Les américains comptent aider les pays africains à se protéger face à la menace terroriste. La valorisation du secteur aéronautique permettra de mieux faire face à ce fléau qui plane sur la sous région ouest-africaine. « On veut préparer et mettre en place une structure de l’armée de l’air, qui va se charger de mettre en place une coordination de toutes les armées de l’air d’Afrique », a dit, hier, à Dakar, le Ministre des Forces Armées. Augustin Tine procédait à l’ouverture de la conférence des Chefs d’Etats Majors des Armées de l’Air d’Afrique. Cette structure permettra aux armées de l’air de se préparer, face aux menaces de terrorisme en Afrique. Les Usa s’intéressent davantage à ce phénomène qui prend de l’ampleur en Afrique, particulièrement, au Mali.
En effet, après la rencontre d’Addis Abeba, où il était question de voir comment faire, afin que les armées puissent travailler ensemble sur la question de la sécurité et de la sureté, il est visé la formation et la standardisation des procédures. En outre, il est question de « mettre ensemble une meilleure opérabilité pour pouvoir travailler mieux, entre l’armée de terre et la marine, à travers tout ce qu’offrent les vecteurs aériennes », renseigne, le Général Alain Preira, de l’Armée de l’air Sénégalaise, selon qui, ces vecteurs offrent la possibilité d’aller vite et loin, de travailler avec précision, de voir ce que les autres ne voient pas, de renseigner et enfin, de travailler, en synergie.
Par ailleurs, les armées de l’air ont besoin de moyens et de compétitivité, pour faire face à cette menace. D’ailleurs, le ministre de tutelle dira, à ce propos, qu’il est d’actualité de faire en sorte qu’aujourd’hui, nos armées de l’air, non seulement, soient ensemble, mais aussi, compétitives. Et le Général Breedlove, commandant des Forces aériennes des Etats-Unis pour l’Afrique, d’affirmer, conscient que les terroristes ont accès à des moyens, que, pour les combattre, « faudrait-il avoir les moyens qu’ils ont, ou plus ».
En effet, après la rencontre d’Addis Abeba, où il était question de voir comment faire, afin que les armées puissent travailler ensemble sur la question de la sécurité et de la sureté, il est visé la formation et la standardisation des procédures. En outre, il est question de « mettre ensemble une meilleure opérabilité pour pouvoir travailler mieux, entre l’armée de terre et la marine, à travers tout ce qu’offrent les vecteurs aériennes », renseigne, le Général Alain Preira, de l’Armée de l’air Sénégalaise, selon qui, ces vecteurs offrent la possibilité d’aller vite et loin, de travailler avec précision, de voir ce que les autres ne voient pas, de renseigner et enfin, de travailler, en synergie.
Par ailleurs, les armées de l’air ont besoin de moyens et de compétitivité, pour faire face à cette menace. D’ailleurs, le ministre de tutelle dira, à ce propos, qu’il est d’actualité de faire en sorte qu’aujourd’hui, nos armées de l’air, non seulement, soient ensemble, mais aussi, compétitives. Et le Général Breedlove, commandant des Forces aériennes des Etats-Unis pour l’Afrique, d’affirmer, conscient que les terroristes ont accès à des moyens, que, pour les combattre, « faudrait-il avoir les moyens qu’ils ont, ou plus ».