’homme était un handicapé qui se déplaçait à l’aide des béquilles. Au premier constat il a été égorgé par avec une arme blanche la face tournée vers l’Est dans une position qui s’apparente de l’abattage rituel musulman du jour de la tabaski.
De l’avis de quelques proches, la victime du nom de Amadou Guissé né en 1967 à Dara Joloff, est originaire du village de Nacara dans le département de Ranérou. Il était marié. Ayant perdu très tôt ses parents, pour survivre et pour subvenir aux besoins de sa famille Amadou mendiait au niveau de la gare routière de Ourossogui. Et dans cette ville qui baigne dans l’ambiance de la campagne électorale, les supputations vont bon train.
Du fait des caractéristiques qui entourent le meurtre, certains n’hésitent pas à parler de sacrifice. Un drame qui survient tout juste après le meurtre perpétré sur un enfant qui a été retrouvé également égorgé mais cette fois dans un cimetière à Dakar. Meurtre crapuleux ou sacrifice humain ? Les circonstances du drame ne sont pas encore connues.
Les parents de la victime qui sont dans l’émoi le plus total attendent la fin de l’enquête de la gendarmerie qui a déposé le corps pour l’autopsie au niveau de l’hôpital de Ourossogui.
De l’avis de quelques proches, la victime du nom de Amadou Guissé né en 1967 à Dara Joloff, est originaire du village de Nacara dans le département de Ranérou. Il était marié. Ayant perdu très tôt ses parents, pour survivre et pour subvenir aux besoins de sa famille Amadou mendiait au niveau de la gare routière de Ourossogui. Et dans cette ville qui baigne dans l’ambiance de la campagne électorale, les supputations vont bon train.
Du fait des caractéristiques qui entourent le meurtre, certains n’hésitent pas à parler de sacrifice. Un drame qui survient tout juste après le meurtre perpétré sur un enfant qui a été retrouvé également égorgé mais cette fois dans un cimetière à Dakar. Meurtre crapuleux ou sacrifice humain ? Les circonstances du drame ne sont pas encore connues.
Les parents de la victime qui sont dans l’émoi le plus total attendent la fin de l’enquête de la gendarmerie qui a déposé le corps pour l’autopsie au niveau de l’hôpital de Ourossogui.