Après la communauté rurale Bonconto, de Saré Coly Sallé, c’est au tour de celle de Pakour, localité située au sud ouest du département d’accueillir autorités locales, institutions de crédit, organisations paysannes, des agents de développement comme ceux de la société agricole et industrielle du Sénégal, des techniciens pour poursuivre la réflexion sur les multiples difficultés qui plombent le bassin de l’Anambé.
A cheval entre le département de Vélingara et celui de Kolda, le bassin est un ensemble de périmètres aménagés pour la riziculture. Parmi les acteurs, chacun va produire un document qui permettra de résoudre les multiples problèmes auxquels les riziculteurs sont confrontés.
A entendre Lamine Ndiaye, le chef de service départemental du développement rural, le document sera étoffé pour constituer la 1ère charte du domaine irrigué. Parmi les défis à relever, la divagation des animaux, la pollution de l’eau douce au niveau des surfaces irriguées, la destruction de canaux, la déforestation, intoxication du poisson etc. Mais en approfondissant la réflexion pour appliquer les dispositions de la charte les problèmes dans le bassin de l’Anambé seront atténués a-t-il insisté. L’objectif final a-t-il ajouté est de faire en sorte que les superficies emblavées, lever toutes les contraintes qui limitent la mise en valeur du bassin de l’Anambé. Pour une gestion rationnelle de périmètres aménagés et régler de façon durable les litiges entre intra et extra producteurs.
Seulement du coté des riziculteurs qui sont en plein temps dans ce bassin, les doléances ne manquent pas. Siring Mballo, un sexagénaire du secteur g, demande la réhabilitation des aménagements et infrastructures hydro agricoles, le renouvellement et l’acquisition d’équipements agricoles, l’accès aux intrants agricoles en quantité et en qualité suffisante au moment opportun. Là où il veut plus de précision c’est comment et à quelle période, réhabiliter les aménagements, comment trouver les moyens pour réhabiliter les aménagements.
Comment doter le bassin de l’Anambé du matériel agricole adapté et suffisant. Autant de questions que la charte qui sera élaborée va prendre en compte pour booster le développement socio économique du Fouladou. Réduire considérablement la faim et la pauvreté est une préoccupation majeure que tous les agriculteurs comptent combattre d’ici quelques années en exploitant considérablement le bassin de l’Anambé.
A cheval entre le département de Vélingara et celui de Kolda, le bassin est un ensemble de périmètres aménagés pour la riziculture. Parmi les acteurs, chacun va produire un document qui permettra de résoudre les multiples problèmes auxquels les riziculteurs sont confrontés.
A entendre Lamine Ndiaye, le chef de service départemental du développement rural, le document sera étoffé pour constituer la 1ère charte du domaine irrigué. Parmi les défis à relever, la divagation des animaux, la pollution de l’eau douce au niveau des surfaces irriguées, la destruction de canaux, la déforestation, intoxication du poisson etc. Mais en approfondissant la réflexion pour appliquer les dispositions de la charte les problèmes dans le bassin de l’Anambé seront atténués a-t-il insisté. L’objectif final a-t-il ajouté est de faire en sorte que les superficies emblavées, lever toutes les contraintes qui limitent la mise en valeur du bassin de l’Anambé. Pour une gestion rationnelle de périmètres aménagés et régler de façon durable les litiges entre intra et extra producteurs.
Seulement du coté des riziculteurs qui sont en plein temps dans ce bassin, les doléances ne manquent pas. Siring Mballo, un sexagénaire du secteur g, demande la réhabilitation des aménagements et infrastructures hydro agricoles, le renouvellement et l’acquisition d’équipements agricoles, l’accès aux intrants agricoles en quantité et en qualité suffisante au moment opportun. Là où il veut plus de précision c’est comment et à quelle période, réhabiliter les aménagements, comment trouver les moyens pour réhabiliter les aménagements.
Comment doter le bassin de l’Anambé du matériel agricole adapté et suffisant. Autant de questions que la charte qui sera élaborée va prendre en compte pour booster le développement socio économique du Fouladou. Réduire considérablement la faim et la pauvreté est une préoccupation majeure que tous les agriculteurs comptent combattre d’ici quelques années en exploitant considérablement le bassin de l’Anambé.
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