‘’Il n’y a pas de chasse aux sorcières. Les gens doivent répondre de leurs actes et de leur gestion’’, a dit le président Sall à l’émission ‘’Internationales’’ de TV5Monde et de Radio France Internationale (RFI).
Parlant de l’opération lancée pour la restitution des véhicules emportés par des dignitaires de l’ancien régime, le chef de l’Etat a regretté qu’on en arrive à une telle situation, qui plus est, dans une République.
A ce propos, il a précisé qu’il s’agit du ‘’patrimoine logistique’’ qui a été emporté, indiquant que certains des véhicules avaient été donnés à des militants et d’autres à des chefs de village.
S’agissant des audits, le président Sall a rappelé qu’ils ont commencé sous l’ancien régime, sans toutefois être transmis à la Justice.
Pour le cas particulier de Karim Wade, ancien ministre auditionné ces derniers jours dans le cadre des audits, Macky Sall a dit qu’il ne lui appartenait pas de dire s’il y avait ou pas de la corruption dans l'entourage du fils de l'ex-président de la République.
Selon lui, c’est à la justice de faire son travail et de faire les vérifications nécessaires. Interrogé sur le fait qu’il est aussi comptable du bilan de l’ancien régime, le président Sall a déclaré que l’ancien pouvoir avait toute la latitude de faire la lumière sur sa gestion.
Faute de pouvoir trouver quelque chose à lui reprocher, celui-ci l’a accusé de ‘’blanchiment d’argent’’, a-t-il indiqué, rappelant que ces accusations ont toutefois ‘’fait flop’’.
En guise de défi, il a demandé aux tenants de l’ancien pouvoir de mettre sur la place publique toute faute de gestion qu’ils auraient relevée dans le cadre de sa gestion au moment où il travaillait avec eux.
Parlant de l’opération lancée pour la restitution des véhicules emportés par des dignitaires de l’ancien régime, le chef de l’Etat a regretté qu’on en arrive à une telle situation, qui plus est, dans une République.
A ce propos, il a précisé qu’il s’agit du ‘’patrimoine logistique’’ qui a été emporté, indiquant que certains des véhicules avaient été donnés à des militants et d’autres à des chefs de village.
S’agissant des audits, le président Sall a rappelé qu’ils ont commencé sous l’ancien régime, sans toutefois être transmis à la Justice.
Pour le cas particulier de Karim Wade, ancien ministre auditionné ces derniers jours dans le cadre des audits, Macky Sall a dit qu’il ne lui appartenait pas de dire s’il y avait ou pas de la corruption dans l'entourage du fils de l'ex-président de la République.
Selon lui, c’est à la justice de faire son travail et de faire les vérifications nécessaires. Interrogé sur le fait qu’il est aussi comptable du bilan de l’ancien régime, le président Sall a déclaré que l’ancien pouvoir avait toute la latitude de faire la lumière sur sa gestion.
Faute de pouvoir trouver quelque chose à lui reprocher, celui-ci l’a accusé de ‘’blanchiment d’argent’’, a-t-il indiqué, rappelant que ces accusations ont toutefois ‘’fait flop’’.
En guise de défi, il a demandé aux tenants de l’ancien pouvoir de mettre sur la place publique toute faute de gestion qu’ils auraient relevée dans le cadre de sa gestion au moment où il travaillait avec eux.