Interrogé au sujet des spéculations faisant état d'un prochain remaniement ministériel, Me Alioune Badara Cissé, dont les déclarations sont rapportés par l'édition de lundi du quotidien privé Walfadjri, a répondu : ''Je ne pense pas que le président de la République l'ait annoncé''.
Selon le ministre des Affaires étrangères, le chef de l'Etat a simplement laissé entendre que ''l'exigence du travail et de la construction nationale pourrait exiger qu’il puisse s’entourer au niveau du gouvernement d’un nombre supérieur à 25".
''C'est l'évolution des choses. Maintenant, un remaniement annoncé, je ne le pense pas. Ensuite, cela ne serait que de sa propre discrétion", a indiqué Me Alioune Badara Cissé.
"Le président (de la République) gère un Etat. S'il pense qu’il faut d’autres niveaux de compétences pour d’autres niveaux de chantiers, il peut s’entourer du nombre de Sénégalais qu’il pense juste", a-t-il déclaré.
''Je pense qu'il faut qu'on cesse, dans nos pays, au regard des enjeux auxquels ils font face, de faire des économies de bouts de chandelle. Nous en avons assez fait. Nous avons pendant six mois maintenu le niveau macro-économique à un statut plus équilibré malgré les promesses de nos prédécesseurs de nous voir en état de cessation de paiement dès notre entrée en fonction'', a-t-il ajouté.
Selon le ministre des Affaires étrangères, le chef de l'Etat a simplement laissé entendre que ''l'exigence du travail et de la construction nationale pourrait exiger qu’il puisse s’entourer au niveau du gouvernement d’un nombre supérieur à 25".
''C'est l'évolution des choses. Maintenant, un remaniement annoncé, je ne le pense pas. Ensuite, cela ne serait que de sa propre discrétion", a indiqué Me Alioune Badara Cissé.
"Le président (de la République) gère un Etat. S'il pense qu’il faut d’autres niveaux de compétences pour d’autres niveaux de chantiers, il peut s’entourer du nombre de Sénégalais qu’il pense juste", a-t-il déclaré.
''Je pense qu'il faut qu'on cesse, dans nos pays, au regard des enjeux auxquels ils font face, de faire des économies de bouts de chandelle. Nous en avons assez fait. Nous avons pendant six mois maintenu le niveau macro-économique à un statut plus équilibré malgré les promesses de nos prédécesseurs de nous voir en état de cessation de paiement dès notre entrée en fonction'', a-t-il ajouté.