SETAL.NET - Le renouvellement des instances de l’association des éleveurs du bassin de l’Anambé n’a pas pu avoir lieu faute de quorum. En effet, sur les 117 membres que compte l’association, seuls 49 avaient répondu l’appel lors de cette assemblée générale qui avait pour cadre la salle réunion à la base vie de la sodagri (société à vocation agricole) dont est affiliée l’association.
Poussant ainsi, les membres de la commission à renvoyer l’assemblée générale jusqu’à une date ultérieure avec un espoir de voir à ce jour, la majorité des membres venir en masse répondre à la rencontre pour leur permettre de mettre sur pied la nouvelle équipe devant conduire les destinées de ladite structure.
Néanmoins, le bureau sortant a profité de l’occasion pour présenter à l’assistance le bilan de ses deux ans de travail effectué à la tête de l’association. Il a fait le bilan financier pour éclairer les éleveurs membres de l’association de l’état de la caisse de l’association, les dépenses, les bénéfices, les intérêts et les pertes ont été tous énumérés : « nous avons saisi cette occasion pour dresser notre bilan sur les deux ans que nous avons conduit les destinées de l’association. Une occasion pour nous de faire, l’évaluation du travail que nous avons abattu et de voir s’il y a des manques à satisfaire surtout sur le coté des finances et la gestion de l’argent de l’association où, la plupart des membres s’attendait à ce qu’on leur rend compte de la situation actuelle de la caisse », a déclaré le secrétaire général de ladite association.
Poursuivant son argumentaire, il dira : « ici au Fouladou, il est trop difficile d’être à la tête d’une structure, les gens te mettent à un poste et ne font pas confiance et pour ce faire nous une fois qu’on dit qu’il y a assemblée générale, nous faisons tout pour apporter toutes les précisions qu’il faut pour les faire comprendre comment les choses se sont déroulées depuis qu’on est à la tête de la structure. Parce que c’est ce qui permettrait aux gens de savoir votre gestion a été transparente ou pas. C’est la raison qui fait que nous avons tenu à leur faire ce bilan ». Non sans oublier de mentionner que les éleveurs du bassin de l’Anambé qu’ils sont, sont confrontés à d’énormes difficultés sur le plan de l’alimentation de leur bétail pendant la saison sèche, et, ils n’ont reçu aucun soutien de la part des autorités administratives en charge du secteur de l’élevage et des autorités locales de la zone pour les aider à soulager leur calvaire : « nous sommes confrontés d’énormes problèmes ici, nous n’avons aucun soutiens de la part de l’Etat comme si nous ne faisons pas partir du Sénégal. Nous sommes complètement oublier par les autorités de ce pays. Ce qui est tout à fait anormal », a-t-il martelé.
Ainsi, il lance un appel à madame le ministre de l’Elevage de penser aux éleveurs du bassin de l’Anambé qui ont besoin de soutien pour faire face aux moult problèmes auxquels ils sont confrontés dans leur zone : « nous demandons au ministre actuellement en charge de l’Elevage d’avoir une attention particulière à notre égard car nous sommes tellement confrontés à des difficultés qui nous hantent le sommeil. D’où, la nécessité de nous venir en aide. C’est ce que nous voulons notre ministre tutelle face pour nous les éleveurs du bassin de l’Anambé qui en sont tellement dans le besoin », a-t-il conclu.
Il faut signaler que l’association des éleveurs du bassin de l’Anambé est une structure qui milite pour l’épanouissement de l’élevage dans le département de Vélingara.
ABDOUALYE WANDIANGA (correspondance)
Poussant ainsi, les membres de la commission à renvoyer l’assemblée générale jusqu’à une date ultérieure avec un espoir de voir à ce jour, la majorité des membres venir en masse répondre à la rencontre pour leur permettre de mettre sur pied la nouvelle équipe devant conduire les destinées de ladite structure.
Néanmoins, le bureau sortant a profité de l’occasion pour présenter à l’assistance le bilan de ses deux ans de travail effectué à la tête de l’association. Il a fait le bilan financier pour éclairer les éleveurs membres de l’association de l’état de la caisse de l’association, les dépenses, les bénéfices, les intérêts et les pertes ont été tous énumérés : « nous avons saisi cette occasion pour dresser notre bilan sur les deux ans que nous avons conduit les destinées de l’association. Une occasion pour nous de faire, l’évaluation du travail que nous avons abattu et de voir s’il y a des manques à satisfaire surtout sur le coté des finances et la gestion de l’argent de l’association où, la plupart des membres s’attendait à ce qu’on leur rend compte de la situation actuelle de la caisse », a déclaré le secrétaire général de ladite association.
Poursuivant son argumentaire, il dira : « ici au Fouladou, il est trop difficile d’être à la tête d’une structure, les gens te mettent à un poste et ne font pas confiance et pour ce faire nous une fois qu’on dit qu’il y a assemblée générale, nous faisons tout pour apporter toutes les précisions qu’il faut pour les faire comprendre comment les choses se sont déroulées depuis qu’on est à la tête de la structure. Parce que c’est ce qui permettrait aux gens de savoir votre gestion a été transparente ou pas. C’est la raison qui fait que nous avons tenu à leur faire ce bilan ». Non sans oublier de mentionner que les éleveurs du bassin de l’Anambé qu’ils sont, sont confrontés à d’énormes difficultés sur le plan de l’alimentation de leur bétail pendant la saison sèche, et, ils n’ont reçu aucun soutien de la part des autorités administratives en charge du secteur de l’élevage et des autorités locales de la zone pour les aider à soulager leur calvaire : « nous sommes confrontés d’énormes problèmes ici, nous n’avons aucun soutiens de la part de l’Etat comme si nous ne faisons pas partir du Sénégal. Nous sommes complètement oublier par les autorités de ce pays. Ce qui est tout à fait anormal », a-t-il martelé.
Ainsi, il lance un appel à madame le ministre de l’Elevage de penser aux éleveurs du bassin de l’Anambé qui ont besoin de soutien pour faire face aux moult problèmes auxquels ils sont confrontés dans leur zone : « nous demandons au ministre actuellement en charge de l’Elevage d’avoir une attention particulière à notre égard car nous sommes tellement confrontés à des difficultés qui nous hantent le sommeil. D’où, la nécessité de nous venir en aide. C’est ce que nous voulons notre ministre tutelle face pour nous les éleveurs du bassin de l’Anambé qui en sont tellement dans le besoin », a-t-il conclu.
Il faut signaler que l’association des éleveurs du bassin de l’Anambé est une structure qui milite pour l’épanouissement de l’élevage dans le département de Vélingara.
ABDOUALYE WANDIANGA (correspondance)