L ’alliance pour la République vient d’enregistrer dans son palmarès une situation de déconvenues qu’elle n’oubliera pas de sitôt :la perte de la quasi-totalité des communes urbaines pendant les locales du 29 Juin .Cette situation a rendu inquiet le militant que je suis et qui lance un cri de cœur qui peut faire foi d’alerte Ce contretemps a d’ailleurs poussé le Président Macky SALL à mettre à exécution la menace de sanction des responsables perdants pendant les locales. A défaut de s’entendre sur la confection des listes et sur la position des uns et des autres, l’hécatombe s’est produite et ceux supposés fautifs ont payé de leur poste. Voilà le médecin après la mort et l’adage rappelle qu’il vaut mieux prévenir que guérir ; pourquoi le Président n’a pas fait les rappels à l’ordre nécessaire et les arbitrages idoines pour éviter les multiples listes parallèles cause des contreperformances du parti dans beaucoup de localités.
Le signal fatal au PDS en 2009 apparait dans le ciel politique de l’APR, la question est de savoir si le dit signal est pris au sérieux pour inviter le responsable du parti à prendre les dispositions nécessaires pour procéder aux remédiations les plus audacieuses .La première leçon à tirer est que les centres urbains des régions de Dakar de Thiès de Diourbel de Ziguinchor ne sont pas convaincus des jalons posés jusqu’ici par Macky SALL ;de telles indices rétrécissent tout espoir d’un second mandat et tout autre discours travestit la vérité et induit le Président en erreur.
Il y’a des secteurs où le régime n’a pas fait mieux que le régime déchu et les sénégalais n’acceptent plus de rétrograder ; malheur à celui qui ne le comprend pas. Macky SALL est élu en Mars 2012 pour faire mieux que Abdoulaye WADE,si les actes que le Président pose ou les leviers qu’il actionne ne parviennent pas à changer le quotidien des sénégalais il faut qu’on se regarde les yeux dans les yeux pour dire au Président que certains sénégalais restent encore sur leur faim .Ce qui est fait de bon est apprécié de tous et ne doit pas occulter le reste du pacte qui lit notre élu aux sénégalais. C’est vraiment le découragement chez beaucoup de sénégalais qui commencent à occuper le terrain par des mouvements (Réthiou, CA 2017, et autres) ; la riposte à cela est : la prise de mesures courageuses qui améliorent le bien être des sénégalais et l’occupation permanente du terrain.Le capital d’estime dont jouissait le Président Macky SALL commence à pâlir et face à cela méditons bien Louis XIV qui disait que« quand les peuples cessent d’estimer ils cessent d’obéir ».
La cadence n’est pas du tout accélérée dans bien des secteurs et cet état de fait nous gène nous militants du parti qui manquons de discours à servir à nos contradicteurs. Il serait illusoire de tout changer en un temps si court, cependant il est possible de dresser une feuille de route qui prend en charge les priorités les plus pressantes et amorcer des esquisses de solutions qui rassurent. Nous ne sommes pas loin de 2017 et certaines préoccupations pour lesquelles les sénégalais avaient préféré Macky à Abdoulaye WADE ne connaissent guère de réponses convaincantes au point où le slogan à la mode est «deuk bi dokhoul».La vitesse d’action du Président est inversement proportionnelle à l’acuité du mal dont souffrent les populations. La gestion vertueuse est une réussite de même que la gouvernance sobre ; ces deux modèles de gestion doivent avoir pour finalité un captage de gains orientés vers la demande sociale dont toute reconduction de mandat dépend.
Les pêcheurs se plaignent, les paysans sortis d’un hivernage assez juste exhibent des bons impayés comme avec le régime déchu ;le secteur de la ferraille se plaignent de la concurrence chinoise qui risque de plomber le secteur. L’Ecole dans sa grandeur nature connait des turbulences meurtrières qui affolent et endeuillent des familles qui ne prennent plus l’université comme un lieu de promotion sociale. La SENELEC malgré toute sa campagne d’explication, les plans qu’elle déroule et le matraquage médiatique qu’elle fait, ne parvient pas à venir à bout des délestages qui endommagent nos appareils acquis après de durs mois d’économie. Des efforts sont faits certes pour trouver des emplois aux jeunes, seulement les critères d’octroi restent flous et cela a créé beaucoup de mécontents.
Le casting du dernier gouvernement n’est pas exsangue de critique car il a ignoré des responsables de l’APR connus pour leur engagement, leur sérieux, leur compétence et leur savoir problématique doublé d’un outillage intellectuel, bref tout un ensemble d’aptitudes qui justifient le choix pour une tâche d’état. Nous de la commune de Ndondol et du département de Bambey nous continuons à agiter le cas de Maître Pape SENE du collectif des avocats républicains, vainqueur dans sa commune(Ndondol) lors des joutes électorales du 29 juin, ce militant est avec maitre Omar YOUM l’un des plus grands défenseurs du parti. Maître Séne mérite d’être promu. Les exemples de frustration foisonnent ,la formation du dernier gouvernement et les récentes mesures individuelles n’ont pas tenu compte de certains paradigmes déterminants à la massification du parti ; au moment où des départements ou des villes totalisent trois ministres et directeurs généraux, d’autres avec des responsables plus représentatifs sont confinés à la périphérie de l’état, et même du parti ; des anomalies qui demandent à être corrigées car la loyauté, le sérieux, la compétence et la représentativité doivent être récompensées. Attention à la situation du « héros qui meurt de faim ». Nous avons élu Macky SALL, nous nous investissons corps et âme à rééditer en 2017 l’exploit de 2O12, pourvu que le secrétaire général du parti soit à l’écoute de sa base et prenne des décisions qui motivent les militants.Je ne suis pas un militant à ordre, je suis libre et indépendant, préoccupé par les succès du parti et ses victoires donc de ce point de vue je me refuse tout angélisme hypocrite qui perd le prince.Jeme veux un serviteur zélé du bien-être quotidien des sénégalais. J’ai élu Macky SALL pour deux mandats et je me dois d’être une sentinelle qui sonne l’alerte quand il le faut .Je demeure un militant républicain loyal et engagé.
A bon entendeur salut et pourvu que le Président m’entende.
Ibrahima KA
Militant APR au quartier
Léona à Bambey
Le signal fatal au PDS en 2009 apparait dans le ciel politique de l’APR, la question est de savoir si le dit signal est pris au sérieux pour inviter le responsable du parti à prendre les dispositions nécessaires pour procéder aux remédiations les plus audacieuses .La première leçon à tirer est que les centres urbains des régions de Dakar de Thiès de Diourbel de Ziguinchor ne sont pas convaincus des jalons posés jusqu’ici par Macky SALL ;de telles indices rétrécissent tout espoir d’un second mandat et tout autre discours travestit la vérité et induit le Président en erreur.
Il y’a des secteurs où le régime n’a pas fait mieux que le régime déchu et les sénégalais n’acceptent plus de rétrograder ; malheur à celui qui ne le comprend pas. Macky SALL est élu en Mars 2012 pour faire mieux que Abdoulaye WADE,si les actes que le Président pose ou les leviers qu’il actionne ne parviennent pas à changer le quotidien des sénégalais il faut qu’on se regarde les yeux dans les yeux pour dire au Président que certains sénégalais restent encore sur leur faim .Ce qui est fait de bon est apprécié de tous et ne doit pas occulter le reste du pacte qui lit notre élu aux sénégalais. C’est vraiment le découragement chez beaucoup de sénégalais qui commencent à occuper le terrain par des mouvements (Réthiou, CA 2017, et autres) ; la riposte à cela est : la prise de mesures courageuses qui améliorent le bien être des sénégalais et l’occupation permanente du terrain.Le capital d’estime dont jouissait le Président Macky SALL commence à pâlir et face à cela méditons bien Louis XIV qui disait que« quand les peuples cessent d’estimer ils cessent d’obéir ».
La cadence n’est pas du tout accélérée dans bien des secteurs et cet état de fait nous gène nous militants du parti qui manquons de discours à servir à nos contradicteurs. Il serait illusoire de tout changer en un temps si court, cependant il est possible de dresser une feuille de route qui prend en charge les priorités les plus pressantes et amorcer des esquisses de solutions qui rassurent. Nous ne sommes pas loin de 2017 et certaines préoccupations pour lesquelles les sénégalais avaient préféré Macky à Abdoulaye WADE ne connaissent guère de réponses convaincantes au point où le slogan à la mode est «deuk bi dokhoul».La vitesse d’action du Président est inversement proportionnelle à l’acuité du mal dont souffrent les populations. La gestion vertueuse est une réussite de même que la gouvernance sobre ; ces deux modèles de gestion doivent avoir pour finalité un captage de gains orientés vers la demande sociale dont toute reconduction de mandat dépend.
Les pêcheurs se plaignent, les paysans sortis d’un hivernage assez juste exhibent des bons impayés comme avec le régime déchu ;le secteur de la ferraille se plaignent de la concurrence chinoise qui risque de plomber le secteur. L’Ecole dans sa grandeur nature connait des turbulences meurtrières qui affolent et endeuillent des familles qui ne prennent plus l’université comme un lieu de promotion sociale. La SENELEC malgré toute sa campagne d’explication, les plans qu’elle déroule et le matraquage médiatique qu’elle fait, ne parvient pas à venir à bout des délestages qui endommagent nos appareils acquis après de durs mois d’économie. Des efforts sont faits certes pour trouver des emplois aux jeunes, seulement les critères d’octroi restent flous et cela a créé beaucoup de mécontents.
Le casting du dernier gouvernement n’est pas exsangue de critique car il a ignoré des responsables de l’APR connus pour leur engagement, leur sérieux, leur compétence et leur savoir problématique doublé d’un outillage intellectuel, bref tout un ensemble d’aptitudes qui justifient le choix pour une tâche d’état. Nous de la commune de Ndondol et du département de Bambey nous continuons à agiter le cas de Maître Pape SENE du collectif des avocats républicains, vainqueur dans sa commune(Ndondol) lors des joutes électorales du 29 juin, ce militant est avec maitre Omar YOUM l’un des plus grands défenseurs du parti. Maître Séne mérite d’être promu. Les exemples de frustration foisonnent ,la formation du dernier gouvernement et les récentes mesures individuelles n’ont pas tenu compte de certains paradigmes déterminants à la massification du parti ; au moment où des départements ou des villes totalisent trois ministres et directeurs généraux, d’autres avec des responsables plus représentatifs sont confinés à la périphérie de l’état, et même du parti ; des anomalies qui demandent à être corrigées car la loyauté, le sérieux, la compétence et la représentativité doivent être récompensées. Attention à la situation du « héros qui meurt de faim ». Nous avons élu Macky SALL, nous nous investissons corps et âme à rééditer en 2017 l’exploit de 2O12, pourvu que le secrétaire général du parti soit à l’écoute de sa base et prenne des décisions qui motivent les militants.Je ne suis pas un militant à ordre, je suis libre et indépendant, préoccupé par les succès du parti et ses victoires donc de ce point de vue je me refuse tout angélisme hypocrite qui perd le prince.Jeme veux un serviteur zélé du bien-être quotidien des sénégalais. J’ai élu Macky SALL pour deux mandats et je me dois d’être une sentinelle qui sonne l’alerte quand il le faut .Je demeure un militant républicain loyal et engagé.
A bon entendeur salut et pourvu que le Président m’entende.
Ibrahima KA
Militant APR au quartier
Léona à Bambey