Même si le taux de prévalence national est considérablement bas, o, 7%, en milieu de travail, rien ne le prouve.
Un phénomène que déplore docteur Ibrahima Ndiaye chargé des maladies infectieuses et du SIDA à l’hôpital Fann.
Selon toujours lui, le dépistage est pratiquement inexistant dans les lieux de travail, un fait qui confisque la fiabilité de statistiques, a-t-il dit endiguant enfin, l’élan de lutte déclenché contre cette pandémie.
Face à ce phénomène la responsabilité des Centrales syndicales est entièrement relative, ainsi c’est sous cet opus que Mademba Sock Secrétaire National de l’UNSAS, présidant ce matin l’atelier de formation des jeunes de sa structure en ‘’santé sécurité /VIH au travail’’ a invité ces camarades Secrétaires Généraux à davantage s’approprier du combat mais aussi de travailler en amont pour une prise en charge totale de cette maladies afin qu’elle soit inscrite sur le répertoire des maladies professionnelles.