Parmi ces 38 circonscriptions administratives concernées par ce vote, il y a le département de Dakar et les trois départements de la jeune région de Sédhiou. A Dakar 6370 électeurs sont inscrits en deux lieux de vote. Il s'agit de l'école El hadji Bibi Ndiaye de Dakar- Plateau et l'école de l'aéroport de Yoff.
Dans la région de Sédhiou, on dénombre au total 460 militaires et paramilitaires inscrits. Le département de Sédhiou compte 302 inscrits qui vont voter au bureau 1 de l'école Dembo Coly (ex école 1). Goudomp enregistre 252 votants militaires et paramilitaires alors que Bounkiling n'en a que 5 qui vont voter à l'école 1 de la commune-carrefour de Madiana Wandifa distant d'environ 5 kilomètres du chef lieu de département.
Insécurité oblige, les militaires ne sont pas sortis en masse pour voter. Ils sont tous les jours en patrouille sur le terrain. A l'échelle régionale, seuls 19 militaires et paramilitaires avaient voté (460 inscrits) au premier tour du scrutin les samedi 18 et dimanche 19 février derniers. Dans le département de Sédhiou, ils étaient 15 à voter (sur 302 inscrits).
Les deux autres départements, Bounkiling et Goudomp, plus concernés par l'insécurité, avaient enregistré chacun 2 votants en deux jours sur respectivement 5 et 252 inscrits. Toutefois, 132 autres électeurs avaient voté par ordre de mission. Ce qui porte le nombre total de votants à 158 pour la région.
Sédhiou étant concernée par l'insécurité avec la crise casamançaise, principalement les deux derniers départements précités, un nombre important de forces de sécurité sont en mission dans la région pour la sécurité des populations, des biens et du vote.
Ici, si la gendarmerie gère les communes, l'armée s'occupe de la sécurité du vote dans les zones rurales. Et ces agents en mission ont recours à des ordres de missions pour accomplir leur devoir civique. C'est ce qui explique ce nombre de vote hors bureaux.
Le premier tour du scrutin était caractérisé par un faible taux de participation, les militaires et paramilitaires avaient presque «boudé» les urnes. Cette forte abstention était liée, selon les autorités, aux manifestations et le fait qu'un nombre important de forces de sécurité étaient déployés en Casamance.
Maintenant qu'il n'y plus de manifestations contre la candidature du président sortant, le taux de participation va-t-il évoluer, surtout dans les autres régions, même si la situation n'a pas changé au Sud du pays où plus 300 ordres de missions avaient été utilisés à Ziguinchor et 132 à Sédhiou?
Dans la région de Sédhiou, on dénombre au total 460 militaires et paramilitaires inscrits. Le département de Sédhiou compte 302 inscrits qui vont voter au bureau 1 de l'école Dembo Coly (ex école 1). Goudomp enregistre 252 votants militaires et paramilitaires alors que Bounkiling n'en a que 5 qui vont voter à l'école 1 de la commune-carrefour de Madiana Wandifa distant d'environ 5 kilomètres du chef lieu de département.
Insécurité oblige, les militaires ne sont pas sortis en masse pour voter. Ils sont tous les jours en patrouille sur le terrain. A l'échelle régionale, seuls 19 militaires et paramilitaires avaient voté (460 inscrits) au premier tour du scrutin les samedi 18 et dimanche 19 février derniers. Dans le département de Sédhiou, ils étaient 15 à voter (sur 302 inscrits).
Les deux autres départements, Bounkiling et Goudomp, plus concernés par l'insécurité, avaient enregistré chacun 2 votants en deux jours sur respectivement 5 et 252 inscrits. Toutefois, 132 autres électeurs avaient voté par ordre de mission. Ce qui porte le nombre total de votants à 158 pour la région.
Sédhiou étant concernée par l'insécurité avec la crise casamançaise, principalement les deux derniers départements précités, un nombre important de forces de sécurité sont en mission dans la région pour la sécurité des populations, des biens et du vote.
Ici, si la gendarmerie gère les communes, l'armée s'occupe de la sécurité du vote dans les zones rurales. Et ces agents en mission ont recours à des ordres de missions pour accomplir leur devoir civique. C'est ce qui explique ce nombre de vote hors bureaux.
Le premier tour du scrutin était caractérisé par un faible taux de participation, les militaires et paramilitaires avaient presque «boudé» les urnes. Cette forte abstention était liée, selon les autorités, aux manifestations et le fait qu'un nombre important de forces de sécurité étaient déployés en Casamance.
Maintenant qu'il n'y plus de manifestations contre la candidature du président sortant, le taux de participation va-t-il évoluer, surtout dans les autres régions, même si la situation n'a pas changé au Sud du pays où plus 300 ordres de missions avaient été utilisés à Ziguinchor et 132 à Sédhiou?