Située à l’est du département et à un jet de pierres de la Guinée Conakry, Kalifourou est un village habité essentiellement par des agro pasteurs.
Etant une zone carrefour où le transit est régulier de jours comme de nuits. Raison suffisante pour qu’une brigade de gendarmerie, des agents de la douane, des policiers et ceux des eaux et forets y servent.
Le trafic intense qui s’effectue dans cette zone fait désormais peur aux populations de ce patelin qui n’a plus un poste de santé pour sauver des vies humaines. Et pour cause dit Hady Diallo, directeur d’école de la dite localité et agent de développement de son terroir, notre infirmier chef de poste a été affecté depuis le mois d’avril et depuis lors, après maintes négociations avec le sous-préfet de Bonconto et le chef de l’exécutif départemental, aucune piste de solutions n’a cependant été trouvée.
Poursuivant son propos, il soutient mordicus que les populations sont vraiment traumatisées par cette situation. Même pour des maux de têtes ou des pansements il faut effectuer de longues distances pour se procurer des médicaments. Le seul poste de santé de Médina Gounasse qui est proche de leur localité est à 15 Kms voire 20 Kms. Pour évacuer les malades les tractations sont multiples nous dit il parce que non seulement l’hivernage s’est installé et que les routes deviennent impraticables mais aussi il faut débourser beaucoup d’argent pour se rendre dans les différents centres de santé ou dans les grandes hôpitaux de Tamba et Kolda.
Face à toutes ses difficultés, il demande vraiment à ce que l’on octroie le plus vite possible à son village, Kalifourou, un infirmier qualifié qui va sauver des vies humaines.
En cette période de canicule, le paludisme est fréquent sans aussi compter les autres maladies qui font leur apparition pendant la saison des pluies à savoir des maladies diarrhéiques et intestinales etc.
Ne pouvant plus supporter l’absence d’un ICP, les populations comptent saisir le gouverneur pour décanter la situation. Sinon le taux de mortalité infanto maternel risque de s’alourdir dans les prochains mois à venir, a-t-il fait savoir car habitant au milieu d’une forêt, et non loin du parc national de Niokolo Koba.
Exposées aux différentes maladies, les populations de Kalifourou sont au bout de leurs efforts et ne demandent qu’une chose : l’arrivée d’un ICP qui va redonner un nouveau souffle car sans la santé rien ne pourra se faire. En revoyant notre poste de santé ré ouvert, cela va impulser un nouveau souffle aux milliers d’âmes qui y vivent.
Ils ont promis de rencontrer le sénateur Souleymane Barry qui est natif de cette localité afin que ce dernier fasse tous les moyens pour leur trouver un ‘docteur pour les secourir.
Etant une zone carrefour où le transit est régulier de jours comme de nuits. Raison suffisante pour qu’une brigade de gendarmerie, des agents de la douane, des policiers et ceux des eaux et forets y servent.
Le trafic intense qui s’effectue dans cette zone fait désormais peur aux populations de ce patelin qui n’a plus un poste de santé pour sauver des vies humaines. Et pour cause dit Hady Diallo, directeur d’école de la dite localité et agent de développement de son terroir, notre infirmier chef de poste a été affecté depuis le mois d’avril et depuis lors, après maintes négociations avec le sous-préfet de Bonconto et le chef de l’exécutif départemental, aucune piste de solutions n’a cependant été trouvée.
Poursuivant son propos, il soutient mordicus que les populations sont vraiment traumatisées par cette situation. Même pour des maux de têtes ou des pansements il faut effectuer de longues distances pour se procurer des médicaments. Le seul poste de santé de Médina Gounasse qui est proche de leur localité est à 15 Kms voire 20 Kms. Pour évacuer les malades les tractations sont multiples nous dit il parce que non seulement l’hivernage s’est installé et que les routes deviennent impraticables mais aussi il faut débourser beaucoup d’argent pour se rendre dans les différents centres de santé ou dans les grandes hôpitaux de Tamba et Kolda.
Face à toutes ses difficultés, il demande vraiment à ce que l’on octroie le plus vite possible à son village, Kalifourou, un infirmier qualifié qui va sauver des vies humaines.
En cette période de canicule, le paludisme est fréquent sans aussi compter les autres maladies qui font leur apparition pendant la saison des pluies à savoir des maladies diarrhéiques et intestinales etc.
Ne pouvant plus supporter l’absence d’un ICP, les populations comptent saisir le gouverneur pour décanter la situation. Sinon le taux de mortalité infanto maternel risque de s’alourdir dans les prochains mois à venir, a-t-il fait savoir car habitant au milieu d’une forêt, et non loin du parc national de Niokolo Koba.
Exposées aux différentes maladies, les populations de Kalifourou sont au bout de leurs efforts et ne demandent qu’une chose : l’arrivée d’un ICP qui va redonner un nouveau souffle car sans la santé rien ne pourra se faire. En revoyant notre poste de santé ré ouvert, cela va impulser un nouveau souffle aux milliers d’âmes qui y vivent.
Ils ont promis de rencontrer le sénateur Souleymane Barry qui est natif de cette localité afin que ce dernier fasse tous les moyens pour leur trouver un ‘docteur pour les secourir.