Les autorités de la Mairie de Grand-Yoff ne sont plus en odeur de sainteté auprès du sieur Mar Diop, plus connu sous le sobriquet de « Bro ». Pour cause, ce dernier fustige le « déguerpissement clandestin » de son parking pour location et vente de véhicules sis à la Cité Sonatel. Un déguerpissement qui a occasionné la destruction de deux de ses voitures dit-il. Ayant joint le préfet de Dakar, ce dernier lui signifiera, selon ses dires, « n’avoir jamais autorisé de tels déguerpissements ».
Monsieur Diop déclare, par ailleurs, n’avoir jamais reçu de sommation de la part des autorités de la mairie qu’il accuse de lui en vouloir pour ses conflits avec Khalifa Sall, le maire de Dakar. Au moment du déguerpissement, le sieur Diop déclare aussi avoir demandé aux agents de la marie une sommation d’enlever qui leur donne l’autorisation de procéder à de tels actes, document qu’ils n’ont pas été capables de montrer.
« Je me suis attaché les services d’un huissier de justice qui a constaté les dégâts, et je vais saisir la justice», a-t-il déclaré.
Pour finir, « Bro » soutient que l’espace litigieux est présentement occupé par un vendeur de carreaux et deux cantines qui versent de l’argent à la mairie.
Du côté de la Marie, Monsieur El hadj Omar Gueye, responsable du service technique à la mairie de Grand-Yoff, nie en bloc et parle d’accusations fallacieuses. Selon lui, Monsieur Mar Diop n’a jamais été autorisé à s’installer dans l’espace en question. Une sommation lui a été bien envoyée, mais il a refusé de la prendre.
Le journaliste de Leral chargé de mener l’enquête a pu voir une sommation d’enlever au nom de « bro parking automobile» qui lui a été montré par son interlocuteur, en l’occurrence, monsieur El hadj Omar Gueye.
Le responsable du service technique botte en touche et réfute toute activité clandestine. Selon lui, la mairie est accompagnée par le commandant du corps du urbain dans le cadre de ces déguerpissements.
Et monsieur Gueye de continuer: « Le titre auquel le sieur Diop se prévaut date de 2003. Ce n’est plus d’actualité. C’est au Maire d’accorder une autorisation d’occupation et il l’a accordée à une autre société, en l’occurrence la société Seratec », martèle-t-il. « Il s’agit d’une autorisation à titre précaire et révocable » précise-t-il.
Nous y reviendrons…
Monsieur Diop déclare, par ailleurs, n’avoir jamais reçu de sommation de la part des autorités de la mairie qu’il accuse de lui en vouloir pour ses conflits avec Khalifa Sall, le maire de Dakar. Au moment du déguerpissement, le sieur Diop déclare aussi avoir demandé aux agents de la marie une sommation d’enlever qui leur donne l’autorisation de procéder à de tels actes, document qu’ils n’ont pas été capables de montrer.
« Je me suis attaché les services d’un huissier de justice qui a constaté les dégâts, et je vais saisir la justice», a-t-il déclaré.
Pour finir, « Bro » soutient que l’espace litigieux est présentement occupé par un vendeur de carreaux et deux cantines qui versent de l’argent à la mairie.
Du côté de la Marie, Monsieur El hadj Omar Gueye, responsable du service technique à la mairie de Grand-Yoff, nie en bloc et parle d’accusations fallacieuses. Selon lui, Monsieur Mar Diop n’a jamais été autorisé à s’installer dans l’espace en question. Une sommation lui a été bien envoyée, mais il a refusé de la prendre.
Le journaliste de Leral chargé de mener l’enquête a pu voir une sommation d’enlever au nom de « bro parking automobile» qui lui a été montré par son interlocuteur, en l’occurrence, monsieur El hadj Omar Gueye.
Le responsable du service technique botte en touche et réfute toute activité clandestine. Selon lui, la mairie est accompagnée par le commandant du corps du urbain dans le cadre de ces déguerpissements.
Et monsieur Gueye de continuer: « Le titre auquel le sieur Diop se prévaut date de 2003. Ce n’est plus d’actualité. C’est au Maire d’accorder une autorisation d’occupation et il l’a accordée à une autre société, en l’occurrence la société Seratec », martèle-t-il. « Il s’agit d’une autorisation à titre précaire et révocable » précise-t-il.
Nous y reviendrons…