Un militaire français a été tué samedi dans le nord du Mali. C’est le cinquième depuis le début de l’intervention française dans ce pays en janvier. Dans ce contexte, des ministres se sont réunis dimanche en Mauritanie afin de renforcer la lutte contre le terrorisme dans la bande sahélo- saharienne.
Le soldat français est décédé dans l’explosion d’un engin au passage du blindé de type AMX 10 dans lequel il se trouvait. Trois autres militaires qui l’accompagnaient ont été blessés, dont deux grièvement. Les victimes participaient à une opération de recherche de caches de rebelles islamiques au sud de la ville de Tessalit, dans le massif des Ifoghas au nord du Mali.
Un porte-parole de l’état-major des armées a précisé que deux des trois soldats blessés ont été évacués par hélicoptère sur une antenne chirurgicale déployée dans la région. Il a signalé que deux caches d’armes et de nourriture avaient été découvertes et détruites samedi.
Environ 4000 militaires français sont actuellement déployés au Mali, où de violents combats les opposent aux combattants islamistes dans le nord-est du pays. Ils ratissent notamment le massif des Ifoghas, pour tenter de débusquer les combattants islamistes à proximité de la frontière algérienne.
Le soldat français est décédé dans l’explosion d’un engin au passage du blindé de type AMX 10 dans lequel il se trouvait. Trois autres militaires qui l’accompagnaient ont été blessés, dont deux grièvement. Les victimes participaient à une opération de recherche de caches de rebelles islamiques au sud de la ville de Tessalit, dans le massif des Ifoghas au nord du Mali.
Un porte-parole de l’état-major des armées a précisé que deux des trois soldats blessés ont été évacués par hélicoptère sur une antenne chirurgicale déployée dans la région. Il a signalé que deux caches d’armes et de nourriture avaient été découvertes et détruites samedi.
Environ 4000 militaires français sont actuellement déployés au Mali, où de violents combats les opposent aux combattants islamistes dans le nord-est du pays. Ils ratissent notamment le massif des Ifoghas, pour tenter de débusquer les combattants islamistes à proximité de la frontière algérienne.