Le département, à 3 frontières est envahi par des trafiquants et usagers de l’herbe qui tue communément appelée Yamba ou chanvre indien. De nos jours, elle demeure la chose la mieux consommée par des toxicomanes de tous âges et tous sexes.
Face à l’ampleur du phénomène de déperdition, les notables de certaines localités de Vélingara, ont jugé nécessaire de mettre en place des comités de vigilance pour traquer les trafiquants et usagers de chanvre indien. Parce que soutient Kéba Baldé, un des vigiles, notre société est entrain de mourir à petits feux. Comment de jeunes enfants garçons et filles, à peine sortis de l’enfance s’adonnent à tirer le joint ou à vendre une chose illicite, interdite par la loi. De même, des chefs de famille, déboussolés et qui ont perdu espoir, ne cessent de gonfler les rangs des fumeurs. Il n’est pas étonnant de rencontrer un vieillard à la recherche de yamba.
Pour eux, c’est la seule solution d’échapper à la misère, au sous emploi et la faim. Seulement, les sages et certains jeunes ont pris le cas à bras le corps pour mettre hors d’état de nuire ces marchands de la mort. Que ce soit dans les villages les plus reculés ou dans les villes le commerce de l’herbe qui tue est à la portée de tout un chacun. Rare est de sillonner ces lieux sans rencontrer un dealer. Et avec la complicité du voisinage, ces sots n’ont jamais été dénoncés. Ils continuent à polluer l’environnement et à détruire les futures générations. Beaucoup d’enfants par curiosité découvrent cette herbe et ne parviennent plus à s’en passer. Occasionnant ainsi des changements de comportements qui font qu’ils deviendront plus tard des voleurs ou des agresseurs parce que ne jouissant plus de leurs facultés.
La gendarmerie, la police et l’armée, a beau les traquer mais n’y arrivera pas sans la collaboration des populations, a-t-il insisté. Et pour cela, ajoute t il, nous veillons au grain pour dénoncer ces usagers qui fument au vu et au su de tout le monde. Quant aux trafiquants qui vendent à 7500 f le kg, des cornets de 100f ; 250f ; 300f et même 500 f, nous les avons repérés m’a-t-il dit et nous profiterons le moment opportun de mettre la main sur eux et de les envoyer aux forces de l’ordre car nous sommes dans l’insécurité totale face à ces délinquants de tous acabits, qui incitent leur progéniture à filer du mauvais coton.
Le yamba, connu de tous est devenu la chose la mieux partagée par les jeunes d’aujourd’hui et les vieux qui se sont embourbés ne peuvent plus s’en sortir car drogués jusqu’à la moelle épinière. Selon sa déclaration, si les malades mentaux ne cessent de croitre c’est du en partie à la consommation accrue de cette herbe qui touche toutes les parties du corps humain. A cela s’ajoutent les troubles psychiatriques qui poussent ces drogués à commettre des délits comme les vols avec effraction, des attaques à main armée et autres genres de banditisme. Nous ne voudrions pas perdre nos enfants qui prendront la relève de demain et comme l’usage du chanvre indien ne touche plus que des marginaux et que les consommateurs se recrutent parmi des actifs apparemment bien insérés socialement, nous allons appliquer des mesures sévères pour que le département soit lavé de cette souillure. Mais si des usagers et trafiquants pensent que le Yamba est censé régler les malheurs existentiels ,moduler les humeurs ,stimuler ses désirs et inspirer ses pensées, les comités de vigilance mis sur pied ,eux ,croient qu’il faut les traquer jusque dans leur dernier retranchement et les dénoncer aux forces de l’ordre. Le jeu de cache-cache a commencé et nous espérons que ces marchands de la mort seront bientôt pris dans les filets. L’histoire nous en dira plus.
Face à l’ampleur du phénomène de déperdition, les notables de certaines localités de Vélingara, ont jugé nécessaire de mettre en place des comités de vigilance pour traquer les trafiquants et usagers de chanvre indien. Parce que soutient Kéba Baldé, un des vigiles, notre société est entrain de mourir à petits feux. Comment de jeunes enfants garçons et filles, à peine sortis de l’enfance s’adonnent à tirer le joint ou à vendre une chose illicite, interdite par la loi. De même, des chefs de famille, déboussolés et qui ont perdu espoir, ne cessent de gonfler les rangs des fumeurs. Il n’est pas étonnant de rencontrer un vieillard à la recherche de yamba.
Pour eux, c’est la seule solution d’échapper à la misère, au sous emploi et la faim. Seulement, les sages et certains jeunes ont pris le cas à bras le corps pour mettre hors d’état de nuire ces marchands de la mort. Que ce soit dans les villages les plus reculés ou dans les villes le commerce de l’herbe qui tue est à la portée de tout un chacun. Rare est de sillonner ces lieux sans rencontrer un dealer. Et avec la complicité du voisinage, ces sots n’ont jamais été dénoncés. Ils continuent à polluer l’environnement et à détruire les futures générations. Beaucoup d’enfants par curiosité découvrent cette herbe et ne parviennent plus à s’en passer. Occasionnant ainsi des changements de comportements qui font qu’ils deviendront plus tard des voleurs ou des agresseurs parce que ne jouissant plus de leurs facultés.
La gendarmerie, la police et l’armée, a beau les traquer mais n’y arrivera pas sans la collaboration des populations, a-t-il insisté. Et pour cela, ajoute t il, nous veillons au grain pour dénoncer ces usagers qui fument au vu et au su de tout le monde. Quant aux trafiquants qui vendent à 7500 f le kg, des cornets de 100f ; 250f ; 300f et même 500 f, nous les avons repérés m’a-t-il dit et nous profiterons le moment opportun de mettre la main sur eux et de les envoyer aux forces de l’ordre car nous sommes dans l’insécurité totale face à ces délinquants de tous acabits, qui incitent leur progéniture à filer du mauvais coton.
Le yamba, connu de tous est devenu la chose la mieux partagée par les jeunes d’aujourd’hui et les vieux qui se sont embourbés ne peuvent plus s’en sortir car drogués jusqu’à la moelle épinière. Selon sa déclaration, si les malades mentaux ne cessent de croitre c’est du en partie à la consommation accrue de cette herbe qui touche toutes les parties du corps humain. A cela s’ajoutent les troubles psychiatriques qui poussent ces drogués à commettre des délits comme les vols avec effraction, des attaques à main armée et autres genres de banditisme. Nous ne voudrions pas perdre nos enfants qui prendront la relève de demain et comme l’usage du chanvre indien ne touche plus que des marginaux et que les consommateurs se recrutent parmi des actifs apparemment bien insérés socialement, nous allons appliquer des mesures sévères pour que le département soit lavé de cette souillure. Mais si des usagers et trafiquants pensent que le Yamba est censé régler les malheurs existentiels ,moduler les humeurs ,stimuler ses désirs et inspirer ses pensées, les comités de vigilance mis sur pied ,eux ,croient qu’il faut les traquer jusque dans leur dernier retranchement et les dénoncer aux forces de l’ordre. Le jeu de cache-cache a commencé et nous espérons que ces marchands de la mort seront bientôt pris dans les filets. L’histoire nous en dira plus.