Une « usine à bébés » a été découverte au Nigéria par les autorités locales, lundi 13 mai. Ce nouveau cas de trafic d’enfants fait partie d’une longue série de cas similaires découverts depuis plusieurs mois dans ce pays où ce fléau est très répandu.
Enceintes contre rémunération Six adolescentes, toutes enceintes, ont été retrouvées retenues dans une maison à Enugu. Elles se sont laissées convaincre d’accepter cette fonction par la promesse de recevoir de l’argent à la suite de leur accouchement.
Les trois responsables, deux hommes et une femme, soupçonnés d’avoir programmé le trafic des bébés, ont été interpellés.
De nombreux cas au Nigéria Cinq jours auparavant, une précédente cellule avait déjà été démantelée. 17 adolescentes enceintes âgées de 14 à 17 ans ainsi que 11 enfants en très bas âge ont été libérés. Les jeunes filles ont toutes indiquées avoir été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison.
Une autre cellule avait également été démantelée en mai 2011. Dans l’Etat d’Abia, 32 jeunes filles enceintes avaient alors été libérées. Ces dernières avaient appris aux autorités que les responsables leur avait promis jusqu’à 191 dollars (entre 25 000 et 30 000 nairas) lorsqu’elles auraient accouché et en fonction du sexe de leur enfant.
Enceintes contre rémunération Six adolescentes, toutes enceintes, ont été retrouvées retenues dans une maison à Enugu. Elles se sont laissées convaincre d’accepter cette fonction par la promesse de recevoir de l’argent à la suite de leur accouchement.
Les trois responsables, deux hommes et une femme, soupçonnés d’avoir programmé le trafic des bébés, ont été interpellés.
De nombreux cas au Nigéria Cinq jours auparavant, une précédente cellule avait déjà été démantelée. 17 adolescentes enceintes âgées de 14 à 17 ans ainsi que 11 enfants en très bas âge ont été libérés. Les jeunes filles ont toutes indiquées avoir été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison.
Une autre cellule avait également été démantelée en mai 2011. Dans l’Etat d’Abia, 32 jeunes filles enceintes avaient alors été libérées. Ces dernières avaient appris aux autorités que les responsables leur avait promis jusqu’à 191 dollars (entre 25 000 et 30 000 nairas) lorsqu’elles auraient accouché et en fonction du sexe de leur enfant.