La communauté rurale de Wassadou est située au sud ouest du département et à un jet de pierres de la Guinée Bissau. Partageant les mêmes frontières, les mêmes us et coutumes à cause de leurs liens de sang, les populations de la province du Pathiana ne savent plus à quel saint se vouer à cause de cette épidémie qui sévit dans ce pays voisin.
Autorités locales, postes de santé, populations et tous les chefs concernés ont été alertés. Une vaste campagne de sensibilisation est en cours pour éviter la propagation de cette maladie mortelle.
Selon notre source de renseignements qui s’était rendue sur les lieux, il ya urgence que tout le monde prenne ses gardes car quand le choléra se manifeste dans une communauté non préparée, le taux de mortalité peut atteindre 50%, surtout par manque d’infrastructure médicale ou à cause des retards dans le traitement des malades.
Avant d’ajouter que si par une réponse bien organisée avec un programme de lutte épidémiologique bien établi de choléra le taux de mortalité peut se limiter jusqu’à moins de 1 %.
Poursuivant ses explications, il soutient que le choléra est avant tout une maladie causée par une bactérie : le vibrion cholérique. « La maladie apparait avec des diarrhées et des vomissements, des crampes au niveau des jambes. Les personnes malades sont déshydratées. Sans un traitement rapide et efficace la mort peut s’en suivre dans les prochaines heures », renseigne-t-il.
Le Président du Conseil Rural Barsa Soumboundou et son équipe, déjà avisés du choléra qui sévit derrière leurs murs, c’est-à-dire en Guinée Bissau prennent les devants avec l’appui des hommes en blouse blanche pour sensibiliser les populations sur les risques de contamination de sa collectivité locale toute proche.
Face à cette épidémie, il a lancé un appel aux autorités étatiques pour un appui considérable en matériels et en médicaments afin de bouter hors de leurs frontières le vibrion cholérique qui les menace.
Les quelques matrones et l’Infirmier Chef de Poste qui assurent la santé des patients dans la zone procèdent à des séances de sensibilisation.
Et selon M. Guéye, un infirmier, une personne peut être atteinte du choléra en buvant ou en mangeant une nourriture contaminée par la bactérie. Et que la maladie peut se répandre rapidement surtout avec un traitement inadéquat des eaux.
Mieux, il a parlé de la réhydratation orale qui consiste à faire boire au malade immédiatement beaucoup d’eau pour remplacer les pertes de liquides causées par la diarrhée et les vomissements.
Et pour conclure, il formule des recommandations qui consisteront à se laver toujours les mains, après utilisation des toilettes, après avoir changé les couches des bébés, joué avec ses amis, avec les animaux. Car se laver les mains fréquemment est l’une des meilleures façons de se prévenir contre l’expansion des maladies infectieuses’.
En tout cas les villages environnants qui habitent le long de la frontière Bissau Guinéenne ne dorment plus que d’un seul œil depuis l’annonce du choléra à coté de chez eux. En cas d’épidémie, il recommande de mélanger de l’eau, un peu de sucre et de sel. Et les malades qui développent des cas de diarrhées et des vomissements sévères nécessitent une attention médicale urgente et particulière.
Autorités locales, postes de santé, populations et tous les chefs concernés ont été alertés. Une vaste campagne de sensibilisation est en cours pour éviter la propagation de cette maladie mortelle.
Selon notre source de renseignements qui s’était rendue sur les lieux, il ya urgence que tout le monde prenne ses gardes car quand le choléra se manifeste dans une communauté non préparée, le taux de mortalité peut atteindre 50%, surtout par manque d’infrastructure médicale ou à cause des retards dans le traitement des malades.
Avant d’ajouter que si par une réponse bien organisée avec un programme de lutte épidémiologique bien établi de choléra le taux de mortalité peut se limiter jusqu’à moins de 1 %.
Poursuivant ses explications, il soutient que le choléra est avant tout une maladie causée par une bactérie : le vibrion cholérique. « La maladie apparait avec des diarrhées et des vomissements, des crampes au niveau des jambes. Les personnes malades sont déshydratées. Sans un traitement rapide et efficace la mort peut s’en suivre dans les prochaines heures », renseigne-t-il.
Le Président du Conseil Rural Barsa Soumboundou et son équipe, déjà avisés du choléra qui sévit derrière leurs murs, c’est-à-dire en Guinée Bissau prennent les devants avec l’appui des hommes en blouse blanche pour sensibiliser les populations sur les risques de contamination de sa collectivité locale toute proche.
Face à cette épidémie, il a lancé un appel aux autorités étatiques pour un appui considérable en matériels et en médicaments afin de bouter hors de leurs frontières le vibrion cholérique qui les menace.
Les quelques matrones et l’Infirmier Chef de Poste qui assurent la santé des patients dans la zone procèdent à des séances de sensibilisation.
Et selon M. Guéye, un infirmier, une personne peut être atteinte du choléra en buvant ou en mangeant une nourriture contaminée par la bactérie. Et que la maladie peut se répandre rapidement surtout avec un traitement inadéquat des eaux.
Mieux, il a parlé de la réhydratation orale qui consiste à faire boire au malade immédiatement beaucoup d’eau pour remplacer les pertes de liquides causées par la diarrhée et les vomissements.
Et pour conclure, il formule des recommandations qui consisteront à se laver toujours les mains, après utilisation des toilettes, après avoir changé les couches des bébés, joué avec ses amis, avec les animaux. Car se laver les mains fréquemment est l’une des meilleures façons de se prévenir contre l’expansion des maladies infectieuses’.
En tout cas les villages environnants qui habitent le long de la frontière Bissau Guinéenne ne dorment plus que d’un seul œil depuis l’annonce du choléra à coté de chez eux. En cas d’épidémie, il recommande de mélanger de l’eau, un peu de sucre et de sel. Et les malades qui développent des cas de diarrhées et des vomissements sévères nécessitent une attention médicale urgente et particulière.