La jeune Abibatou Diop n’a pas la voix d’une enfant. A peine 14 ans, la fille du Pdg de l’Iseg se fera très bientôt remarquer dans le milieu musical. Abiba, c’est le surnom que son oncle Samba Ndiaye lui a donné depuis le bas âge. C’est pourquoi, elle a préféré garder ce nom pour laisser sa «marque» dans le milieu artistique. Elève en classe de 3ème, Abiba prépare activement son Bfem. «Je ferai de mon mieux pour maintenir les deux à la fois, de ne pas abandonner l’un au profit de l’autre. Si par extraordinaire, je devais laisser tomber l’une de ces deux activités, j’abandonnerais plutôt la musique, car je suis issue d’une famille d’éducateurs. Mes parents sont stricts avec moi à propos des études».
La petite Abiba a commencé à chantonner dès le bas âge. Elle n’a pas de chanteur préféré ni d’idole. Néanmoins, elle adore le jazz, le reggae et un peu le mbalakh. «J’ai dédié ce single à ma mère et même le titre (Sama Mother) le prouve. J’ai écrit le texte avec ma famille qui m’a beaucoup soutenu. En plus de cela, je demandais tout le temps à ma mère de me donner des idées concernant l’amour que peut avoir une maman pour ses enfants», affirme Abibatou Diop. Le style de son single est un mélange de reggae et de xalam car elle se définit comme une Africaine.
Les études d’abord ….
Le Pdg de l’Iseg, Mamadou Diop, privilégie les études pour sa fille. Père protecteur, mais très exigeant qui surveille ses enfants comme du lait sur le feu, Mamadou Diop confie : «On a fait un pari et pour qu’elle puisse sortir son album, il lui faudra d’abord décrocher son Bfem. Les études passent avant tout et c’est de cette manière que j’éduque mes enfants. Je l’ai laissée faire sa passion, et elle fait ce que je veux, c'est-à-dire elle étudie bien». Les principes chevillés au corps, ce père de famille, qui est conscient de la complexité du milieu de la musique, a confiance en sa fille. Car, il lui a donné une très bonne éducation. «Je lui dis souvent que si elle veut faire de la musique son métier, elle doit être mature avec une tête bien pleine et un fort caractère. Je suis responsable d’elle et je le serai jusqu'à sa majorité. J’ai décidé que c’est pendant les vacances scolaires seulement qu’elle ferait de la musique ; mais pendant l’année scolaire, elle doit étudier» explique-t-il.
La petite Abiba a commencé à chantonner dès le bas âge. Elle n’a pas de chanteur préféré ni d’idole. Néanmoins, elle adore le jazz, le reggae et un peu le mbalakh. «J’ai dédié ce single à ma mère et même le titre (Sama Mother) le prouve. J’ai écrit le texte avec ma famille qui m’a beaucoup soutenu. En plus de cela, je demandais tout le temps à ma mère de me donner des idées concernant l’amour que peut avoir une maman pour ses enfants», affirme Abibatou Diop. Le style de son single est un mélange de reggae et de xalam car elle se définit comme une Africaine.
Les études d’abord ….
Le Pdg de l’Iseg, Mamadou Diop, privilégie les études pour sa fille. Père protecteur, mais très exigeant qui surveille ses enfants comme du lait sur le feu, Mamadou Diop confie : «On a fait un pari et pour qu’elle puisse sortir son album, il lui faudra d’abord décrocher son Bfem. Les études passent avant tout et c’est de cette manière que j’éduque mes enfants. Je l’ai laissée faire sa passion, et elle fait ce que je veux, c'est-à-dire elle étudie bien». Les principes chevillés au corps, ce père de famille, qui est conscient de la complexité du milieu de la musique, a confiance en sa fille. Car, il lui a donné une très bonne éducation. «Je lui dis souvent que si elle veut faire de la musique son métier, elle doit être mature avec une tête bien pleine et un fort caractère. Je suis responsable d’elle et je le serai jusqu'à sa majorité. J’ai décidé que c’est pendant les vacances scolaires seulement qu’elle ferait de la musique ; mais pendant l’année scolaire, elle doit étudier» explique-t-il.