SETAL.NET - Le chanvre indien est devenu la chose la mieux prisée par les jeunes par ces temps qui courent. Certains, non seulement la consomment mais aussi en cultivent derrière les enclos en grande quantité pour s’enrichir. Plus naïf que Lamine Keita, marié et habitant le quartier Thiankang de ladite commune, on meurt.
Connu de tous pour être l’un des photographes du coin, il n’a cherché de mieux à faire que de vendre aux usagers du Yamba et de le semer dans sa maison. Fréquenté par tous à cause de son studio de photographie, l’un de ses visiteurs a finalement découvert la marchandise illicite et les pieds de certains plants.
Ainsi, mesurant les dégâts de ce commerce illicite dans un quartier aussi populaire, il est allé aviser les hommes en bleu de la brigade de gendarmerie.
L’Adjudant chef, le commandant Salif Diallo et son équipe se sont rendus sur les lieux. Après une minutieuse fouille, les plants, des cornets de chanvre indien ont été retrouvés.
Le dealer, après avoir senti le coup, a pris la clé des champs, laissant sa famille dans la tristesse et la désolation.
Interrogée par les pandores la femme dit ignorer l’endroit où se serait caché son mari.
Les recherches se poursuivent et les forces de l’ordre comptent traquer les dealers et usagers de l’herbe qui tue jusque dans leur dernier retranchement. Car, faut il le souligner, le trafic et l’usage du chanvre indien sont aujourd’hui vivement combattues par les populations. Avec une franche collaboration avec les forces de sécurité, il est évident que le phénomène sera éradiqué à la racine nous dit un sage du quartier de Thiankang qui a préféré garder l’anonymat.
Avant de poursuivre : « les nouvelles générations ne savent plus que faire. D’autres professions légales existent et que les jeunes se lancent dans des activités plutôt lucratives car gagner de l’argent honnêtement est un acte d’un bon musulman. Tout ce qui est illicite c'est-à-dire interdit à la consommation doit être banni ».
Connu de tous pour être l’un des photographes du coin, il n’a cherché de mieux à faire que de vendre aux usagers du Yamba et de le semer dans sa maison. Fréquenté par tous à cause de son studio de photographie, l’un de ses visiteurs a finalement découvert la marchandise illicite et les pieds de certains plants.
Ainsi, mesurant les dégâts de ce commerce illicite dans un quartier aussi populaire, il est allé aviser les hommes en bleu de la brigade de gendarmerie.
L’Adjudant chef, le commandant Salif Diallo et son équipe se sont rendus sur les lieux. Après une minutieuse fouille, les plants, des cornets de chanvre indien ont été retrouvés.
Le dealer, après avoir senti le coup, a pris la clé des champs, laissant sa famille dans la tristesse et la désolation.
Interrogée par les pandores la femme dit ignorer l’endroit où se serait caché son mari.
Les recherches se poursuivent et les forces de l’ordre comptent traquer les dealers et usagers de l’herbe qui tue jusque dans leur dernier retranchement. Car, faut il le souligner, le trafic et l’usage du chanvre indien sont aujourd’hui vivement combattues par les populations. Avec une franche collaboration avec les forces de sécurité, il est évident que le phénomène sera éradiqué à la racine nous dit un sage du quartier de Thiankang qui a préféré garder l’anonymat.
Avant de poursuivre : « les nouvelles générations ne savent plus que faire. D’autres professions légales existent et que les jeunes se lancent dans des activités plutôt lucratives car gagner de l’argent honnêtement est un acte d’un bon musulman. Tout ce qui est illicite c'est-à-dire interdit à la consommation doit être banni ».