Les calamités naturelles sont multiples et variées dans un département qui est souvent confronté à des catastrophes comme par exemple les incendies qui causent souvent beaucoup de dégâts matériels et parfois même des victimes, des champs inondés où des agriculteurs n’arrivent à ne rien récolter, des inondations pour ne citer que ces fléaux.
Face à ces calamités, la vision mondiale Internationale, en partenariat avec l’ADP de Kounkané a organisé une session de formation de 03 jours aux acteurs de développement que sont les communautés pour la plupart issues du monde rural. Venues de Kandiaye, de Saré Coly Sallé et de Kounkané pour discuter de ces malheurs qui s’abattent sur les populations.
L’ONG a apporté tout son concours à circonscrire l’ampleur de ses calamités, à réduire leurs effets et à gérer l’après calamité. Seulement nous dit le facilitateur, Mamadou Séga Camara, les communautés sont appelées d’abord à prendre conscience des différentes calamités, identifier leurs manifestations, voire même d’où vient le mal, ensuite trouver les moyens pour les premiers secours.
Des ateliers de réflexion ont été organisés où chaque groupe a présenté son document qui sera finalisé par les experts. Ensemble ils ont tenté de faire des esquisses de solutions pour prévenir, gérer et quelquefois transformer ces catastrophes en faveur de l’homme, a-t-il insisté. D’autres sessions de formations sont envisagées pour mieux outiller les communautés issues du monde rural qui sont les plus vulnérables par rapport aux calamités naturelles, renseigne-t-il.
Face à ces calamités, la vision mondiale Internationale, en partenariat avec l’ADP de Kounkané a organisé une session de formation de 03 jours aux acteurs de développement que sont les communautés pour la plupart issues du monde rural. Venues de Kandiaye, de Saré Coly Sallé et de Kounkané pour discuter de ces malheurs qui s’abattent sur les populations.
L’ONG a apporté tout son concours à circonscrire l’ampleur de ses calamités, à réduire leurs effets et à gérer l’après calamité. Seulement nous dit le facilitateur, Mamadou Séga Camara, les communautés sont appelées d’abord à prendre conscience des différentes calamités, identifier leurs manifestations, voire même d’où vient le mal, ensuite trouver les moyens pour les premiers secours.
Des ateliers de réflexion ont été organisés où chaque groupe a présenté son document qui sera finalisé par les experts. Ensemble ils ont tenté de faire des esquisses de solutions pour prévenir, gérer et quelquefois transformer ces catastrophes en faveur de l’homme, a-t-il insisté. D’autres sessions de formations sont envisagées pour mieux outiller les communautés issues du monde rural qui sont les plus vulnérables par rapport aux calamités naturelles, renseigne-t-il.