l’ouvrage est subdivisé en trois parties :
la 1ère partie décrit les différents mécanismes par lesquels les criminels essaient de réintroduire dans le système légal l’argent sale acquis à travers des activités illicites sous-jacentes ; la 2ème partie indique de quelle manière la communauté internationale a pris en charge la lutte contre le blanchiment de l’argent sale et le financement du terrorisme (LCB/FT) ; dans la 3ème partie, avec le regard d’un Inspecteur des Douanes chevronné et en puisant dans ses riches expériences d’enquêteur, l’auteur présente le dispositif sénégalais de LCB/FT, avec ses failles et les améliorations attendues.
Le deuxième objectif : selon l’auteur, il s’agit, à travers ce livre, de saisir un prétexte pour rendre hommage à tous ces agents, souvent anonymes, des administrations de la Police, de la Gendarmerie et de la Douane qui, chacun dans son domaine de compétence, luttent sans relâche, en amont comme en aval, contre la criminalité transnationale organisée (CTO) :
en amont, parce que, par leurs actions quotidiennes, ils empêchent les délinquants d’exercer tranquillement des activités illicites sous-jacentes au blanchiment ; en aval, parce que les investigations qu’ils mènent, lorsqu’ils sont requis par la Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF) ou par les autorités judiciaires, permettent de confondre les trafiquants, dans bien des cas.
Cette fois-ci, l’auteur s’est attaqué à un sujet très actuel et qui sort du cadre plus étroit de la règlementation douanière.
L’objectif visé dans cet ouvrage est double :
vulgariser un type de criminalité financière insuffisamment connu, en mettant à la disposition des assujettis et des non spécialistes un document simple qui leur permet d’appréhender le fléau LCB/FT dans toute sa dimension et dans toute sa complexité.
Pour ce faire, l’ouvrage est subdivisé en trois parties :
la 1ère partie décrit les différents mécanismes par lesquels les criminels essaient de réintroduire dans le système légal l’argent sale acquis à travers des activités illicites sous-jacentes ; la 2ème partie indique de quelle manière la communauté internationale a pris en charge la lutte contre le blanchiment de l’argent sale et le financement du terrorisme (LCB/FT) ; dans la 3ème partie, avec le regard d’un Inspecteur des Douanes chevronné et en puisant dans ses riches expériences d’enquêteur, l’auteur présente le dispositif sénégalais de LCB/FT, avec ses failles et les améliorations attendues.
Le deuxième objectif : selon l’auteur, il s’agit, à travers ce livre, de saisir un prétexte pour rendre hommage à tous ces agents, souvent anonymes, des administrations de la Police, de la Gendarmerie et de la Douane qui, chacun dans son domaine de compétence, luttent sans relâche, en amont comme en aval, contre la criminalité transnationale organisée (CTO) :
en amont, parce que, par leurs actions quotidiennes, ils empêchent les délinquants d’exercer tranquillement des activités illicites sous-jacentes au blanchiment ; en aval, parce que les investigations qu’ils mènent, lorsqu’ils sont requis par la Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF) ou par les autorités judiciaires, permettent de confondre les trafiquants, dans bien des cas.