SETAL.NET - Le département de Vélingara est délimité à l’est par la région de Tambacounda qui partage ses frontières avec le Mali, au sud, la Guinée Conakry et la Guinée Bissau, au nord par la Gambie et à l’ouest par la région de la verte Casamance. Les grandes agglomérations se trouvent sur la Nationale 6.
Seulement depuis un certain temps, les citadins sont envahis par une horde de malades mentaux de tout genre et de tout âge. On y rencontre des jeunes, des vieux et des femmes dans un état de délabrement total.
Avec leur accoutrement, ils sont parfois munis de gourdins ou d’objets tranchants et fréquentent les lieux publics. Si certains malades mentaux sont passifs d’autres au contraire piqués par on ne sait quelle mouche s’attaquent aux enfants et aux femmes qui s’approvisionnent au marché.
D’où nous viennent cette horde de déréglés ? Pourquoi ont-ils perdu la raison ? Que faudrait-il pour les recaser, les soigner et les entretenir ? Comment sécuriser les citoyens avec des gens qui ont complètement perdu la raison ? Voila autant d’interrogations que se sont posées pas mal d’individus rencontrés.
Selon Bakary Baldé, un habitant de Maréwé, les fous sont dangereux. L’un d’eux avait élu domicile dans les rizières et s’attaquait aux braves femmes qui y travaillaient. Après plusieurs cas d’agressions constatées, il était question de le localiser et de le ligoter. Le lendemain, il avait disparu et la hantise de la peur a fait que plusieurs de leurs parcelles de riz ont été abandonnées.
Pour rappel, un autre malade mental passait la nuit aux cimetières de Vélingara. Personne ne savait exactement ce qu’il manigançait dans ses lieux sacrés. Un beau jour, les populations étaient étonnées de le voir rouler avec une nouvelle bicyclette. Ce fut la course poursuite. Pour sauver sa peau, le fou est allé se réfugier à la brigade de gendarmerie. « Ils sont nombreux, a pesté M.Baldé à vadrouiller et si l’Etat pouvait construire même si c’est un seul hôpital psychiatrique comme celui de FANN pour les recaser ce serait une bonne chose. Un malade mental est capable de commettre un délit et aucune poursuite judiciaire ne sera valable dit il. Nous demandons une assistance particulièrement pour notre progéniture et nos femmes qui sont les cibles de ces individus sans scrupules et sans raison », conclut-il.
Seulement depuis un certain temps, les citadins sont envahis par une horde de malades mentaux de tout genre et de tout âge. On y rencontre des jeunes, des vieux et des femmes dans un état de délabrement total.
Avec leur accoutrement, ils sont parfois munis de gourdins ou d’objets tranchants et fréquentent les lieux publics. Si certains malades mentaux sont passifs d’autres au contraire piqués par on ne sait quelle mouche s’attaquent aux enfants et aux femmes qui s’approvisionnent au marché.
D’où nous viennent cette horde de déréglés ? Pourquoi ont-ils perdu la raison ? Que faudrait-il pour les recaser, les soigner et les entretenir ? Comment sécuriser les citoyens avec des gens qui ont complètement perdu la raison ? Voila autant d’interrogations que se sont posées pas mal d’individus rencontrés.
Selon Bakary Baldé, un habitant de Maréwé, les fous sont dangereux. L’un d’eux avait élu domicile dans les rizières et s’attaquait aux braves femmes qui y travaillaient. Après plusieurs cas d’agressions constatées, il était question de le localiser et de le ligoter. Le lendemain, il avait disparu et la hantise de la peur a fait que plusieurs de leurs parcelles de riz ont été abandonnées.
Pour rappel, un autre malade mental passait la nuit aux cimetières de Vélingara. Personne ne savait exactement ce qu’il manigançait dans ses lieux sacrés. Un beau jour, les populations étaient étonnées de le voir rouler avec une nouvelle bicyclette. Ce fut la course poursuite. Pour sauver sa peau, le fou est allé se réfugier à la brigade de gendarmerie. « Ils sont nombreux, a pesté M.Baldé à vadrouiller et si l’Etat pouvait construire même si c’est un seul hôpital psychiatrique comme celui de FANN pour les recaser ce serait une bonne chose. Un malade mental est capable de commettre un délit et aucune poursuite judiciaire ne sera valable dit il. Nous demandons une assistance particulièrement pour notre progéniture et nos femmes qui sont les cibles de ces individus sans scrupules et sans raison », conclut-il.