Ibrahima Mbengue a 82 ans. Membre du parti démocratique sénégalais depuis sa création, cet octogénaire ne met pas de gants pour dire haut ce que pensent bas ses autres frères de parti. Il a confié à un observateur du site france24.fr que les problèmes du Sénégal tournent autour du manque de discipline, de l’insécurité, du chômage, de la crise d’autorité entre autres…tares.
S’agissant de la tension qui a accompagné le processus électoral, le vieux El hadji Birama Ndiassé Mbengue semble le mettre sur le dos de son candidat qui, dit-il, avait assimilé le Sénégal à un œuf qu’il ne casserait pour rien. "En 1974, Abdoulaye Wade nous disait qu’il ne pouvait pas s’accommoder en politique d’une femme ou d’un homme qui manque de courage. Il disait qu’il ne pouvait pas non plus cheminer avec un homme pressé. Ou un infidèle. En 1988, Wade disait : ‘le Sénégal est comme un œuf. Je ne vais pas me battre avec quelqu’un pour l’avoir, car si l’œuf se casse, je le perdrai aussi, vous mes compagnons le perdrez et le pays perdra. Je prendrai l’œuf sans que rien ne se casse, sans querelle destructrice. Le 19 mars 2000, il a pris l’œuf et le lendemain tout le monde s’est remis au travail ", confie-t-il à Architectedubien du site France24.fr visité par Setal.net.
S’agissant de la tension qui a accompagné le processus électoral, le vieux El hadji Birama Ndiassé Mbengue semble le mettre sur le dos de son candidat qui, dit-il, avait assimilé le Sénégal à un œuf qu’il ne casserait pour rien. "En 1974, Abdoulaye Wade nous disait qu’il ne pouvait pas s’accommoder en politique d’une femme ou d’un homme qui manque de courage. Il disait qu’il ne pouvait pas non plus cheminer avec un homme pressé. Ou un infidèle. En 1988, Wade disait : ‘le Sénégal est comme un œuf. Je ne vais pas me battre avec quelqu’un pour l’avoir, car si l’œuf se casse, je le perdrai aussi, vous mes compagnons le perdrez et le pays perdra. Je prendrai l’œuf sans que rien ne se casse, sans querelle destructrice. Le 19 mars 2000, il a pris l’œuf et le lendemain tout le monde s’est remis au travail ", confie-t-il à Architectedubien du site France24.fr visité par Setal.net.