Issa Savaré, directeur général de « Sen Cred », est dans de beaux draps. Et pour cause, sa « structure de microfinance », qui proposait à ses clients “une nouvelle vision de la finance”, est éclaboussée par une affaire d’arnaque présumée.
D’après Libération, cette boite fonctionnait selon le fameux système Ponzi avec notamment des prêts dans un délai de 15 jours, après versement d’une caution par le bénéficiaire. Mais, il s’est trouvé que la « structure » fournissait des chèques impayés. D’ailleurs, le journal informe que rien qu’entre le 25 avril 2022 et le 27 mai dernier, la Division des investigations criminelles (Dic) a enregistré plusieurs plaintes pour des préjudices allant de 3 à 50 millions F Cfa.
C’est le cas d’une commerçante du nom de B. Guissé, qui a mis sur la table 50 millions pour espérer obtenir un prêt de 100 millions F Cfa.
Face aux enquêteurs, M. Savaré a reconnu les faits, déclarant toutefois avoir donné à des crédits les fonds encaissés à d’autres clients, selon le système Ponzi.
Le mis en cause est un récidiviste. Car, selon toujours Libération, il avait été sommé de cesser, via « Sen Cred », toute activité d’intermédiation financière faute d’agrément
D’après Libération, cette boite fonctionnait selon le fameux système Ponzi avec notamment des prêts dans un délai de 15 jours, après versement d’une caution par le bénéficiaire. Mais, il s’est trouvé que la « structure » fournissait des chèques impayés. D’ailleurs, le journal informe que rien qu’entre le 25 avril 2022 et le 27 mai dernier, la Division des investigations criminelles (Dic) a enregistré plusieurs plaintes pour des préjudices allant de 3 à 50 millions F Cfa.
C’est le cas d’une commerçante du nom de B. Guissé, qui a mis sur la table 50 millions pour espérer obtenir un prêt de 100 millions F Cfa.
Face aux enquêteurs, M. Savaré a reconnu les faits, déclarant toutefois avoir donné à des crédits les fonds encaissés à d’autres clients, selon le système Ponzi.
Le mis en cause est un récidiviste. Car, selon toujours Libération, il avait été sommé de cesser, via « Sen Cred », toute activité d’intermédiation financière faute d’agrément