Les faits se sont déroulés hier aux environs de 14 heures. L’enfant s’était rendu au champ de ses parents; c’est par la suite une folle envie de se baigner au fleuve lui a pris sans même avoir aucune arrière pensée, il est parti au bord du fleuve. Quelques minutes plus tard, il se déshabilla pour ensuite effectuer un plongeon dans le fleuve. Voulant nager pour ressortir de l’eau, il n’a pas pu le faire. Il était coincé, il ne put rien faire à l’intérieur. Mais au moment, où, il faisait le plongeon, il y avait un homme qui l’avait aperçu, ce dernier après avoir constaté qu’il ne voyait plus l’enfant faire des mouvements dans l’eau est allé voir ce qui n’allait pas. Une fois sur les lieux, il a vu les habits d’Abdoul Diallo par terre au bord du fleuve. C’est comme çà qu’il a su que la victime était dans l’eau et il a pris l’engagement de le rejoindre à l’intérieur pour le secourir.
Après une recherche d’une dizaine de minutes, il retrouve le corps de l’enfant sans vie. Il le fait sortir des eaux et le fait coucher en bordure du fleuve et sonne : « quand, il est venu ici, je l’ai vu, il a plongé dans l’eau, il se baigné tranquillement. Tout d’un coup, j’ai constaté qu’il n’était plus là. Automatiquement, je suis dis est-ce qu’il n’est pas sorti de l’eau pour rentrer. Mais, je me suis dis que s’il était sorti, j’aurais pu le voir et c’est ce qui n’a pas était le cas. Ainsi, je me suis rendu sur les lieux, j’ai trouvé son boubou et son pantalon en bordure du fleuve, je l’ai appelé, il n’a pas répondu, c’est ainsi que j’ai plongé dans l’eau et je me mis à sa recherche, jusqu’à ce que je le retrouve et l’ai fait sortir et l’ai amené pour l’allonger ici. Et, c’est par la suite que j’ai crié pour alerter qu’il y a un enfant qui s’est noyé dans le fleuve et tout le monde est venu et nous avons fait appel à l’infirmier chef de poste de Diaobé. C’est ainsi que les hommes en bleu de la brigade de gendarmerie de Diaobé ont été informés du cas et se sont déportés au lieu de l’accident », a témoigné ce monsieur qui a préféré se prononcer sous couvert de l’anonymat.
L’infirmier chef de poste de Diaobé, s’était rendu sur place. D’ailleurs, c’est lui qui a fait le constat médical pour confirmer que l’enfant est bel et bien mort de noyade parce que dit-il : « il y avait dans ses narines des bouts de champignons et qu’il avait bu beaucoup d’eau lors qu’il s’est noyé s’est ce qui a fait qu’il a perdu la vie car sa respiration était bloquée , le fait que l’enfant est resté dans l’eau sans être secouru a fait qu’il a bu beaucoup d’eau provoquant en lui un arrêt respiratoire, j’ai fait le constat quand je suis arrivé, je confirme que c’est un cas de noyade. Ce n’est pas une tentative de suicide encore moins un assassinat. Je réaffirme que c’est un cas de noyade, l’enfant n’a pas eu de secours à temps, c’est pourquoi, il est mort », a confié l’infirmier chef de poste de Diaobé.
Présents sur les lieux, les hommes du commandant Diallo qui ont fait le même constat que l’infirmier ont saisi le procureur de Kolda pour que ce dernier leur dise ce qu’il avait lieu de faire pour le cas de cet enfant qui s’est noyé. Car selon les limiers, il est seul habilité à donner une quelconque ordonnance pour que le corps de cet enfant soit enterré ou pas. Ainsi puis qu’on lui avait expliqué que s’était un cas de noyade tout simplement et que tout a été constaté. Le procureur a ordonné que le corps de l’enfant soit remis à sa famille pour qu’elle puisse l’enterrer.
A la suite de cela que l’enfant a été remis à ses parents qui l’ont ramené chez-eux le cadavre pour l’enterrer le même jour après la prière du crépuscule. Il faut signaler que la victime était âgée de 17 ans et était un élève en classe de CE2 parce qu’il n’était pas entré à l’école très tôt et également, il était un handicapé.
ABDOULAYE WANDIANGA (correspondant).
Après une recherche d’une dizaine de minutes, il retrouve le corps de l’enfant sans vie. Il le fait sortir des eaux et le fait coucher en bordure du fleuve et sonne : « quand, il est venu ici, je l’ai vu, il a plongé dans l’eau, il se baigné tranquillement. Tout d’un coup, j’ai constaté qu’il n’était plus là. Automatiquement, je suis dis est-ce qu’il n’est pas sorti de l’eau pour rentrer. Mais, je me suis dis que s’il était sorti, j’aurais pu le voir et c’est ce qui n’a pas était le cas. Ainsi, je me suis rendu sur les lieux, j’ai trouvé son boubou et son pantalon en bordure du fleuve, je l’ai appelé, il n’a pas répondu, c’est ainsi que j’ai plongé dans l’eau et je me mis à sa recherche, jusqu’à ce que je le retrouve et l’ai fait sortir et l’ai amené pour l’allonger ici. Et, c’est par la suite que j’ai crié pour alerter qu’il y a un enfant qui s’est noyé dans le fleuve et tout le monde est venu et nous avons fait appel à l’infirmier chef de poste de Diaobé. C’est ainsi que les hommes en bleu de la brigade de gendarmerie de Diaobé ont été informés du cas et se sont déportés au lieu de l’accident », a témoigné ce monsieur qui a préféré se prononcer sous couvert de l’anonymat.
L’infirmier chef de poste de Diaobé, s’était rendu sur place. D’ailleurs, c’est lui qui a fait le constat médical pour confirmer que l’enfant est bel et bien mort de noyade parce que dit-il : « il y avait dans ses narines des bouts de champignons et qu’il avait bu beaucoup d’eau lors qu’il s’est noyé s’est ce qui a fait qu’il a perdu la vie car sa respiration était bloquée , le fait que l’enfant est resté dans l’eau sans être secouru a fait qu’il a bu beaucoup d’eau provoquant en lui un arrêt respiratoire, j’ai fait le constat quand je suis arrivé, je confirme que c’est un cas de noyade. Ce n’est pas une tentative de suicide encore moins un assassinat. Je réaffirme que c’est un cas de noyade, l’enfant n’a pas eu de secours à temps, c’est pourquoi, il est mort », a confié l’infirmier chef de poste de Diaobé.
Présents sur les lieux, les hommes du commandant Diallo qui ont fait le même constat que l’infirmier ont saisi le procureur de Kolda pour que ce dernier leur dise ce qu’il avait lieu de faire pour le cas de cet enfant qui s’est noyé. Car selon les limiers, il est seul habilité à donner une quelconque ordonnance pour que le corps de cet enfant soit enterré ou pas. Ainsi puis qu’on lui avait expliqué que s’était un cas de noyade tout simplement et que tout a été constaté. Le procureur a ordonné que le corps de l’enfant soit remis à sa famille pour qu’elle puisse l’enterrer.
A la suite de cela que l’enfant a été remis à ses parents qui l’ont ramené chez-eux le cadavre pour l’enterrer le même jour après la prière du crépuscule. Il faut signaler que la victime était âgée de 17 ans et était un élève en classe de CE2 parce qu’il n’était pas entré à l’école très tôt et également, il était un handicapé.
ABDOULAYE WANDIANGA (correspondant).