Incroyable, mais vrai ! Un beau-père, toujours sous les liens du mariage avec la mère de la victime, violait sans état d'âme sa belle-fille vivant avec lui sous le même toit. Après de multiples assauts sexuels de son bourreau, la jeune fille ne pouvant plus supporter cette situation s’en est ouverte à son père, un émigré résidant en Allemagne. Ce dernier, une fois revenu au Sénégal, a amené sa fille en consultation avant de porter l’affaire en justice. Emigré en Allemagne, le sieur Ibrahima Ly a expliqué aux policiers les faits tels qu’ils lui ont été rapportés par sa fille. « A la date du 17 août 2018, au cours d’une discussion par message texte via whatsapp, ma fille S.S.Ly né le 16 février 2003 à Dakar, âgée de 14 ans, m’a informé que son beau-père, El Hadj Doucouré, a abusé d’elle sexuellement en novembre 2017 et aurait tenté à plusieurs reprises de récidiver son acte. La dernière remonte au 17 août 2018 lorsqu’elle s’est résolue à m’en faire part. Ma fille vit sous son toit car il est le mari de sa mère Aïssatou Sy. Et d’après ma fille, il s’avère que la mère du mis en cause, la dame Fatou Kiné Dieng, aurait en quelque sorte été informée de la situation. Elle aurait même amené ma fille en consultation en lui suggérant une réponse au cas où la sage-femme lui poserait des questions ». Poursuivant, le plaignant a raconté aux hommes du commissaire Marième Diao des Parcelles Assainies que, peu de temps après son retour au Sénégal, ce vendredi 24 août 2018 aux environs de 03 heures du matin, il a conduit sans délai sa fille à la clinique Thierno Kandji où le docteur Aïda Ndaw Niang, gynécologue obstétricienne, a confirmé que sa fille a été victime de viols répétés.
La victime revient sur les faits. La victime, S.S.Ly, âgée de 14 ans a déclaré aux enquêteurs qu’ « au courant du mois de novembre 2017, me trouvant dans mon lit où j’étais encore allongée avec mes deux petites sœurs, mon beau père Mouhamoudou Lamine Doucouré alias Elhadj Doucouré a profité du départ très matinal de ma mère pour son lieu de travail pour abuser sexuellement de moi. Ne pouvant pas en parler à ma mère par crainte de lui causer des ennuis dans son ménage, j’ai pris mon mal en patience ». La victime de poursuivre en expliquant qu’ « après plusieurs vaines tentatives de récidiver, j’ai fini par m’en ouvrir à la mère de mon beau-père, Mme Fatou Kiné Dieng, qui vivait avec nous dans la même maison. Ce même jour, la dame Fatou kiné Dieng m’a conduite à l’hôpital en me suggérant de raconter à la sage-femme que j’étais tombée en relevant des rideaux de porte d’entrée de la chambre. Vu que mon mal n’était pas résolu et que mon vio leur continuait ses tentatives, je m’en suis finalement ouverte à mon père établi en Allemagne. Ce dernier, une fois rentré au bercail, m’a conduite dans une clinique où un certificat médical attestant mon viol m’a été délivré ».
Le mis en cause nie les faits « La nommée S.S.Ly est la fille de mon épouse. Elle vivait chez ses grand-parents, mais ces derniers, à cause de son mauvais comportement, l’ont chassée de leur maison. J’étais obligé de la récupérer en 2016. Cependant au cours de son séjour à mon domicile, son père Ibrahima Ly avait pris l’habitude de passer chez moi en mon absence, prétextant rendre visite à sa fille. Las de son dilatoire, j’ai mis un terme à ces visites en mettant en garde mon épouse. Certainement frustré de ma réaction, il a comploté avec sa fille pour m’accuser de viol sur une fille dont j’ai épousé la mère. Ce sont des accusations non fondées. Tout cela a été fomenté pour me séparer de sa mère au profit de son père qui n’avait plus accès à ma maison » s’est défendu Mouhamoudou Lamine Doucouré alias Elhadj Doucouré. Hélas, malgré ses dénégations, le mis en cause a été placé en garde-à-vue tandis que l’enquête suit son cours
Témoin
La victime revient sur les faits. La victime, S.S.Ly, âgée de 14 ans a déclaré aux enquêteurs qu’ « au courant du mois de novembre 2017, me trouvant dans mon lit où j’étais encore allongée avec mes deux petites sœurs, mon beau père Mouhamoudou Lamine Doucouré alias Elhadj Doucouré a profité du départ très matinal de ma mère pour son lieu de travail pour abuser sexuellement de moi. Ne pouvant pas en parler à ma mère par crainte de lui causer des ennuis dans son ménage, j’ai pris mon mal en patience ». La victime de poursuivre en expliquant qu’ « après plusieurs vaines tentatives de récidiver, j’ai fini par m’en ouvrir à la mère de mon beau-père, Mme Fatou Kiné Dieng, qui vivait avec nous dans la même maison. Ce même jour, la dame Fatou kiné Dieng m’a conduite à l’hôpital en me suggérant de raconter à la sage-femme que j’étais tombée en relevant des rideaux de porte d’entrée de la chambre. Vu que mon mal n’était pas résolu et que mon vio leur continuait ses tentatives, je m’en suis finalement ouverte à mon père établi en Allemagne. Ce dernier, une fois rentré au bercail, m’a conduite dans une clinique où un certificat médical attestant mon viol m’a été délivré ».
Le mis en cause nie les faits « La nommée S.S.Ly est la fille de mon épouse. Elle vivait chez ses grand-parents, mais ces derniers, à cause de son mauvais comportement, l’ont chassée de leur maison. J’étais obligé de la récupérer en 2016. Cependant au cours de son séjour à mon domicile, son père Ibrahima Ly avait pris l’habitude de passer chez moi en mon absence, prétextant rendre visite à sa fille. Las de son dilatoire, j’ai mis un terme à ces visites en mettant en garde mon épouse. Certainement frustré de ma réaction, il a comploté avec sa fille pour m’accuser de viol sur une fille dont j’ai épousé la mère. Ce sont des accusations non fondées. Tout cela a été fomenté pour me séparer de sa mère au profit de son père qui n’avait plus accès à ma maison » s’est défendu Mouhamoudou Lamine Doucouré alias Elhadj Doucouré. Hélas, malgré ses dénégations, le mis en cause a été placé en garde-à-vue tandis que l’enquête suit son cours
Témoin